David Pivoda : « L’idée et d’utiliser les pylônes existant pour essayer d’habiller au mieux le stade et lui conférer une identité servettienne »

Suite à l’interview que nous avait accordée David Pivoda concernant le projet du club pour le Stade de Genève, nous revenons avec lui sur la problématique des aménagements extérieurs du stade…

Les EDS : David, nous avons fait il y a quelques temps un sondage sur les EDS (voir ci-dessous) concernant l’aménagement extérieur du Stade de Genève. Si j’ai bien compris, votre idée est de faire un peu comme ce qui s’est fait au Stade de Suisse et à la Maladière, mais avec des bâches grenats et pleins de logos du Servette partout!?!?

David Pivoda : Oui, c’est ça. L’idée et d’utiliser les pylônes existants pour essayer d’habiller au mieux le stade et lui conférer une identité servettienne.

Les EDS : Vous semblez privilégier le système de bâches plutôt que celui de peindre le stade, pour quelles raisons?

David Pivoda : L’avantage des bâches, c’est que nous pourrons les louer pour de la pub. Par rapport au fait de peindre le béton du stade, nous pensons que ce qu’il manque le plus au niveau visuel à ce stade c’est l’aspect « volume ». Et la peinture ne peut pas résoudre ce problème au contraire des bâches qui seraient posées sur les pylônes et apporteraient un effet visuel plus intéressant, notamment de nuit…

Les EDS : C’est vrai que ce système de bâche pourrait être très beau en soirée avec des éclairages venant de l’arrière…

David Pivoda : Oui, nous avons déjà effectué des tests et le rendu semble être extrêmement qualitatif. Comme je l’ai déjà dit, l’avantage des bâches c’est que nous pourrions les changer à la demande. Elles seraient de plus toutes indépendantes les unes des autres, ce qui nous donnerait pas mal de possibilités d’évolution, notamment pour introduire dans le futur le sytème du naming du stade.

Les EDS : Peut-on également imaginer des bâches reflétant l’histoire du Servette FC, comme par exemple une photo géante du titre de 1999?

David Pivoda : Bon par rapport à l’histoire du club il y aura également le musée du Servette, ce qui représente trois niches de 400 m2, soit une surface totale de 1200 m2 et il faudra déjà les remplir! Notre idée et de pouvoir présenter toute l’histoire du club dans ces espaces avec des images des matchs de légende du Servette, comme par exemple contre Dukla Prague. Nous sommes également en train de rechercher le plus d’objets possibles se rapportant au club, que ce soient les Coupes gagnées ou les différents maillots portés par les joueurs depuis le temps où le club évoluait à Plainpalais.

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Julian Karembeu

9 réflexions sur « David Pivoda : « L’idée et d’utiliser les pylônes existant pour essayer d’habiller au mieux le stade et lui conférer une identité servettienne » »

  1. Il fait exprès Pivoda de lâcher des phrases comme « pour introduire dans le futur le sytème du naming du stade »?

    Ca fait deux fois qu’il fait le coup en interview… à croire qu’il veut tester l’opinion servettienne.

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    1. Je ne pense pas que David Pivoda veuille cette fois-ci tester l’opinion servettienne. l’option du Naming du stade est importante pour le club car elle amènera de l’argent dans les caisses et donnera de la visibilité au stade avec la présence d’un sponsor. De toute façon, le stade n’a aujourd’hui qu’un nom peu en relation avec le club. S’il avait fallu rebaptiser les Charmilles je ne dis pas, mais là, franchement, que le stade s’appelle 32GROUP ARENA ou STADE DE GENEVE, mon choix est vite fait…

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  2. Totalement d’accord avec Julian, au final le naming permettra d’avoir un sponsor principal qui au travers du networking permettra d’en avoir d’autres. Une entreprise de renom serait donc idéal. Pas facile de trouver le candidat idéal. Mais c’est clair le naming est essentiel pour développer le club.

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  3. le naming pour un stade est gênant quand il s’agit d’un stade ancien qui a connu l’essentiel de son histoire sous un nom prestigieux. pour la Praille, je m’en fous totalement.
    Maintenant, faudrait pas non plus que le nom change chaque saison comme par exemple le stase d’Hambourg au point qu’on ne sait plus comment il s’appelle.

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  4. La Praille ou Stade de Genève est de toute façon nul, alors si le naning rapporte du blé il faut le prendre.Mais comme le dit Kara, pas de changement chaque année.

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  5. Avec la venue du fabricant suédois de meuble sur GE alors pourquoi pas IKEA Stadium. Après on sera obligé d’avoir que des hotesses blondes platine, baaa on pourra vivre avec 😉

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    1. Connaissant bien Mr Kamprad je peux t’assurer qu’il n’investira pas dans le football. Je ne crois pas qu’il sponsorise un seul club en suède.

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