Affluences et classement du SFC – Premier tiers de saison 2014-2015

Regards sur le 1er tiers de la saison et un point-clé du projet actuel : l’affluence à la Praille.

S-affluence simple

Comme on pouvait s’y attendre, le premier tiers de cette deuxième saison dans l’antichambre de la Super League a été plutôt difficile pour le Servette FC. Pas tant sur le plan sportif, où l’équipe genevoise peut encore se targuer d’être dans la course à la promotion, mais sur les autres plans, et notamment l’image et la réputation du club relayées par les affluences à domicile. Avec à peine 3’000 spectateurs de moyenne à La Praille cette saison, Servette se trouve en quelques sortes au carrefour de son projet.

Entre formation et ambition

L’équipe de direction sportive emmenée par Kevin Cooper a beau essayer de ménager la chèvre et le choux, le projet de MM Quennec et Jenkins (tel que nous l’avons compris) fondé sur les jeunes pousses servettiennes demande patience, confiance, et expérience, alors que le public, baigné de Champions League et de réseaux sociaux, attend des stars, des résultats et au moins du jeu offensif (rappel) au plus tôt. Il y a donc un fossé notoire qui se lit dans les réactions match après match (rappel) et la fidélité des supporters grenats, d’autant que la confiance s’est érodée au gré des résultats en dents de scie.

Entre passion et invitations

Le trop-grand Stade de Genève a donc de la peine à son remplir ne serait-ce que de son dixième, avec quelques centaines de passionnés, abonnés habitués ou non, quelques familles ou suiveurs indépendants, et une belle brochette d’invitations. Le summum pour ces entrées gratuites ayant été logiquement atteint dans le derby contre Lausanne où chaque abonné disposait de 4 entrées gratuites. 6’000 personnes étaient présentes dans le stade, mais ce n’est pas grand-chose si on les compare aux plus de 17’300 supporters du 6 août 2011 (certes en Super League) par exemple. Et en ce 18.08 dernier on atteignait la meilleure affluence cette saison jusqu’à présent !

Afflu et Classt SFC_mi-Nov 2014
Affluence et résultats sur le 1er tiers de saison – 2014-2015

Résultats et espoirs

Le stade se remplit (si on peut dire) donc en partie artificiellement, comme sous l’ère Pishyar d’ailleurs, et cela donne l’ampleur du challenge d’un Julian Jenkins qui voudrait en faire un antre commercial, sympathique et plein comme un œuf, qui accueillerait à terme la Champions League.

Et espoir il pourrait y avoir. Petit à petit, l’arbre planté au début de l’ère anglo-saxonne, commence à porter quelques fruits. A commencer par les toutes récentes trois victoires d’affilée en Challenge League, avec comme point d’orgue le derby de lundi soir disputé à la Pontaise devant 4’800 spectateurs (donc à plus de 2/3 vide lui aussi) mais avec aussi une rencontre qui servira de référence. Il y a aussi d’assez nombreuses initiatives d’actions de communication et d’interactions, en témoignent la nouvelle vigueur du site officiel et la présence du SFC sur les réseaux sociaux (lien), ou encore par le développement du concept d’ambassadeurs, certes contesté, mais qui a le mérite d’animer le lien entre le club et ses supporters abonnés.

Vers un retour des affluences ?

Va-t-on pour autant vers une augmentation de l’affluence à la Praille ? Pas sûr. D’abord il ne reste que deux (petits) matchs à domicile avant la longue trêve hivernale, contre Schaffhouse le 24.11 et Chiasso le 07.12, et les plutôt récents signes positifs auront sans doute du mal à faire évoluer une inertie construite tout au long de l’année 2014. Ensuite, Le supporter grenat est en général très fort dans l’exercice de l’excuse : la Challenge League, l’adversaire, les résultats, le jeu pratiqué, la triste enceinte, le temps, les vacances, piscine-bridge-ps4 and so on.

Et pourtant, l’équipe première du Servette s’est bien souvent montrée courageuse cette saison, s’appuyant sur de nombreux jeunes talents du cru (faut-il rappeler les Bua, Dominguez, Rodrigues, Kursner, Gazzetta, Cespedes, ou dernièrement Zakaria), et aussi d’autres figures plutôt remarquables voire charismatiques (ex. Vonlanthen, Dams, Roux, Pasche ou Müller), commençant à développer un jeu intéressant (comme en deuxième période contre Wohlen et les 3/4 du match à Lausanne), et en ayant su apparemment rebâtir un très bon esprit de groupe. Bref, un projet sportif qui prend forme, et plutôt bien en assez peu de temps.

Il y a donc de bonnes raisons de réactiver toutes les formes de soutien comme autant de signes d’ambition. Celle de la course à la promotion bien sûr, mais aussi celle de la confiance dans un projet sportif qui nous apparaît non-sans-embûches sérieux et prometteur. Dans cet esprit, à MM. Jenkins et Cooper de ne pas rater les prochains rendez-vous à la maison pour que tout le monde regarde devant, loin devant, de plus en plus, et aussi longtemps que possible. Y compris après la trêve ;-).

Allez Servette !

Ciao

Michel

37 réflexions sur « Affluences et classement du SFC – Premier tiers de saison 2014-2015 »

  1. Malheureusement le prochain match à domicile est un lundi, donc je ne pense pas qu’on observera une augmentation de l’affluence grâce aux bonnes perfs des derniers temps. Triste de raté ce match, mais je ne me plains pas du système. Je suis aussi très heureux qd on peut voir un match en live un lundi soir de l’autre côté de la Suisse.

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  2. Le délire du stade plein comme un oeuf est de Quennec. Ce qui ne diminue en rien l’ampleur de la tâche de Jenkins. Ceci dit, comme je le disais il y a un moment déjà, un bon marketing sera sans effet si sur le terrain cela ne suit pas.

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    1. En parlant de marketing…pourquoi est on la seul équipe évoluant avec le même maillot que la saison dernière?
      Perso je le trouve vraiment pas beau, même à Cristiano Ronaldo qui est super bien bâtis, le maillot ne lui irais pas…

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      1. Parce qu’on est fauchés et que la beauté du maillot est secondaire quand tu es financièrement sur la corde raide.

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      2. Aaaaaa….un expert en marketing… avoir un maillot un peu plus moderne et un peu plus jolie ferais rentrer de l’argent au club…on pourrais les vendre au stade et à OCHSNER au centre commercial de la praille…la ou ceux actuel ne se vendent pas…parce qu’il sont moches…j’achetais chaque année les maillot et plein d’amis fesait de même…mais personne que je connais à acheté celui la…

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      3. On a des maillots merdiques, parce qu’ils sont de marque Fourteen. Et on a des maillots Fourteen, parce que c’est la marque qui offrait le plus d’argent au SFC quand Quennec a repris le club et qu’on risquait la faillite.

        En étant très optimistes, on pourrait vendre 1000 maillots par saison, ce qui représente environ CHF 100’000 de chiffres d’affaires. Sachant que le maillot a un coût de production et que le marque prend aussi sa marge

        l’argent versé par Fourteen au SFC pour fournir les maillots > la vente hypothétique de maillots aux supporters. C’est aussi simple et mathématique que cela, le club ne peut pas se permettre de faire la fine bouche.

        Il faudra attendre la fin du contrat avec Fourteen pour voir autre chose.

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      4. @Cousto : expert en marketing, non. Mais en finance, oui. On ne va rien gagner en ayant de nouveaux maillots. A notre niveau, on doit les payer. Rééquiper tout un club, y compris les juniors, va largement manger le petit bénéfice dégagé par leur vente.

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      5. On peux avoir la marque 4teen et avoir un joli maillot…tu met du grenat pour le T-shirt, colle rond et pas en V, les manches grenat avec la couture bleu à la fin (bleu froncé) et short bleu froncé et voila…tout les supporter l’achète…pas se style rétro ou le maillot bleu la avec les ficelles au niveau du torse…mon dieu…sa ressemble à tout sauf à un footballeur loooool

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      6. Même carouge à changé de maillot et si t’es un expert en finance…quand tu passe un contrat avec une marque tu stipule dans le contrat  » un nouveaux maillot par saison » comme tout les club de foot et surtout le GRAND SFC…c’est une question d’étique professionnel…y a qu’a enlevé Zubi sa dégagerais des fonds…quennec c’est bien passé de Favre…

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      7. Le grand SFC ne vit plus que dans la mémoire collective. Nous ne sommes aujourd’hui qu’un petit club avec des moyens très limités.
        Maintenant, Fourteen est certainement prêt à nous vendre de nouveaux maillots chaque année. Il suffit juste que nous soyons prêts à les financer. A la rigueur, c’est Fourteen le lésé de l’histoire, puisqu’ils ne peuvent sortir un nouveau maillot, et donc vendre des maillots supplémentaires aux supporters. Car si pour Servette avoir un nouveau maillot a un impact financier neutre, pour Fourteen, c’est une perte sèche.

        Et accessoirement, je le trouve très bien ce maillot. Vraiment beau. mélange de tradition et de modernisme, faisant référence à la mythique saison 1978-79.

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      8. J’oubliais : Pourquoi du bleu ? C’est enfin un retour aux couleurs qui ont été les nôtres pendant des décennies. Pas besoin de bleu sur ce maillot, le grenat se suffit à lui-même.

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    2. c’est au contraire ce qu’on peut reprocher à cet article: se consacrer uniquement au « sportif »… alors que derrière la désaffection de la Praille, il y a aussi:

      1) les relations tendues entre une frange du public (dont toi, NF) et la direction, en raison du n’importe quoi de la saison dernière.

      2) la qualité de l’accueil, de l’enceinte. Car c’est là le cheval de bataille de Jenkins, son fameux plan d’action. Et il y aurait beaucoup à dire sur le sujet.

      3) la mauvaise image « générale » du Servette FC, vu comme un jouet pour margoulins, en raison de dirigeants successifs infréquentables. Et ça peut s’étendre au football au général.

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      1. Oui et non. Si le public reprend du plaisir à venir en raisons du succès et du jeu présenté, ces 3 points seront vite balayés par le supporter lambda. Du coup, la frange du public en froid se réduira à la portion congrue (d’autant plus que de toute façon, une partie de ceux en froid vient déjà au stade malgré tout).

        Bref, terminons l’année et voyons où cela nous mène.

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      2. S’il suffisait d’avoir de bons résultats pour amener des gens au stade, le salaire de Jenkins serait plus utile pour renforcer l’équipe. Or, même contre notre équipe jouait bien (titre de 1999 par exemple), notre moyenne de spectateurs était passable.

        Le GSHC était l’exemple inverse: ils n’ont pas gagné un titre de champion de toute leur histoire, leur jeu n’est clairement pas le plus « sexy » de Suisse, et ils connaissent pourtant un succès populaire certain. Ainsi, leur dernier match était à guichets fermés grâce à l’opération peluche, pas grâce aux résultats.

        En dehors du terrain, il y a beaucoup à faire au SFC pour que les gens soient à nouveau contents et fiers d’aller à la Praille. Il faut soigner l’accueil, traiter correctement les supporters, faire un maximum pour l’ambiance, mettre fin à l’hystérie sécuritaire, nettoyer les sièges, améliorer les buvettes, etc…

        En gros, tout le boulot dont parle Jenkins… et dont on attend plus (pour sa défense, il n’est là que depuis 6 mois).

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      3. C’est un tout. En ChL, Jenkins peut faire tout ce qu’il veut, on ne franchira pas la barre des 5’000 de moyenne si on stagne. Par contre, si le vent est favorable, là il sera utile pour que, pour une fois dans l’histoire de ce club, le spectateur occasionnel devienne un récurrent.

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      4. L’article traite principalement du sportif, puisqu’il s’y agit de rapprocher résultats et affluence, mais d’autres éléments sont évoqués, comme le développement du site web ou des relations avec les supporters.

        Pour ne pas écrire un roman, il faut évidemment choisir un angle d’attaque; et comme beaucoup se plaignaient récemment des résultats et de la manière, la question (re)devient a priori assez pertinente : il y a des résultats et même un peu de manière, en plus des jeunes du cru…

        Enfin j’ajoute que ce n’est pas une boutique en ligne, et une ou deux boutiques physiques qui feront revenir beaucoup de gens – même s’il faut reconnaître que ce manque est flagrant. C’est un ensemble, et en particulier de la « publicité positive », qui en l’état n’est pas encore très mure, il me semble – rien qu’à la lecture des commentaires.

        Le tout avec en filigranes, le challenge particulier lié à l’humeur spécialement difficile du public genevois voire romand…

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      1. parce que le club est géré par des pros… 😉 on préfère utiliser le budget pour payé des salarier qui ne travail pas (ou ne pouvais pas travaillé) comme Favre ou l’ ancien directeur sportif qui s’occupais des contrat des joueurs et qui à laisser partir gratuitement sans indémnité de transfert…Azevedo, Kouhassi, Rufli, Eudis ect ect seul Moubandje et Matias ont rapporter de l’argent au club

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      2. le seul club? tu as déjà vu la boutique du LS? de Winterthour? de Lugano? de certains petits clubs de LNA?

        on a pas de grosse boutique parce qu’on a pas assez d’acheteurs. le jour où on sera 10’000 au stade, on aura une meilleure boutique.

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      3. Bon, LS, Wintherthour, FC Aarau ont tous un shop. Lugano n’en a pas, mais il y a une note « coming soon »! Même UGS a une boutique. Je ne suis pas certain que cela vaut la peine d’instaurer un shop online en mi-saison, mais ce serait bien de l’avoir avant le début de la prochaine saison.

        De plus, je me réjouis d’avoir une autre équipementier la saison prochaine! Le contrat avec Fourteen arrive à échéance l’année prochaine!

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      4. D’accord avec Patchou.
        Après, Fourteen ou un autre, ça m’est égal. Du moment que la qualité concorde avec le prix des articles c’est le plus important.
        C’est sûr qu’une diversité de produits serait profitable mais est-ce que c’est réellement rentable pour le club? Car il doit y avoir environ 2-3000 inconditionnels du Servette (c’est une nombre empirique, j’estime que ce sont ceux qui sont là à tous les matchs). Combien parmi eux achèteraient des produits dérivés? Lesquels? Pour une somme totale de combien sur la saison? C’est aux experts marketing du club de répondre à cette question. Mais une chose est sûre, il faut d’abord tenter avant de tirer des conclusions.

        D’ailleurs, l’article du 12 août allait dans ce sens. Le problème est que depuis c’est le néant absolu.

        http://www.servettefc.ch/m/article-6191.html

        « Lors de cette troisième rencontre, il n’y aura pas de Stand SFC au Stade de Genève. Nous travaillons ardemment avec nos partenaires afin de vous offrir une gamme plus exhaustive de produits. »

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      5. En ce qui me concerne, je préfère verser de l’argent au club plutôt que d’acheter un maillot à CHF 100.– qui va remplir mon armoire. J’en ai déjà douze et je ne veux plus en acheter d’autres… Un autocollant, un porte-clé, mais c’est tout…
        Mais ceci n’est que mon avis….

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      6. @D.W. : Aarau publie ses résultats, mais ne mentionne pas une ligne sur la vente de produits dérivés. Conclusion : c’est négligeable pour eux, ou du moins pas assez important pour le relever. Ils descendent dans leurs commentaires à 100’000 CHF pour donner une idée.

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  3. une idee, deja proposee lors d’un sondage du club, serait de proposer un abo foot-hockey. Nous sommes nombreux a soutenir le Grenat, dans son ensemble, a savoir le sport genevois. cela pourrait aider a amener a la Praille une base (1’000-1’500 pax) de supporters fideles.

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  4. De toute façon le public attend les résultats avec la manière. Et très souvent, le jeu proposé par Servette est très – trop mou. Seul ce dernier match contre le LS avec de l’intensité peut faire revenir des supporters à La Praille. Mais il faut de la régularité aussi. A chaque fois que l’on est en passe de jouer un match important grâce à un voire deux bon matchs d’affiliée, on perd ou on fait match nul les trois suivants… Ce qui est positif c’est que je m’attendais à une défaite face au LS et force est de constater que l’équipe m’a déçu en bien… Pourvu que cela dure..

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  5. @NF
    D’accord, mais tu sous-entend que le club devrait négliger cet aspect ou qu’il devrait en faire plus? J’estime que du moment qu’ils gagnent ne serait-ce « que » quelques milliers de francs, ils devraient proposer quelques produits dérivés. C’est clair que si le coût de production/d’investissement est plus cher que ce que ça rapporte ils ont raison de ne pas le faire.

    Parce que, entendons-nous bien, quel serait le moyen pour un supporter lambda pour participer à la bonne santé économique du club? Ok, il y a l’abonnement, mais à part ça et acheter des briques sur contre-plaqué pour les piliers de la solidarité, en attendant que soit posée l’arche, il n’y a rien (sauf verser directement de l’argent comme l’a relevé Yansfc).

    Et puis, c’est important d’avoir la possibilité de porter les couleurs du club à travers différents vêtements. Perso je ne suis pas depuis des décennies le club et je n’ai pas une dizaine de maillots, le seul et premier que j’ai acheté c’est celui de la saison dernière, enfin celle d’avant, bref le premier sorti par fourteen quoi 🙂 et vu la qualité ça m’a refroidi d’en acheter un autre. Comme JJ veut attirer plus et de nouveaux supporters, il me semble logique, mais je peux me tromper, qu’avoir au moins 4-5 articles différents à proposer aux matchs ou en magasin serait judicieux.

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    1. Je vais te faire une bonne réponse de normand : ça dépend.

      Commençons par le début. Le club dispose de ressources humaines et matérielles limitées. Parmi les plaintes qui sont récurrentes, les produits dérivés, y compris le maillot, sont en bonne position. A mon avis, l’argument marketo-financier ne tient pas, ou du moins, la rentabilité d’un nouveau maillot est suffisamment faible pour ne être un argument en soit.

      Revenons maintenant à cet été (printemps en réalité). Jenkins vient d’arriver, il doit réaliser son audit de la situation, comprendre comment fonctionne le club. Dès lors, doit-on considérer que le remplacement du maillot est prioritaire dans notre situation ? Il me semble que poser la question c’est y répondre.

      Porter les couleurs du club… soit. Combien de personnes portent le maillot au stade ? 1 sur 50 ? Cela nous ferait donc environ 60 maillots portés vu nos affluences actuelles. Le maillot actuel, tu as eu la possibilité de l’acheter, donc de porter le maillot actuel au stade.

      En résumé, certains s’excitent parce qu’ils n’ont pas pu acheter un nouveau maillot alors que cela concerne une petite minorité qui rapporte peu d’argent au stade. En l’état actuel des choses, il y a des dossiers plus brûlants : stade, finances, litiges avec les ex-employés, sponsoring, etc…

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      1. J’ai conclu trop vite. La seule contribution essentielle du supporter lambda, c’est de venir au stade pour remplir les travées, ce qui permettra au club de trouver des sponsors plus facilement tout en remplissant les caisses (avec le billet d’entrée et ses consommations). Le financement organisé, on a essayé, ça aide, mais l’impact reste faible.

        autre chose sans rapport : je disais en intro, ça dépend. Si le club a le temps et peut se permettre de faire travailler ses employés pour des projets non rentables et urgents, alors oui, qu’il s’occupe de trouver un nouveau maillot et de créer des produits dérivés. Le fait que rien ne se soit passé depuis cet été indique qu’il y a d’autres priorités. cqfd.

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      2. Tu as raison, comme je l’ai dis si cela ne rapporte rien au club, cela ne vaut pas la peine. Le précédent post ne valait que dans le cas contraire, soit que le club s’y retrouvait voir plus financièrement.

        Dès lors, comme tu le dis, mieux vaut concentrer les efforts sur les dossiers urgents, ce qui peut rapporter et être amélioré au club. Je ne doute pas que les choses doivent bouger en coulisse, mais comme rien ne filtre pour le « grand public » et que la plupart doivent prendre beaucoup de temps, cela nous laisse l’occasion de débattre de tous ces dossiers brûlants en attendant des annonces officielles :).

        Après, il est toujours plus facile de relever ce qui ne va pas mais par exemple l’entraînement public de demain à la Praille et l’organisation d’une rencontre entre les abonnés et les joueurs est une bonne idée. Même si le jour et l’heure choisi auraient pu être différent afin de toucher un maximum d’abonnées. Là, j’imagine que ce sont les enfants et les familles qui ont été privilégiés.

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      3. En l’occurrence, ce sont plutôt les chômeurs, les retraités, les enfants et les mères au foyer qui sont visés. Je trouve regrettable cet horaire, car cela aurait pu se faire samedi, quand la plupart des gens ont congé.

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      4. C’est vrai, néanmoins si il continue à pleuvoir comme aujourd’hui l’entraînement de demain sera annulé et ton voeux risque d’être exaucé :).

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