la plupart des supporters en ont plus qu’assez d’être pris pour des imbéciles, juste bons à payer pour que Quennec puisse poursuivre son activité principale – marchand de vent.

POST Tenebras

Cédric, ancien de Grenats.ch, revient dans Bloody Monday sur les deux ans de présidence de Hugh Quennec. Avec des inquiétudes…et des vérités.

Quennec responsable

« La plupart des supporters en ont plus qu’assez d’être pris pour des imbéciles, juste bons à payer pour que Quennec puisse poursuivre son activité principale – marchand de vent ». La phrase est dure, le ton est tendu, la plume presque résignée, mais elle évoque bien le sentiment général des supporters servettiens…

Difficile de trouver des points positifs aujourd’hui au mandat de président de Hugh Quennec, si ce n’est celui d’avoir pu éviter une potentielle nouvelle faillite au Servette FC. Et ce n’est pas la carte jeune prônée par la direction servettienne depuis la reprise qui peut être saluée, tant cette décision a été prise pour tenter d’échapper au camouflet d’une promotion gaspillée par un marasme sportif sans nom : « Servette se trouve à des années lumières d’une gestion saine, visant le long terme. Certes, Quennec a des circonstances atténuantes avec le lourd héritage de Pishyar. Mais il s’agit uniquement du volet financier. Pour l’aspect sportif, il est seul responsable de la situation actuelle ».

Quand compétence rime avec incohérence, on arrive malheureusement à un constat d’échec et à des résultats sportifs indignes d’un club comme le Servette FC. Et Hugh Quennec, s’il n’est pas le seul responsable de la situation, endosse une grande part de ce marasme en tant que président…

Lien vers l’article :

Julian Karembeu/Cédric Nardone

91 réflexions sur « la plupart des supporters en ont plus qu’assez d’être pris pour des imbéciles, juste bons à payer pour que Quennec puisse poursuivre son activité principale – marchand de vent. »

    1. Pour que Quennec se trouve un nouvel ami avec qui le courant est passé tout de suite, lequel remplacera Zubi ou Jenkis (selon son secteur d’activité) ?

      A part ça, je crois que l’article relève les incohérences et les doutes sur la gestion de Quennec. Il fait un état des lieux sans concession, sans pour autant réclamer la lune pour hier, ni même demain.

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      1. Personne ne réclame la lune. On aimerait juste un peut de cohérence…

        Pour cela je te suis à 100% NF

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      2. Oui remplaçons Zubi ! tourne plus rond depuis qu’il décide pour tout / mauvais casting de notre bon président! ! ! je ne changerais pas mon fusil d’épaules

        Bien a vous Eds !

        Allez Sfc !

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  1. Il n’y a que le projet qui compte, le long terme nous dira qui a raison ou tort. Dans toute entreprise des erreurs son commises, le club est encore là il ce restructure certes tout les six mois mais je suis convaincu que ce changement est bon. Les personnes en place à l’époque on montré leurs limites et si Zubi est si mauvais que vous le dite il prendra le même chemin que les autres. Il est facile de ce voir plus beau et meilleurs que les autres. Les joueurs le staf son des éléments ayant une durée de vie limité seul le maillot reste. On traverse depuis longtemps une tempête les vents ce calme à l’heure actuel. Les dirigeants on eu leur période d’essai la nouvelle saison s’annonce avec des défaites des victoires des arrivées et des départs ne nous attachons pas aux personnalités éphémère.
    Post Nebraska ???

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    1. C’est quoi l’idée? continuer à se tromper, ce n’est pas grave, il y a un projet sur le long terme?

      Tu parles de période d’essai. Cela fait deux ans que Quennec est en période d’essai. Et dans 3 ans on dira quoi? Essayé, pas pu?

      Bel avenir en perspective…

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      1. Période d essai ok, mais faut pas oublier dans quel état était le club .. ( faillite, contrat du stade etc.. J en passe) il a pas repris le Réal …

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      2. Oui 2 ans. Mais tu oublies un peu vite d’où l’on viens. De nul part. Vous étiez moins virgulant avec magic.

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      3. Si tu relis nos postes de décembre 2011, tu te rendras compte que Majid Pishyar en a pris dans la tronche bien plus que Quennec…

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      4. L’idée est que même un génie fait des erreur, Que deux saison, c’est long mais en même temps c’est très court. Quatre période de transfert, au niveau administratif il y a eu passablement de changement des personnes son venu on fait ce qu’elle pouvait avec leur moyen et capacité.
        Je ne pense pas que le fait d’en avoir changé ai été une erreur. au niveau sportif je ferais le même constat.
        Je préfère des changements dans l’organigramme que l’inaction. De ce point de vue on ne peut leur reprocher un manque de lucidité au contraire peut être un excès de clairvoyance.
        N’oublions pas que HUG ne connaissait rien à la gestion d’un club de foot..
        On ne connait pas non plus les objectifs qui lui on été fixé par les personnes ayant investi du fric dans le sauvetage du club.
        Si je ne réfléchi pas et que je ne cherche pas à prendre du recul ma vision est la même que la votre.
        Mais j’ai fais le choix d’élargir au maximum ma vision, de regarder plus loin qu’une saison ou deux. J’essaye de fixer l’horizon le plus loin possible pour essayer de visualiser ce à quoi mon club de cœur va ressembler dans cinq ans. Car tout mécanisme de changement demande du temps…

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  2. Très bon édito qui résume parfaitement ce que je pense.

    Je serais éternellement reconnaissant à HQ d’avoir sauvé le SFC de la faillite, mais depuis lors, je n’ai eu que des déceptions.

    Zizou nous dit : « laissez faire le temps ». Je veux bien, mais cela fait deux ans qu’on nous répète cette même litanie. Je sais que Rome ne sait pas construite en un jour, mais là, on est plus dans déconstruction d’un club.

    Personne n’exigeait la montée (en tout cas pas moi). Je savais combien il est difficile de remonter directement après avoir dû reconstruire une équipe en raison de la relégation.

    Simplement, la marche à suivre est simple:

    1ère année, on garde une partie des cadres de l’ancienne équipe qui veulent rester et qui en même temps n’ont pas forcément le niveau pour prétendre à une place de titulaire inconditionnelle dans un club de super league mais qui sont suffisants pour la Chl (Routis, Pont, Tréand). On prend quelques éléments confirmés qui ne jouent plus en Super league et qui veulent se relancer avec des joueurs expérimentés de Challenge league et on ajoute à tout cela, deux-trois jeunes du crû qui sont en devenir et qui bien évidemment ont du potentiel.

    C’est ce qu’à parfaitement fait le staff au début de la saison.

    Ensuite, on fait éventuellement un ou deux transferts à l’entre-saison (hiver-printemps) pour corriger ce qui peut l’être dans l’attente de la période estivale. A ce moment-là, on a le recul suffisant pour voir ce qui doit être changé pour améliorer l’équipe. En général on change deux ou trois joueurs, pas plus, histoire de garder l’ossature principale afin de préserver les automatismes acquis durant cette première saison en Chl, tout en bonifiant le contingent.

    La deuxième année, en général on joue le haut du tableau avec de bonnes chances de promotion.

    Or là, que voit-on ?

    L’équipe qui a été mise en place en début de saison est démantelée. Donc on doit de nouveau tout reconstruire. C’est totalement idiot quand on sait que les autres équipes, vont garder leur ossature. Bien sûr que certaines équipes vont perdre leur joueur important ( par ex. Schaffhouse qui va vraisemblablement perdre Rossini, mais le reste de l’équipe va peu changer). On va donc se retrouver face à des équipes plus matures que nous et cela forcément être compliqué car il faudra tellement intégrer de nouveaux joueurs que l’amalgame sera difficile à créer. Résultat, on va de nouveau devoir courrier après un lièvre l’année prochaine (Wil, Schaffhouse, Lugano, Winterthur).

    Bref, on est pas sorti de l’auberge !

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      1. On était deuxième à fin novembre à quatre points du leader. Je crois que ce contingent était donc bon. Bien évidemment si on l’avait laissé travailler dans la sérénité.

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  3. Je rejoins Gasser sur son analyse sur l’effectif et la remontée pas obligatoire cette saison.

    Objectif32 :
    le long terme, on pourra le juger si on y arrive. Il y a un premier écueil à très court terme : la licence. Si le club était persuadé de l’obtenir, il aurait déjà annoncé l’engagement de l’entraineur. La rumeur annoncée par Visentini indique que le club qu’il a un doute, puisqu’il arriverait en fin de saison, mais pas tout de suite.

    Or, si on ne peut pas obtenir la licence en ChL, on fera quoi en 1ère ligue promotion avec un stade à devoir payer malgré tout ?

    Et si on a la licence, vu comme les choses avancent, avec un public qui a tourné le dos au club, on fera comment pour tenir en ChL ? Combien de temps les partenaires vont-ils accepter de voir le stade se vider sans réelle perspective d’amélioration ?

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  4. Bonjour
    j’ai entendu que le nouvel entraineur serait l’entraineur de l’equipe des jeunes de Cardiff, je ne connais pas le nom

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  5. le supporter de foot de base peut bien être impatient et prompt à exprimer sa frustration, ça demande du temps de reconstruire un club, surtout quand on repart quasi de zéro comme c’est le cas avec le SFC.

    On peut comparer avec le FC Bâle qui descend en LNB en 1988 après avoir gagné 7 titres de champion entre 1967 et 1980. Ils vont passer 6 ans en LNB. Et il leur faut encore 8 ans avant de redevenir champions. Entre 1988 (la relégation) et 2002 (le titre), ils eu 3 présidents et 14 entraîneurs différents.
    On a tendance à oublier aujourd’hui dans quel état était le FCB quand il est descendu et que rien n’a été facile pour se reconstruire petit à petit et devenir l’incontestable meilleur club du pays sur tous les plans, malgré un réel potentiel public et un soutien de l’économie locale bien plus important qu’à Genève. Et ils n’ont pas pu profiter du nouveau stade durant l’essentiel de cette période (inauguré en 2001 seulement).

    On peut comparer aussi avec le FCZ qui a gagné 7 titres de champion entre 1963 et 1981 et qui a aussi été relégué en 1988 et qui s’est totalement reconstruit malgré la présence du rival local pour redevenir champion en 2006, 25 ans après le dernier.

    On peut comparer avec GC, qui est passé du riche club des banquiers zurichois qui joue le titre chaque année (7 fois champion entre 1990 et 2003) qui semblait intouchable mais qui est néanmoins tombé de son piédestal, a perdu son stade et est passé à deux doigts de la faillite. Pourtant ils sont actuellement à la deuxième place en SL avec beaucoup de joueurs formés au club.

    Le point commun de ces trois clubs, ce qu’ils dû se reconstruire en profondeur pour retrouver le succès et pas seulement faire deux-trois transferts pour leur Première Equipe.

    Avec son potentiel public limité, la quasi absence de soutien de l’économie locale, la mauvaise image persistante dont il ne parvient pas encore à se défaire et un centre de formation qui n’est qu’à l’état d’ébauche… c’est juste normal que ça prenne un peu de temps pour Servette. C’est juste normal qu’il y ait des erreurs, des échecs, des hésitations. C’est juste normal que des choix difficiles soient faits et que des décisions délicates soient prises. C’est pour ça que je soutiens qu’il faudra encore 3 à 5 ans pour que le SFC se hisse à la hauteur de club comme Lausanne, Vaduz, Thoune ou Aarau.

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      1. Vous en faite une belle de base ! Je peux vous le dire et je crois avoir assez d’expérience pour même en être certain !!!!!

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      1. Exactement ce que j’allais dire . Ces 3 clubs avaient-ils un handicap financier tel que nous l’avons aujourd’hui avec ce stade ?

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      2. Ce que j’ai admis, et que je maintiens, ce que le club ne peut pas en même temps honorer le contrat actuel d’exploitation du stade et financer une équipe compétitive susceptible de pouvoir jouer les premiers rôles en ChL.

        Par contre, le club peut survivre
        – soit en n’utilisant que l’argent qui reste à disposition. ce qui implique de reconstruire lentement les structures et le centre de formation tout en jouant au mieux le maintien en ChL

        – soit en faisant en sorte que le contrat soit modifié ou annulé.

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      3. Le club ne peut pas survivre avec un fardeau de 2 millions à ce niveau ou plus bas. C’est plus de la moitié de Vaduz, c’est du niveau du bas de ChL. Avec les affluences qu’il y aura en jouant la relégation, le club ne peut que partir en vrille.

        Reste l’option du contrat modifié ou annulé. Mais les clauses ont été définies. Les opposants au stade feront tout pour que sa gestion ne retombe pas dans le giron de l’état.

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      4. Evidemment que ce n’est pas facile d’obtenir la modification du contrat, ce bien pour ça que ça prend du temps. Roger et Pishyar s’étaient précipités juste pour pouvoir dire qu’ils ont obtenus l’exploitation du stade. Le club peut maintenant tenir compte du passé pour établir ses comptes au plus juste et trouver la solution qui conviendra à tout le monde.

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    1. @klaxon, je pense exactement comme toi. Sans être spécialiste en foot je trouve ton analyse très logique et bien explicative.
      Je me pose la question : pourquoi un Président devrait communiquer ce qu’il fait aux supporters alors que les abonnés ne sont pas des « socios ». Y a t-il une obligation de le faire ?

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      1. il n’a aucune obligation…si ce n’est que nous sommes ses clients. Sans supporters, pas de sponsors, pas de club.

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      2. L’article ne parle pas de communication, mais de gestion, de cohérences, de ligne de conduite, et des dangers qui découlent de cette gestion à la petite semaine.

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    2. « le supporter de foot de base peut bien être impatient et prompt à exprimer sa frustration, ça demande du temps de reconstruire un club, surtout quand on repart quasi de zéro comme c’est le cas avec le SFC » :

      c’est normal que le supporter est impatient sinon il ne serait plus un supporter mais un CLIENT. Le supporter peut comprendre la reconstruction lorsqu’il la comprend et ceci se passe dans tous les clubs.
      Le SFC de HQ ne partait pas vraiment de zéro… il était en Super League et qualifié pour la Coupe UEFA ! Et au niveau finance, HQ avait rassuré tout le monde…

      Maintenant, oui, le club risque bien de repartir à -1 voir -2 …

      Pour assurer le renouveau du club dans la nouvelle configuration sur la transparence financière qui va venir, il me semble encore plus opportun de se tourner vers une structure participative où les supporters « impatients » auront un droit de regard et un droit de vote.

      Si le club repart de -2, il est évident qu’il mettra bien plus que 5 ans pour arriver à la hauteur des cibles que sont Thoune et Aarau, pour autant que ces clubs « cibles » survivent….

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      1. Mais le supporter EST un client. Ni plus ni moins. Qu’il soit un client particulièrement attaché à son entreprise favorite n’y change rien.

        On ne peut pas affirmer honnêtement que la SL et l’Europa League ait amené une quelconque plus-value au club. Ce club est en ruines de la cave au grenier et tout est à reconstruire brique par brique.

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      2. Je ne dis pas le contraire sur la reconstruction. Simplement c’est difficile de construire durablement quand on détruit tous les 6 mois ce qui a été commencé en fonction de la dernière personne rencontrée.

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      3. on peut voir les multiples changement de plusieurs façons. bien-sûr que l’avenir réside dans la stabilité et la cohérence, on est tous d’accord là-dessus je crois mais il est légitime de chercher la voie adéquate et rassurant de ne pas s’entêter dans l’erreur.
        La difficulté pour Quennec, c’est qu’il n’a rien ni personne sur qui s’appuyer dans ce club et qu’il doit rebâtir de zéro. C’est plus facile d’arriver dans un club qui fonctionne déjà et auquel on amène juste un peu plus de moyens et de personnel.
        Il y a beaucoup de choses à faire aussi en coulisses et dans l’environnement politico-économique genevois et si ce n’est ni visible ni spectaculaire, ça ne veut pas dire que rien ne se passe.

        Maintenant, est-ce que Zubi et Jenkins sont les personnes idéales sur lesquelles compter, seul l’avenir nous le dira mais il est absurde de réclamer en même temps de la continuité et le départ du grand Pascal.

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      4. Et tu m’as vu réclamer le départ de Zubi récemment ? Est-ce que je dis cela dans l’article ?

        S’entêter dans l’erreur ? Comment savoir si on est dans l’erreur en virant Fournier quand l’équipe n’est pas au complet ?
        Comment savoir si on est dans l’erreur si on met au placard Favre moins de 6 mois après son arrivée ?
        Comment savoir si on est dans l’erreur, si on fait table rase dans l’équipe tous les 6 mois ?
        Comment croire qu’on agit dans l’intérêt du club quand on repense au sketch des gardiens ?

        Ce que je demande, c’est de la stabilité, de la cohérence. Là, personne n’a le temps de faire ses preuves. Les récents engagements donnent salement l’impression de copinage. On vire Cotting pour mettre le copain de Zubi à la tête de l’académie. On vire l’entraîneur, puis son assistant pour y mettre le parrain de son enfant.

        Ensuite, pour aller négocier pour le stade, ça va être simple au vu des points que j’évoque dans l’article.

        Bref, le club a créé lui-même les conditions pour se mettre en difficultés, en plus de celles héritées.

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      5. C’est aux dirigeants de considérer ou pas qu’ils sont dans l’erreur. Déjà parce que souvent les critères ne sont pas visibles de l’extérieur.

        Ensuite, le copinage, c’est favoriser son entourage aux dépends de la mission à remplir. Avoir recours à des gens qu’on connait déjà et en qui on a confiance peut au contraire être un avantage.
        Un entraîneur qui conserve le même adjoint quand il change de club, c’est du copinage ou un gain d’efficacité?

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      6. Un directeur sportif qui engage un directeur d’académie mis au placard dans son précédent job, et qui engage un entraîneur assistant qui se fait virer de clubs de 1ère ligue, c’est s’entourer de gens compétents ?

        L’entraîneur qui a toujours travaillé avec le même staff a ses repères avec eux. Zubi n’a jamais travaillé avec Cantaluppi et n’a jamais collaboré avec le Bruggmann. situation incomparable donc.

        Les dirigeants ont plus d’éléments pour juger s’ils sont ou non dans l’erreur. Mais ils manquent parfois de recul pour juger de leurs erreurs. Et quand tu as quelqu’un de totalement inexpérimenté à un poste, la prise de recul est quasi impossible.

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      7. ce sont des inquiétudes légitimes mais il faut laisser du temps pour vérifier si ce sont des erreurs ou non. s’exciter maintenant ne sert rigoureusement à rien.

        et d’ailleurs, même si le club décidait de descendre en 1ère ligue sans aucune intention de remonter, les supporters n’auraient pas leur mot à dire.

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      8. Les supporters n’auront rien à dire mais feront part de leur mécontentement. Pas sûr qu’il montre encore sa tête si facilement. Parce que tu le veuilles ou non, la patience des supporters est épuisée avec ses incohérences et ses mensonges. S’il continue à faire tout et surtout n’importe quoi, Quennec va avoir les oreilles qui se mettent rapidement à siffler.

        Quant aux erreurs, il faudrait que Quennec prenne le temps de juger pour savoir si sa décision est juste ou fausse. Tu le dis toi même : la reconstruction va prendre du temps. Ce n’est pas en ne laissant pas le temps aux gens de faire leurs preuves qu’il saura s’il a fait une erreur ou non.

        Me réjouis de voir combien de temps vont faire Zubi, Jenkins et le nouvel entraîneur.

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  6. Eh bien, ceux qui attendaient du positif n’ont qu’à retourner d’où ils viennent. C’est un lourd article qu’a écrit Cédric Nardone, et pourtant il s’agit bien du Servette de Quennec.
    Si rien n’est fait pour changer de braquet, je crois bien que tout ça pourrait ne pas durer très longtemps, notamment en raison des aspects financiers…

    Monsieur Quennec: agissez vite et bien pour rétablir un contrat de confiance !

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  7. Il y a une question que je me pose souvent:
    Y a-t-il un moyen de se débarrasser de ce lourd fardeau qu’est le Stade et donc pouvoir économiser 2mio par an…?

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    1. Or, Quennec ne peut pas casser le contrat conclu par Majid Pishyar avec la Fondation du Stade de Genève, car cela n’est pas prévu dans le ledit contrat, lequel prévoit trois portes de sortie, toutes activables uniquement par la Fondation: la faillite de la SA du Servette, la relégation de façon durable en 1ère ligue promotion, ou enfin le manque de moyens financiers mis à disposition par l’actionnaire du club afin de lui permettre de réintégrer la Super League.a réponse est dans l’article…..

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      1. oui mais… un contrat peut être rediscuté et renégocier en tout temps entre les parties, surtout lorsque c’est l’intérêt commun…

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      2. Exactement Charmillot.
        Ce contrat est aujourd’hui encombrant pour tout le monde. Il suffit de pendre juste un peu de recul sur la situation pour réaliser qu’il ne faut pas limiter l’analyse à une seule option.

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      3. SFC+GSHC+SRCG+SdG+FSG+Vernets+nouvelle patinoire-ETG+PPAV+Etat+partenaires de Quennec au sein du club=$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$

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      4. Ah ? Pour le moment, c’est plutôt blocages, pertes, dettes.

        De plus, je ne vois pas bien ce que vient faire ETG là-dedans.

        Enfin, les partenaires de Quennec ne sont pas vraiment liés à l’immobilier.. ou alors tu disposes d’autres infos que moi.

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      5. Donc, tu sous-entends qu’une partie des partenaires de Quennec pour le foot sont liés au PAV ? Tu permets que j’ai un gros doute là-dessus ?

        En outre, j’ai du mal à voir le lien entre le stade et le PAV. au contraire, le stade est un boulet, source de nuisances et de trafic, source potentielle d’insécurité pour les entreprises et particuliers qui viendront s’y installer. Ils auraient plutôt intérêt à le voir disparaître. Ca éviterait de devoir composer avec les nuisances occasionnées par les matchs.

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    2. c’est indiqué dans l’article. Servette ne peut pas dénoncer le contrat, seule la fondation le peut dans un des 3 cas suivants: relégation en 1e ligue promotion, faillite du club, ou si l’actionnaire du club ne met pas assez de moyens à disposition du club. La dernière solution est la plus souhaitable pour le club, mais c’est aussi la plus risquée, et de très loin, du point de vue politique.

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    3. Donc, tu sous-entends qu’une partie des partenaires de Quennec pour le foot sont liés au PAV ? Tu permets que j’ai un gros doute là-dessus ?

      En outre, j’ai du mal à voir le lien entre le stade et le PAV. au contraire, le stade est un boulet, source de nuisances et de trafic, source potentielle d’insécurité pour les entreprises et particuliers qui viendront s’y installer. Ils auraient plutôt intérêt à le voir disparaître. Ca éviterait de devoir composer avec les nuisances occasionnées par les matchs.

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      1. il y aurait quelques partenaires de M Quennec (foot et/ou hockey) que pourraient, par exemple, valoriser quelques parcelles en leur possession dans le périmètre du PAV en cas de réalisation que cela ne serait pas surprenant … enfin ce que j’en dis, … juste parole de petit doigt …

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  8. HS – Lugano numero due…

    1. Vaduz 32 72
    2. Lugano 33 58
    3. Wil 33 57
    4. FC Schaffhouse 33 57
    5. Servette 32 52
    6. Winterthour 32 40
    …………………………..

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  9. Départ de D. Massimo, directeur au FC Sion
    « Le FC Sion précise qu’il ne fera pas d’autre commentaire à ce propos. Le futur du club et sa nouvelle organisation feront l’objet d’une conférence de presse à la fin du présent championnat. »
    Le CC du Valais ne veut rien dévoiler maintenant…… Y a pas qu’au SFC donc …

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    1. Apparemment tu n’as pas envie de lire. L’article ne parle pas de transparence dans la communication. Mais de gestion inconsistante et des problèmes qui en découlent.

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      1. C’est vrai que le titre de l’article ne m’a pas vraiment attirée, toujours la même rengaine sur Quennec….. Ça devient lourd. J’ai quand même lu.
        En effet, J’aurais du commencer mon comm. par : HS
        C’est un simple constat par rapport à un autre club de foot.

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  10. La citation du jour: « On sera champion de Super League en 2014 ». Majid Pishyar au soir de la montée contre Bellinzone.

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    1. Il me semble que Pishyar a dit qu’on gagnerait la Champions League aussi.C’est moins énorme,sur
      Léman Bleu,notre bon HQ déclarait en novembre
      dernier son grand optimiste,un retour du Sfc en Sl
      et en ……coupe d’europe allait se réaliser dans un
      avenir tout proche.Il a du…flair notre bon président.

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      1. +1000 Joël et je vois que les anciens bannis des Eds en 2013 avait bien raison sur colgate Quennec encore quelques Genevois pur souches le soutiennent.. avec cette mentalité de looser je comprend pourquoi le servette est mort aujourd’hui les genevois sont trop longs à la détente les protestations aurait du être bien plus tôt…

        Une fusion avec Carouge un projet concret et une vrai ambition de gagneur redonnerait du plaisir aux gens. Ce mensonge dure depuis trop longtemps!

        Grenat de Bourg en Bresse

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  11. Excellent article de Cédric Nardonne.
    Qui porte une lumière sur des faits objectifs pour tenter d’en apprendre un peu plus sur la réalité servettienne.
    Cette réalité est en ce moment catastrophique, et l’article ne se gêne pas de prendre position et de le relever, non pas pour enfoncer le club, mais pour appeler à plus de cohérence dans son intérêt.
    L’article précise aussi un élément important : chaque supporter est conscient que la reconstruction prend du temps, et que nous ne demandons pas la lune. Oui d’autres clubs ont dû prendre des années pour se reconstruire.
    Mais ce long travail ne justifie en rien les incohérences et la mauvaise gestion.

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    1. Je trouve aussi l’article de Cédric Nardonne juste et bien précis.
      Je copie ici ma réponse à « Klaxon » :

      « le supporter de foot de base peut bien être impatient et prompt à exprimer sa frustration, ça demande du temps de reconstruire un club, surtout quand on repart quasi de zéro comme c’est le cas avec le SFC » :

      c’est normal que le supporter est impatient sinon il ne serait plus un supporter mais un CLIENT. Le supporter peut comprendre la reconstruction lorsqu’il la comprend et ceci se passe dans tous les clubs.
      Le SFC de HQ ne partait pas vraiment de zéro… il était en Super League et qualifié pour la Coupe UEFA ! Et au niveau finance, HQ avait rassuré tout le monde…

      Maintenant, oui, le club risque bien de repartir à -1 voir -2 …

      Pour assurer le renouveau du club dans la nouvelle configuration sur la transparence financière qui va venir, il me semble encore plus opportun de se tourner vers une structure participative où les supporters « impatients » auront un droit de regard et un droit de vote.

      Si le club repart de -2, il est évident qu’il mettra bien plus que 5 ans pour arriver à la hauteur des cibles que sont Thoune et Aarau, pour autant que ces clubs « cibles » survivent…. »

      En résumé, notre groupe de travail est reconstitué et même augmenté pour apporter un soutien à tout plan qui permettra de mettre en place un vrai CLUB en mains de ses supporters.

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  12. je précise les propos de NF concernant les possibilités de résiliation du contrat du stade pour ceux qui ne sont pas informés:

    L’article 9 évoque les cas suivants:
    La faillite de la SA du SFC met un terme au contrat.
    La FSG peut aussi décider de mettre un terme au contrat si
    a) le SFC passe deux saisons dans une ligue inférieure à la ChL
    b) le SFC ne joue plus ses matches à la Praille
    c) les actionnaires du club ne versent pas au club les « moyens financiers adéquats pour atteindre ou évoluer en Super League »
    d) le SFC ne paye pas la redevance
    e) le SFC n’effectue pas les travaux d’entretien du stade
    f) les actions du club sont transférées sans autorisation de la FSG
    g) le SFC viole d’autres obligations du contrat

    Regardez maintenant l’intérêt de ces clauses pour la FSG (et donc, si on simplifie, l’Etat) et ce qui se passerait en cas de résiliation du contrat sans aucune alternative (ce qui explique pourquoi le club ne peut pas résilier). Réfléchissez bien si certaines clauses ne sont pas déjà existantes mais qu’elles n’ont pas convaincu la FSG de résilier le contrat.

    Le SFC comme la FSG ont tout intérêt à modifier ce contrat dans la mesure où le club ne peut l’assumer. D’autant plus si on prend un peu de recul pour ne pas se focaliser que sur le SFC et le stade…

    Voilà, voilà.

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    1. A moins que les actions aient été transférées de Pyshiar à Quennec sans l’aval de la FSG (aucune idée), en l’état actuel, seul le C est jouable. Mais avec un budget de 5 millions, soit bien plus que le promu de cette année, on est dans les choux.

      Le stade est entretenu (la pelouse par exemple) au minimum.
      Servette joue toujours à la Praille et n’est pas relegué en 1ère ligue promotion.
      La redevance, je ne sais pas. Peut-être une autre faille à exploiter.
      Je ne vois pas trop quelles obligations le club aurait violé.

      SFC a intérêt à modifier le contrat. Pas forcément la FSG qui constate que pour l’heure, le club dispose d’assez de liquidités pour entretenir le stade au minimum tout en maintenant un train de vie élevé. Dès lors, pourquoi reprendre un fardeau tant que le pigeon qui a signé le contrat maintient la tête hors de l’eau ?

      J’en reviens aux incohérences de Quennec. On ne peut pas jouer gagnant sur tous les tableaux. Il va falloir choisir. Et pour l’heure, il est perdant partout.

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    2. b) le SFC ne joue plus ses matches à la Praille
      d) le SFC ne paye pas la redevance
      e) le SFC n’effectue pas les travaux d’entretien du stade

      Alors allons jouer à la Fontenette, ne payons plus la redevance et n’entretenons plus du tout la Praille

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  13. Hier soir, assemblée générale du club des 100, visite de M. Salvi qui est confiant sur l’octroi de la Licence III (…) et il a « martelé » les mots : « optimisme », « confiance » et « patience »…
    Dont acte !

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      1. Le problème est qu’entre la confiance du responsable administratif et la décision de l’autorité de recours, il peut y avoir divergence… mais j’octroie le bénéfice de la bonne foi et du bon travail fourni par M. Salvi.

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      2. Réponse réductrice de ma part, je ne sais décidément pas faire court.

        Je voulais dire que c’est une bonne nouvelle que Salvi soit confiant. Cela signifie qu’il a trouvé une voie pour « vendre » les apports des partenaires de Quennec. Si cela passe, il devrait pouvoir reproduire ce schéma à l’avenir… ce qui donne un peu de mou dans le dossier du stade. D’où le souci en moins.

        Ceci pour autant que la licence soit acquise.

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    1. Merci pour cette information monsieur Charmillot.
      Sait-on pour quelle raison exactement elle n’avait pas été attribuée en première instance?

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      1. Cela a été dit et redit : des revenus jugés bien trop optimistes.

        Ca sent la licence avec charges.

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  14. Aujourd’hui le sfc est géré de manière incroyable, de façon à laisser croire l’inverse de ce qu’il se dit dans le management, c’est certain.

    Quand on dit après la pause hivernale que l’objectif est de monter et que l’on démonte l’équipe pour se retrouver à presque 20 points, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond.

    Quand on écarte certains joueurs pour des raisons x ou y et qu’ils ne rejouent plus depuis des mois il y a aussi une raison.

    Quand on dit que l’entraîneur est là pour un moment transitoire et qu’il est prié de partir bien avant et sans le remplacer par celui qui devait reprendre l’équipe c’est qu’il y a une raison.

    Quand on dit qu’il y a des nouveaux investisseurs qui sont prêts à venir et que rien ne se passe, c’est qu’il y a une raison.

    Quand on obtient toujours pas de manière récurrente la licence c’est qu’il y a une raison.

    Quand le président clame haut et fort qu’il donne confiance à Zubi et que ses décisions prêtent à confusion, c’est qu’il y a une raison.

    Quand on annonce un nouvel entraîneur et que celui-ci ne se profile pas encore, c’est qu’il y a une raison

    Quand …….

    Tous les commentaires démontrent qu’il y a un gros soucis mais que celui-ci est tellement noyé par l’intox qu’il est difficile de savoir d’où vient ce mal.

    Il semble que HQ est totalement dépassé, il a placé Zubi pour essayer de faire tourner l’équipe en attendant, que la venue du nouveau directeur est pour soulager une autre partie que HQ ne maitrise pas ou plus, etc.

    Quelles sont les solutions pour le SFC ? Va savoir ! L’avenir très proche va nous le dire.

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    1. Je crois aussi que rapidement les choses vont devoir se décanter, avec le dénouement sur la licence, l’arrivée attendue de Jenkins, le renouvellement des contrats et les transferts, etc.
      Qu’en sera-t-il à la mi-juin ? Telle est ma question.

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      1. Jenkins est déjà là (la preuve dimanche).

        La licence devrait être l’élément déclencheur de la suite des opérations : nomination officielle de l’entraîneur, prolongations de contrats (s’il y en a en vue), avant de recruter une fois que la période des transferts aura commencé.

        Pour ma part, je vais soigneusement archiver les déclarations des Zubi et Quennec. Pas que Klaxon me sorte que personne ne parlait de promotion en hiver si cet argument fait, par exemple, partie de la comapgne de recrutement.

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      2. Jenkins était là dans les tribunes, mais j’espère qu’il frappera fort en terme d’organisation, de communication etc dès qu’il aura réellement pris ses fonctions.
        Et effectivement, ça pourrait avoir des effets avant même le 1er juillet, ce que je sous-entendais en parlant de mi-juin; ce qui sera probablement aussi le temps de la reprise de l’entrainement.

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  15. Pendant ce temps, Zubi continue de virer les Servettiens de coeur restant encore à l’intérieur du club. Mais bon, on travaille sur la continuité, avec des gens totalement extérieurs au club, et au monde du foot. Pourquoi s’inquiéter, hein ? Ce n’est pas un petit supporter qui est un professeur de football, mais qui ne comprend rien à la gestion du foot qui va expliquer au Grand Pascal et au visionnaire Quennec comment on gère un club de foot.

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  16. Je me questionne sur la pertinence d’attendre le dernier moment pour annoncer le nouvel entraîneur, quid du recrutement de nouveaux joueurs,.

    Le SFC est reparti comme TOUTES ces dernières années, un déficit énorme de compétence pour recruter des bons joueurs surtout si l’entraîneur n’est pas en place.

    Est-ce que le SFC va recommencer à faire croire jusqu’au dernier jour du mercato qu’il aura sa perle rare ?

    Ce n’est absolument pas qu’une question de moyens financier, c’est une question de détermination, de perspectives sportives en premier lieu.

    Je remarque que le SFC est le SEUL club qui n’arrive pas à recruter en temps et en heure de bons éléments.

    Ok le budget est primordial mais quel joueur n’aimerait pas venir jouer au Servette même pour un peu moins cher ?!

    Le Servette est aussi un as pour laisser partir ses joueurs sans avoir de retour financier, ça doit être aussi un des seuls dans ce pays.

    Alors en attendant la licence, en attendant l’entraîneur, en attendant les nouveaux investisseurs, en attendant de pouvoir supporter les frais du stade, en attendant que certains joueurs partent, en attendant la fin du mondial……¨

    Bref en attendant tout ça il y le printemps et l’été, le temps de prendre des couleurs pour tous les supporters qui « attendent » depuis des lustres une équipe compétente tant sur le terrain que dans le management.

    En attendant HOP SUISSE !!!

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  17. Il y a un point que j’oublie toujours de relever côté incohérences, et c’est pour Klaxon.

    Si le club a l’ambition de reconstruire patiemment sur des années, qu’il ne voulait pas remonter vraiment cette année en SL, pourquoi avoir engagé à l’arrache Roux, puis Margairaz ?

    Et j’attends toujours ta réponse sur les amitiés de Quennec avec le PAV, et les à côtés.

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    1. voila, juste pour NF :
      il y aurait quelques partenaires de M Quennec (foot et/ou hockey) que pourraient, par exemple, valoriser quelques parcelles en leur possession dans le périmètre du PAV en cas de réalisation que cela ne serait pas surprenant … enfin ce que j’en dis, … juste parole de petit doigt …
      « qui cherches, trouves  » …. parfois !

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      1. tu nous la joues multi-pseudos…. ?

        Donc, tu me dis qu’il faut que le stade reste pour pouvoir valoriser des parcelles ?

        Un peu comme faire vivre un bar en bas de l’immeuble dont on souhaite vendre les appartements en PPE ?

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