Conférence de presse : Encore de belles paroles?

Philippe Salvi, directeur administratif, et Hugh Quennec, président du Servette FC, lundi lors de la conférence de presse.

Image: Keystone

Philippe Salvi, directeur administratif, et Hugh Quennec, président du Servette FC, lundi lors de la conférence de presse.

Si Hugh Quennec se veut rassurant, qu’en est-il vraiment de l’avenir du Servette FC? Pour y répondre, tentons d’analyser un peu plus en détail la conférence de presse tenue hier par le club…

1. Licence de jeu

C’est aujourd’hui que la Swiss Football League rendait son verdict quant à l’obtention de la licence pour la prochaine saison. Le Servette FC s’est vu attribuer la Licence III pour évoluer en Challenge League. La Licence a été octroyée avec une réserve. Le club genevois devra se soumettre à un contrôle trimestriel et prouver le bien-fondé de son budget.

Le Servette FC prend note de la décision de la SFL. Nous répondrons avec diligence à nos obligations et nous concentrons pleinement sur la préparation de la saison 2014-2015.

Nous avons dû répondre à des questions financières, notamment liées à l’infrastructure du Stade de Genève. Nous devons impérativement nous entendre dans les plus brefs délais avec les autorités genevoises pour parvenir à un accord concernant les développements futurs de l’enceinte, ainsi que son financement.

Pas de changement de ce côté là par rapport à la saison dernière où le club se voit octroyer une licence III avec réserves pour évoluer en Challenge League. La SFL fera un contrôle trimestriel du budget…

 

2. Direction sportive

L’entraîneur de la première équipe sera en principe Kevin Cooper (sous réserve des dernières formalités à régler avec son club de Cardiff City) qui assumera également la fonction de directeur sportif du club. Il sera directement sous les ordres du Président Hugh Quennec. Il sera à la tête de la direction sportive composée par ailleurs de Pascal Zuberbühler et Patrick Bruggmann (directeur de l’Académie) qui, tout comme lui, seront présents quotidiennement à Balexert.

Au niveau de la première équipe, Mario Cantaluppi et José Sinval seront, avec Pascal Zuberbühler, les entraîneurs assistants de Kevin Cooper.

Pour sa part, Loïc Favre poursuivra ses activités pour le club en se concentrant pleinement sur le « scouting » et le recrutement des joueurs.

Comment le club genevois en est-il arrivé à engager Kevin Cooper ? En fait, le Président du Club Hugh Quennec a travaillé avec Julian Jenkins, nouveau CEO du SFC, et Pascal Zuberbühler pour l’aider à trouver un entraîneur, peu importe la nationalité de celui-ci, susceptible de partager les objectifs et valeurs défendus par le Servette FC. Julian Jenkins a proposé de faire appel à Kevin Cooper qui a su convaincre les dirigeants grenat par ses compétences, son expérience et son discours.

« Kevin Cooper, relève Hugh Quennec, défend l’identité que je souhaite donner au SFC, soit se baser sur des jeunes issus de notre académie et entourés d’éléments d’expérience pour former une équipe qui sera la fierté de ses supporters par son engagement, sa condition physique sans faille et son esprit positif. Une équipe qui se bat de la première à la dernière minute de tous ses matches en démontrant du fairplay et du respect sur le terrain, et en y faisant preuve d’intégrité. Par ailleurs, Kevin Cooper a une approche et une gestion modernes du jeu, que ce soit au plan de la préparation, de la tactique, de la technique ou de l’analyse des performances. Enfin, il est sensible à la belle histoire de notre club, son riche palmarès et ses anciens joueurs de légende, et il rêve tout comme nous de redonner au SFC son lustre d’antan. »

En ce qui concerne l’effectif pour la saison prochaine, et notamment les joueurs du SFC en fin de contrat, les choses se règleront rapidement une fois que Kevin Cooper aura rejoint le club. A noter enfin que la reprise des entraînements a été fixée au 16 juin.

Kevin Cooper prendra les rênes de l’équipe dès la reprise, le 16 juin prochain. Il devra toutefois obtenir une dérogation de la part de la SFL car il ne possède pas le diplôme UEFA Pro nécessaire pour entraîner en Suisse. Il vient tout juste de s’y inscrire, ce qui devrait tout-de-même lui permettre de prendre rapidement ses fonctions… Plus de détails de la part de Daniel Visentini dans la TDG du jour : « L’homme n’a pas encore le diplôme UEFA pro. Mais un petit article du règlement de l’ASF permet à un club de Challenge League d’engager un entraîneur sans ce diplôme s’il s’est engagé à le passer. Or Kevin Cooper est inscrit au Pays de Galles depuis le 23 mars pour suivre les cours UEFA pro et Servette devrait donc obtenir une dérogation. Mais il devra répondre à beaucoup de questionnements le concernant. »

Petit retour en arrière pour Pascal Zuberbühler qui perd son poste de directeur Technique, ainsi que la direction sportive de l’équipe. Il se consacrera désormais à son rôle d’entraîneur des gardiens, son rôle ayant été redéfini. « Je le remercie, explique Quennec. Il va retourner à son rôle d’entraîneur des gardiens. Il a accompli un gros travail. Il a fait des erreurs aussi, comme nous tous, mais il a toujours tout donné pour ce club. Il fera aussi partie, avec Patrick Bruggmann, de l’académie et, avec Kevin Cooper, de la commission sportive. Mais c’est Cooper qui décidera de tout, des joueurs, des tactiques, de qui engager ».

Concernant les joueurs, « Tous les joueurs qui sont en fin de contrat ici ont le droit de s’engager avec un autre club », explique Hugh Quennec. Le club semble donc prêt à tout recommencer de zéro, avec les risques que cela comporte…

3. Kevin Cooper – Bref profil

Kevin Lee Cooper
Né le 8 février 1975 à Derby, Angleterre

Kevin Cooper a débuté sa carrière de footballeur à Derby en tant que stagiaire en 1993. Durant sa carrière, il a évolué dans plusieurs clubs avec des passages remarqués à Stockport County, Wimbledon et Wolverhampton Wanderers. Il a été nommé  » Fan’s Player Of The Year  » à Wimbledon, distinction décernée chaque saison par les supporters.

Il a débuté sa carrière d’entraîneur en 2011, en prenant les destinées de l’équipe de Bedfont Town, avant de relever un nouveau défi en Malaisie où il a mis en place un programme de développement pour le compte de Cardiff City au sein de 1MCC (One Malaysia Cardiff City). Ce programme implique chaque année des dizaines de milliers de jeunes Malaisiens avec pour objectif de développer le football et ses infrastructures à travers le pays. Au retour de son expérience asiatique, Cooper pris en charge le secteur de développement du club gallois (Cardiff City FC Development Side), travaillant principalement avec les M21 dans le programme EPPP (Elite Performance Player Plan), programme passerelle entre l’académie et la première équipe.

Carrière de joueur
Années Club Matches Buts

1995-1997 Derby County 2 0
1997-1997 Stockport County (prêt) 12 3
1997-2001 Stockport County 155 18
2001-2002 Wimbledon 51 13
2002-2005 Wolverhampton Wanderers 62 9
2004-2004 Sunderland (prêt) 1 0
2004-2004 Norwich City (prêt) 10 0
2005-2008 Cardiff City 40 2
2007-2007 Yeovil Town (prêt) 4 0
2007-2007 Walsall (prêt) 7 0
2007-2007 Tranmere Rovers (prêt) 4 0
2008-2008 Chesterfield 7 1
2008-2009 Newport County 33 2
2010-2011 Neath 16 2

Carrière d’entraîneur
Années Club

2011-2012 Bedfont Town
2012-2014 Cardiff City M21
Depuis 2014 Servette FC

Plus d’information dans l’article que Romain Molina consacre au Gallois : Cooper : des jeunes de Cardiff à manager de Servette

4. Le Projet Servette FC

Hugh Quennec a tenu à rappeler brièvement les éléments-clefs de ce que l’on peut nommer le Projet SFC.

  • 1. Se rapprocher de la communauté genevoise et lui redonner confiance en le club afin de faire revivre l’engouement des Genevois pour le SFC; augmenter par contrecoup le nombre de partenaires et supporters en étant toujours proches des désirs de ceux-ci afin de pouvoir répondre a leurs attentes
  • Redonner confiance aux supporters ne sera pas une mince affaire, idem pour les partenaires. Mauvaise nouvelle de ce côté-ci puisque on annonce la fin du partenariat avec GHI… pour faire revenir le public à la Praille, il faudra plus que de belles paroles. Des résultats, du respect, de la cohérence et de la continuité, la recette semble clair…
  • 2. Stabiliser les finances du SFC, puis augmenter le budget du club afin de pouvoir disposer d’une équipe de pointe en Super League
  • Stabiliser le budget, puis tenter de l’augmenter c’est bien. Mais si rien ne joue niveau sportif, celui-ci aura du mal à prendre l’ascenseur… Et avant de vouloir une équipe de pointe en Super League, il faudra déjà penser à recruter intelligemment en Challenge League…
  • 3. Poursuivre, et améliorer encore, l’excellent travail de l’Académie du SFC pour former des joueurs capables d’évoluer au sein de la première équipe grenat, en donnant à celle-ci une forte identité locale, tout d’abord en Super League, puis en Champions League
  • Champions League? Servette en est à des année lumières aujourd’hui! Le discours de hugh Quennec, même s’il est ambitieux n’en est pas moins utopiste. Concentrons-nous déjà sur le présent avant de rêver du futur, ce sera déjà pas mal…
  • 4. Retrouver la Super League et, à terme, se qualifier pour la Champions League
  • Construire une équipe de Challenge league capable de jouer les premiers rôles, voilà ce que nous aurions voulu entendre. Nous parler aujourd’hui de Champions League c’est comme si l’on promettait à une brouette de se transformer en Ferrari… Aberrant!
  • 5. Améliorer l’infrastructure du Stade de Genève, obtenir les subventions nécessaires pour que la construction de celui-ci soit parfaitement achevée et qu’il bénéficie des améliorations nécessaires pour satisfaire aux exigences de la ligue
  • La charge du stade pèse énormément sur le budget du club et il devient urgent de rediscuter avec les autorités. C’est indispensable pour l’avenir du Servette FC. Concernant les aménagements, rappelons que le Stade de Genève ne dispose pas de pelouse chauffée, ce qui est devenu indispensable pour jouer en Super League…
  • 6. Faire du Servette et du Stade de Genève des modèles d’excellence, que ce soit en Suisse ou hors de nos frontières, afin que le club et son enceinte contribuent au rayonnement international de Genève
  • Excellence, le mot est gonflé. gonflé car il est difficile de penser aujourd’hui que le club peut tendre vers une courbe exponentielle de qualité alors qu’il est au bord du gouffre sportivement. Qui vivra verra…
  • 7. Remplir le Stade de Genève lors de tous les matchs du SFC, quelle que soit la place occupée par celui-ci au classement
  • Remplir la Praille à chaque match? Dans 10 ans, après quelques campagnes en Champion League ce sera peut-être envisageable. Mais aujourd’hui il faudra proposer un minimum de spectacle pour revenir à des affluences moins minables. Enfin, c’est beau de rêver 😉

 

Julian Karembeu/Daniel Visentini/Romain Molina

 

76 réflexions sur « Conférence de presse : Encore de belles paroles? »

  1. Parole parole parole …..

    Bon au moins content eu Zubi retourne à son poste d’entraineur des gardiens.

    Je me demande bien quels joueurs d’experience ils vont nous faire venir ?? (Ou si Marazzi & Margairaz restent ce seront eux l’experience ??)

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      1. Construire autour de Xavier est une idée séduisante. Après une préparation normal, je suis certain qu’il peux tenir un rôle intéressant.

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      2. « Le vieux Monsieur Margairaz est prié de se rendre à l’EMS le plus proche, il est attendu. Merci. »

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      1. A choisir entre lui, Roux ou Margairaz, mon choix est très vite fait.

        Si Margairaz reste, on verra ce qu’il peut apporter avec une préparation estivale. Mais je suis plus que sceptique. Car cela fait 4 mois qu’il est là sans avoir strictement rien montré. Par comparaison, un Esteban entre deux blessures et à court de compétition démontrait des facettes de son talent. Là, c’est le néant.

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      2. En tout cas c’était brilliant cette année pour les 2.
        Ils ne pourront que faire mieux.

        Par contre ce privé de Roux serait une erreur il est bon.

        Et Tadic va resté ou retour à St Gall comme initialement prévus perso je le vois quand même juste pour la superleague.

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  2. Ce que je trouve personnellement le plus inquiétant dans ces principes c’est la foi de Quennec, qui me semble naïve mais je peux me tromper, en sa capacité de remplir le stade de la Praille et donc de réussir au final à faire du bénéfice avec ce club. J’ai un peu peur qu’il retombe bien vite sur terre comme beaucoup d’autres avant lui qui se sont rendus compte combien c’est difficile voir impossible de faire du bénéfice avec un club de foot en suisse…

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    1. Exactement, même Bale qui a pourtant une excellente moyenne de spectateurs ne ferait pas de bénéficie si il n’arrivait pas à vendre des joueurs aussi chere.

      de plus, vouloir remplir le stade à chaque match me semble hélas pour l’instant complètement utopique. Même Young Boys, Saint Gall et Lucerne qui ont pourtant des nouveaux stades et un public fidèles n’arrivent pas à remplir leur stade à chaque match.

      Dans une certaine mesure le discours de HQ me fait penser à celui de Psyhar ou de Marc Roger (toutes proportions gardées bien entendu). Parler de ligue des champions alors qu’on a fini 5ème de challenge league…
      Notre objectif doit d’abord d’être compétitif en challenge league et de viser la montée ou au moins les deux premières places.
      Je trouve aussi HQ peut cohérent lorsqu’il parle d’identification du public avec l’équipe et le club et qu’il va chercher des personnes qui ne connaissent rien à Genève et au foot local. Il a engagé tant au niveau sportif que administratif des personnes totalement extérieures à la réalité du foot Suisse qui est très différente que la réalité anglaise. Lorsque HQ dit que à Cardiff Jenkins a réussi à faire passer la moyenne de 5 000 spectateurs à 28 000 spectateurs c’est très bien mais il oublie de préciser que c’était 5 000 spectateurs de moyenne en d2 et que les 28 000 spectateurs c’est car Cardiff avait été promu en première division anglaise avec des très gros chocs contre Manchester United, Manchester City, Chelsea, Liverpool, Arsenal, Tottenham, Everton, Newcastle etc… et le derby gallois contre Swansea donc ce n’est pas très étonnant. On verra la moyenne de Cardiff la saison prochaine en deuxième division.

      Bref de nouveau des très belles paroles mais on attend de voir les actes concrètement et pour cela il faut que très vite le club construise une équipe solide, avec un mélange de joueurs d’expériences et de jeunes. L’avant saison est très importante si on veut bien démarrer le championnat.

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  3. « On annonce la fin du partenariat avec le GHI ».
    Vous avez lu ou entendu ça où?

    Quennec a un beau projet, mais si personne à Genève ne veut mettre un centime dans ce club, je ne vois vraiment pas comment atteindre les objectifs fixés même à long terme.
    Espérons que le projet écrit noir sur blanc par Quennec, donne envie a certains investisseurs de se lancer dans cette aventure, mais je doute. A Genève , il y a beaucoup de personnes qui l’ouvrent et qui se plaignent, mais très peu qui se bougent.
    A commencer par nous supporters, si nous n’aidons pas un peu le club en nous réabonnant, je ne vois vraiment pas comment ça pourrait motivé ces investisseurs à se lancer et que le budget de 2014/2015 pourra être bouclé.

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    1. Le projet n’est pas écrit par Quennec. Lui ne comprend pas le football. Le projet, si projet concret il y a, est et sera écrit par Jenkins et Cooper.
      Quennec est juste le garant et le représentant du club.

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    2. Le projet de HQ écrit noir sur blanc ?? euh a part des belles paroles je n’ai pas vu de projet très sérieux. C’est facile de dire qu’il veut jouer la ligue des champions et remplir le stade à chaque match mais c’est peu réaliste.

      Après oui tu as raison peu de gens se bougent à Genève, mais je pense qu’il serait possible d’avoir un peu plus de gens qui se bougent SI le club était plus transparent et plus proche des genevois. Le club a totalement négligé des genevois qui voulaient aider le club notamment dans le domaine de la communication et a préféré prendre des anglais beaucoup plus chere et qui ne connaissent rien à la réalité genevoise.

      J’espère de tout coeur me tromper, mais je pense qu’une nouvelle fois HQ a tout faux et qu’on est reparti pour vivre une saison dans le ventre mou de la challenge league avec un stade quasi vide sauf lors des matchs contre Lausanne.

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  4. Construire autour de Margairaz est cohérent.
    C’est de loin le meilleur joueur du Servette. Par ailleurs, il possède l’expérience et à un esprit très impliqué. Ce peut être un bon leader pour nos jeunes.
    Il lui faut maintenant une bonne préparation.
    Mais avoir Dams et Margairaz dans le contingent grenat est une chance pour le Servette et un luxe pour la Challenge League.

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    1. Faut déjà arriver à garder Dams.

      Il faudrait aussi dans l’idéal 2 ou 3 joueurs d’expériences en Super League et 3 ou 4 bon joueurs de challenge league (Paiva de Wohlen ? voir aussi quelques joueurs de Schaffhouse qui a une belle équipe).

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    2. Margairaz a peut-être la plus belle carrière de l’équipe, mais je ne crois pas que c’est le meilleur joueur du club.

      Pour obtenir ce titre, il faudra montrer bien plus que ce que l’on a vu depuis février…

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  5. Il est évident que Quennec ne connaît absolument rien au football.
    Tu ne peux pas apprendre cette culture en 2 ans. Soit tu y es né, soit tu y seras toujours à quelque part étranger.
    Ce n’est pas de Quennec que tout dépend. Mais des gens qui l’entourent. Si ceux-ci sont cohérents, professionnels, compétents et imposants, alors le Servette a un bel avenir devant lui. Sinon…

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    1. HQ a surement beaucoup de bonne volonté mais il est entouré de mauvaises personnes malheureusement et hélas pour l ‘instant l’avenir du SFC ne s’annonce pas très bien.

      Après tout dépend de la pré saison, si durant la pause estivale le club se renforce intelligement avec des joueurs d’expériences et des jeunes du cru ainsi que quelques bon joueurs de challenge league on peut y croire. La challenge league a beaucoup de joueurs pas mal, pourquoi ne pas tenter d’approcher certains bon joueurs de club de bas de classement en challenge league. Wohlen, Bienne, Winti, etc… ont quelques bon joueurs qui ne devraient pas être trop trop chère et qui connaissent déjà la challenge league.

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      1. Pour être cohérent avec le « projet », il faudrait idéalement que le contingent du Servette soit composé des 2/3 de jeunes du cru, et d’1/3 de joueurs d’expérience-renforts (soit meilleurs joueurs de Chl, soir joueurs de SL, soit bons étrangers).

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  6. Je vous trouve dure sur certains points…
    on voulais un projet … on l’a!
    maintenant, certaines idées utopiste, mais au moins il y a des ambitions… je trouve ça bien personellement.

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    1. Oui mais les ambitions semblent un peu démesurées et le discours de la ligue des champions etc… on l’a déjà eu de nombreuses fois (Marc Roger, Pisyhar etc…) et on a vu ce que cela a donné. Après oui tu as raison il faut être ambitieux et c’est très bien de vouloir essayer de remplir plus le stade mais pour cela il faut déjà commencer par avoir une équipe compétitive en challenge league ce qui n’est encore de loin pas gagné.

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  7. Cohérance, projet pas sérieux blablabla… Ok HQ/PZ etc n’ont pas fait tout juste ! mais il faut pas oublier que cela fait plus d’un an qu’on a pas lu un article sur des factures impayées des charges sociales et salaires en attente donc il faut arrêter avec ce pessimisme ! ok la champion’s league c’est pas pour tout de suite et alors c’est bien d’avoir des objectifs à long terme, ok on a fini 5ème de challenge league cette année mais à 3 pts de la deuxième place derrière Vaduz qui a fait un super championnat. HQ est une personne sérieuse implanter en Suisse et qui n’a aucun intérêt a se pourvoyer ! ABE supporter du SFC supportez et laisser le temps

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    1. @finsius : Effectivement, il faut relever l’ambition du projet. C’est une bonne chose. Le Servette FC n’a pas le choix, c’est écrit dans ses gènes : il doit être ambitieux. Cela fait partie de son identité, n’en déplaise à certains fatalistes.
      Cela dit, il faut maintenant que des actes concrets confirment le bien-fondé de ce projet, parfait en théorie.
      Ce qui est positif, c’est que chaque élément prioritaire et identitaire figure dans le projet. Les dirigeants sont donc conscients des priorités.
      A eux maintenant d’apporter la stabilité et la cohérence dans les actions entreprises. Car la saison qui vient de s’écouler est une vraie catastrophe, tant sur le plan sportif que directionnel. Une honte. Un manque de compétences et de professionnalisme.
      Le Servette est à la croisée des chemins aujourd’hui. Il peut changer cela et réellement se reconstruire. Les idées sont là. En théorie. Aux dirigeants de la prochaine saison de passer de la théorie à la pratique dans les actes. C’est la dernière chance pour le président Quennec. Sans quoi, il sera totalement désavoué et devra céder sa place et lâcher le club, pour le bien de celui-ci.

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      1. Je suis tout à fait d’accord avec toi, mais je pense que dans les articles de presse voire de ce blog (dont je suis un fervent suiveur) on ne parle que des résultats de la première équipe (qui est bien sur la vitrine de notre club), mais ne pensez vous pas qu’il serait intéressant de faire un vrai reportage sur les changements, les structures mise en place dans l’académie, je pense vraiment que quand HQ repris le club il n’y avait plus rien et qu’il a construit par le bas pour stabiliser la seule vrai ressource du SFC la jeunesse de la région qui est tellement diversifié et pétris de talent, aviez-vous déjà entendu que des jeunes signes des contrats pro a 17/18 ans auparavant ? moi pas en tout cas ce qui nous permet d’éviter de se faire piller et encaissé des fonds. Voilà je suis impatient comme vous de revivre un match comme bellinzone ou contre Zaragosse en UEFA mais il faut BATIR et ne pas brûler les étapes.

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      2. @finsius : Oui, nous sommes tous d’accord je crois. Nous voulons un club qui se reconstruit. Il y a un travail qui s’accomplit dans l’académie, oui. Mais jusqu’à maintenant, les incohérences au niveau de la gestion de la première équipe masquent malheureusement ce travail de fond. Les deux axes doivent être conjoints, sinon à quoi bon fournir un travail sérieux avec les jeunes si la première équipe marche sur la tête.
        Les supporters n’attendent pas que le Servette soulève un 18e trophée de champion suisse dans 2 ans. Ils se montrent même bien moins ambitieux à ce niveau que le président lui-même.
        Tout ce qu’ils attendent est de soutenir un club qui agit avec cohérence. Ce deuxième tour est incompréhensible. Il n’y a eu aucune stabilité. Jamais la même équipe reconduite, d’un match à l’autre, malgré les victoires obtenues et les bonnes performances. Des joueurs bannis pour des raisons anodines. Des jeunes lancés dans le bain au sein d’un contexte peu favorable, sans être réellement soutenus par des cadres. Bref, une impossibilité pour le supporter lambda de s’identifier à une gestion qui s’est avérée totalement incohérente, jusqu’au dernier match.
        Il faut que ça change. C’est impératif. Cela n’enlève nullement l’excellent travail qui peut être fourni à l’académie, mais cela va l’anéantir, assurément à terme.
        Oui, il faut bâtir et ne pas brûler les étapes. Mais pour cela, il faut de la continuité. Si tout est changé chaque 3 mois, ou au mieux chaque 6 mois, aucune étape n’est franchie. Et tout est brûlé.
        C’est justement ce qui fait fuir les sponsors aujourd’hui.

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  8. Personnellement, j’ai trouvé Quennec très usé et au bord du burn-out lors de cette conférence.
    Les contradictions du style ‘On veut jouer la champions league’ alors qu’on s’en est pris 5 à Wohlen 2 jours plus tôt ou encore ‘On veut un stade plein à tous les matchs’ alors que l’on sait quelle est la réalité genevoise montrent la folie dans laquelle on baigne…
    De plus, engager Cooper tout en étant convaincu qu’il est l’homme de la situation alors qu’il n’a absolument rien prouvé me laisse encore plus perplexe… Cette nomination pue le baclage et le copinage. Pourquoi Lausanne peut-il engager l’assistant de Urs Fischer qui vient d’un club sur lequel notre club devrait s’inspirer (Thoune) et pas nous?
    Comment peut-on croire qu’un type qui ne parle pas un mot de français, qui va enchaîner les allers-retours entre Genève et la Grande-Bretagne en vue de l’obtention de sa licence, qui n’a AUCUNE connaissance du foot suisse et qui n’a tout simplement jamais entraîné une équipe d’adultes pro va nous mener vers la Super League (commençons par là..)??
    Se débarrasser de joueurs comme Routis ou Pasche me paraît outrageusement scandaleux. Le vautour thurgovien aura encore son mot à dire la saison prochaine, j’en suis sûr.
    J’espère me tromper mais il me semble qu’on va très mal…

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    1. Sans parler de Jenkins qui va arriver sur une autre planète… Commment les partenaires vont-ils vouloir collaborer avec quelqu’un pas capable de rédiger un mail en français?

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      1. Nan mais il faut arrêter ça, ce sont des pro, pas une cours d’école ! Depuis quand il faut obligatoirement parler le français pour attirer des partenaires ?! Qu’est-ce qu’il faut pas attendre…

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      2. l’anglais est la langue des entreprise de nos jours, la majorité de celles-ci ont des échanges commerciaux en anglais .

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      3. A Franck Luvet, jusqu’à preuve du contraire Genève et la région genevoise est encore une région ou on parle d’abord français. Donc oui c’est très bien qu’une personne parle anglais mais je trouve qu’une personne si haut placée dans l’administratif du SFC devrait au moins parler français.

        Ce qui me fait surtout peur c’est qu’à Genève c’est pas du tout la même mentalité qu’à Cardiff. De plus, c’est facile de remplir le stade à Cardiff quand tu joues contre Manchester united, Manchester city, Chelsea, Liverpool, Everton, Arsenal, Newcastle, Tottenham, Swansea (derby gallois) et de nombreuses autres équipes qui drainent un grand nombre de supporters à l’extérieure.

        Enfin bon laissons un peu de temps à Jenkins, mais je suis spectique, pourquoi HQ n’a -t-il pas répondu favorablement aux personnes compétentes de la région genevoise et qui sont en outre fan du SFC ? C’est un mystère…

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      4. @ Seba. Avant de viser les grosses multinationales (qui n’en ont rien à foutre du SFC et qui n’investissent pas du tout pour les clubs sportifs du canton) il faudrait d’abord chercher des partenaires locaux qui eux ont plus de chances d’être intéressé à soutenir le SFC et à promouvoir leur image localement. Pour cela il faut parler français car un grand nombre d’entrepreneur locaux ne parlent pas spécialement bien anglais car ils n’en ont tout simplement pas besoin.

        L’anglais est certes devenu une langue internationale, mais lorsque tu fais des affaires avec des partenaires il est toujours mieux vu de parler dans la langue de l’endroit ou les affaires ce font. En l’occurence le français à Genève. C’est très bien si Jenkins parle anglais, c’est une bonne chose mais ce serait encore mieux si il parlait aussi français.

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      5. @flavsfcgeneve
        Je m’excuse, mais la majorité des start up qui débutent à Genève, et qui se transforme en réele PME ont pour langue commerciale l’anglais.
        Il est clair que nous ne parlons pas des boucherie de quartier, mais bien des PME qui souhaite investire un peu d’argent dans le Sport.

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      6. Le français il va l’apprendre et le foot est un langage universel !!! Son job ne sera sûrement pas de faire le tour des fleuristes pour un ballon de match, mais plutôt pour des contacts plus large. J’ai tj pensé que la Ge international était bi-langue ou je me trompe. Pour une fois et depuis longtemps certain devraient prendre exemple sur cd et enfin lâcher du mou et attendre de voir comment les choses vont se mettre en place. Quand a l’entraîneur, celui de loz n’as rien prouvé non plus et si c’était pour ce retrouver avec schurman ou ryf et bin autant notre gallois. Au moins nous n’aurons pas une larve qui reste assis sur le banc. Je veux un gars qui se fasse respecter par ces joueurs, arbitres et adversaire, en gros qui a une belle paire de coui………

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      1. surtout Pasche. Routis n’est pas extraordinaire, cependant Routis a quand même un état d’esprit remarquable, sur le terrain on voit qu’il ne lache rien et des joueurs comme lui le club en aura surement besoin.

        Ce que je trouve scandaleux c’est le manque de profesionnalisme du club à l’égard des joueurs que le club ne veut plus.

        Avant de penser à jouer la ligue des champions il vaudrait peut être mieux penser à devenir un peu plus profesionnel et correct dans la gestion du club et des joueurs.

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    2. Je partage les mêmes craintes que toi. Si Cooper avait été, comme Alves, un entraîneur réputé pour faire remonter d’une ligue ses équipes, j’aurais compris son engagement.

      Là, il n’entraîne des jeunes que depuis 2001, son expérience est donc plus que débutante, y compris dans la formation. Je trouve Quennec trop catégorique sur le fait qu’il pense avoir trouvé la perle rare. Mais comment en être aussi convaincu avec le petit palmarès de Cooper?

      J’espère pour lui qu’il ne s’emballe pas une nouvelle fois dans le vide…

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      1. Tout en concédant la semi-incompréhension de la nomination de Cooper, je pense néanmoins qu’un palmarès se construit et que Servette peut être son tremplin également. Il ne faut pas partir en besogne avant de l’avoir vu à l’œuvre. C’est une chance énorme pour Cooper de prouver ses potentielles compétences, je pense sincèrement que le bonhomme, qui plus est entouré de Jenkins, se donnera un maximum. Est-ce que cela suffira? Seul l’avenir le sait. Pour le moment, profitons d’avoir enfin le coach que les dirigeant voulaient et que les choses se soient clarifiées.

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      2. surtout quand on sait que HQ ne connaît pas grand chose au foot (sans vouloir le critiquer, il avait d’ailleurs admis lui même ne pas être un énorme connaisseur de foot. Ce qui en soi n’enpêche pas de pouvoir être un bon président).

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      3. QUE depuis 2001? On est en 2014, cela fait donc SEULEMENT13 ans d’expérience. il en faut 50 pour être valablement expérimenté?

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    3. Surtout qu’à Genève le français n’est depuis bien longtemps plus une langue officiel pour y travailler…ce qui soit dit en passant m’exaspère bcp…mais c’est un autre débat 😉

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      1. Tu as en parties raison. Toutefois, les multinationales qui parlent anglais à Genève en ont strictemment rien à foutre du SFC et ne sont pas la pour sponsoriser un club sportif. Tandis que les entreprises locales sont plus susceptibles de soutenir le Servette et les patrons de ces entreprises locales utilisent, heureusement, encore nettement plus le français que l’anglais.

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    4. On verra bien. On souhaite tous le bien du club, laissons donc le temps répondre à toutes nos interrogations. En tout cas j’espère que je me trompe royalement…

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  9. Quand même un mot pour souligner la qualité de cet article, qui essaye de mettre en perspective la conférence de Quennec.

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  10. Maintenant que le Directoire et le staff sont en place, quelles sont les rumeurs de transferts, des joueurs qui restent ou qui partent???

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  11. Le projet est intéressant!?!?
    Je rejoins certains commentaires…au vu de cette trop longue trêve avant la reprise pourquoi ne pas s intéresser a cette Académie du Servette, une sorte d infiltration au sein même de Balexert afin de connaître le projet de l Académie qui est le lien direct avec notre première équipe. Des gens y travaillent depuis des années voir des siècles.. Demandez leur ce qu ils en pensent, lanza polidura braiza, ça pourrait être intéressant non?

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  12. Il va être intéressant de voir ce qui sortira ces prochaines semaines (mois) de tout cela. Du côté de l’effectif, il y a du travail plein les bras pour le triumvirat Cooper-Zubi-Bruggman, tout comme Favre devrait avoir du travail plein les bras pour boucher les trous consécutifs aux départs.

    Une remarque sur ce que disait GrenatDC concernant l’équilibre de 2/3 de jeunes pour 1/3 d’anciens. Pour commencer, il faut voir si on parle de jeunes issus de l’académie. Mais là, je vois mal 14 joueurs (2/3 de 21) en tout intégrer la 1ère (inclus les Bua, Hasanovic, Guedes, Bytyqi, Rodrigues, Kursner, Cespedes, ce qui en ferait 7 supplémentaires. Autant de joueurs en si peu de temps, cela semble impossible). Donc, soit on descend à une petite moitié de jeunes, soit on intègre des jeunes recrutés à l’étranger.

    Donc, si on part sur 10 jeunes, il faudrait en ajouter 3 (pour autant que personne ne parte). En ajoutant les joueurs sous contrat que le club pourrait garder (Barroca, Dams et Pont), cela signifie qu’il faut prolonger/recruter 6-8 joueurs cet été. Nous avons des options sur 8 joueurs potentiels candidats (Muller, Korede, Markovic, Marazzi, Margairaz, Tadic, Placca, Doumbia).

    En partant du principe qu’on va tourner avec un effectif entre 20 et 23 joueurs, cela donne une idée du chantier.

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    1. J’espère que Favre n’a pas attendu la fin du championnat pour observer et se faire une idée sur des joueurs.

      Du reste, à propos de Favre, indépendamment du rôle du recruteur qu’il a joué en début de saison, je le trouvais également intéressant dans la gestion des contrats: faire signer nos jeunes prometteurs, pour les joueurs venant de l’extérieur des contrats courts avec une option pour d’autres saisons (cela permet de ne pas de trainer des boulets sur plusieurs saisons et au contraire cela donne la possibilité de prolonger les joueurs qui donnent satisfaction).
      Je ne sais pas qui va gérer les contrats, Cooper?

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      1. Tout les matchs que je l’ai vu ( si ce n’est ces 2 buts contre Wil) Il a été nul. Très lent, loupe un nombre incalculable d’occasions. J’ai ramené un pite une fois qui ne viens jamais voir des matchs du servette, il m’a demandé si notre numéro 9 était une blague ou pas. Bref, tout ça pour dire que n’importe qui fera l’affaire.

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      2. Tellement mauvais qu’il plante 11 buts en ne jouant presque pas la seconde moitié de championnat.

        Ce n’est pas une star. C’est clair. Mais trouver un attaquant capable de planter autant n’est pas si simple.

        Mais on a Roux. Attaquant qui aurait fait un malheur dans les années 80 quand on jouait avec de vrais ailiers qui centraient. C’est ballot il est né 30 ans trop tard.

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    1. Je préfére un attaquant qui puisse créer du jeu et peut-être marque moins de but, car Tadic ralentissait tout notre jeu

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      1. C’est le profile des attaquants dits « modernes »… par contre, tu pourras chercher aussi longtemps que tu veux mais je n’en vois pas un seul, HTP et accessible a notre bourse, qui viendrait chez nous.

        Faut pas rêver, on ne trouvera jamais meilleur ques les bannis du grand pin ou les joueurs en fin de contrat. Ca sera du recrutement en 1ere ligue, en 5eme divison anglaise ou des paris sur des jeunes africains ou sud-américains.

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    2. 14 buts au total (championnat + coupe de Suisse) en ne jouant que partiellement et dans un système de jeu qui ne le mettait pas toujours en avant, tu appelles ça une chèvre ? Franchement, faudrait revoir ton vocabulaire.

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      1. Marquer des buts ne veut pas tout dire ! Chaque fois qu’il recoit le ballon, il le perd ou prend trois heures pour le donner. Pour moi oui, jamais on pourra compter sur lui pour jouer la promotion…

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  13. Point positif: on prend un nouveau départ. Point négatif: on hésite à y croire.
    Moralité: je me persuade que j y crois et Servette va enfin retrouver son lustre d antan.
    Au final: l avenir proche donnera la vraie réponse mais le coeur restera grenat peu importe.

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    1. Moi je me dis qu’il faut y croire, c est la dernière chance de HQ d être crédible aux yeux de tous. Mais bon faut pas rêver on aura une équipe qui corespondra à notre budget .Des jeunes du club, et de jeunes étrangers provenant de Cooper-Jenkins, et de joueur type roux ou margarairaz pas chrs quoi ! Et espérer qu on conserve Damms , je pense que avec de la volonté et de la discipline on peut monter !

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  14. @NF : il m’apparaît important de conserver Dams, Muller, Doumbia, Margairaz, Marazzi et Pont.
    Ensuite, il faudrait faire venir 3-4 renforts d’expérience, des vrais leaders. Au minimum 1 par ligne.
    Le reste du contingent pourrait être constitué des jeunes, surtout du cru (au moins 2/3) et de bons espoirs suisses ou étrangers qui ne sont pas du cru (1/3).
    Le contingent serait alors en cohérence avec le projet sportif.

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    1. Mais on le voit déjà… L’élaboration du contingent sera difficile. Il nous faut déjà 1 attaquant d’expérience. Derrière, nous n’avons pas vraiment de joueurs expérimentés. Quel amalgame vont-ils trouver pour forger une base défensive solide, surtout si l’on perd Doumbia?
      Le chantier est énorme.

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    2. Pour Muller, on a Barrocca. Margairaz, je pense qu’on peut le laisser partir. Se battre pour conserver Dams et Doumbia si les finances le permettent. Tenter de garder Tréand dont la signature à St Gall n’est pas annoncée.

      Mais bon, il est difficile de bâtir son équipe quand on n’est toujours pas 100% sûr de pouvoir entraîner la saison prochaine.

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  15. Pas de sentiments au point ou nous en sommes !! C’est très bien de faire un peu le ménage dans le contingent et de voir des nouvelles têtes ! Dams et Doubia peuvent et doivent rester le reste cela ne doit pas nous affecter mais plutôt nous réjouir pour avoir de nouvelles ressources financières ! Bien sur les jeunes ne rentrent pas de cette tranche ! Routis, Tadic who’s next ? Treand ? Très bien !!!

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  16. Pas de panique! Ni d’euphorie d’ailleurs! Simplement de la patience. En espérant que cette fois-ci les choses se passent bien. …et quand on parle de Ligue des Champions, c’est à terme, c’est-à-dire long terme (plus de 5 ans) voire très long terme (plus de dix ans) et pas à moyen terme (3-4 ans) comme l’a écrit un quotidien vaudois…

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