Combien à La Praille dimanche ?

FCW Affluence_2013-2017

Kodro est parti, et ça repart. A court terme, avec Bojan Dimic sur le banc et le match de ce dimanche contre la lanterne rouge à la Praille. Un « super-alléchant » Servette-Wohlen, qui va tout changer. On peut toujours l’espérer…

Evolution depuis 2013

Les Servette-Wohlen ont eu des affluences assez variables ces dernières années. A vrai dire, on dirait que le FCW est un des adversaires outre-Sarine qui fait le moins rêvé au bout du Lac. Sur l’Album du Servette FC, j’en ai retrouvé huit depuis 2013, tous en Challenge League. Il y a eu des goals à chaque fois, et bizarrement jamais de matchs nuls… Par ordre chronologique :

1. 01.12.2013 : 1-0, SFC 2e avant le match. 3’215 sp.
2. 30.03.2014 : 1-5, SFC 4e. 2’050 sp.
3. 21.09.2014 : 1-2, Coupe suisse. 1’842 sp.
4. 25.10.2014 : 1-0, SFC 4e. 2’817 sp.
5. 13.04.2015 : 3-1, SFC 2e. 5’743 sp.
6. 11.09.2016 : 6-1, SFC 10e. 2’064 sp.
7. 21.05.2017 : 2-0, SFC 3e. 1’746 sp.
8. 24.09.2017 : 5-1, SFC 3e. 2’254 sp.

La faillite de 2015

Le match n°5 montre un pic de spectateurs sur l’histoire récente de ce duel, qui s’explique par un match contre le leader Wohlen (les temps ont bien changé chez eux –aussi-), et en plus par une menace (avérée) de faillite sur le SFC ; alors que Quennec et Jenkins annonçaient des trous dans la caisse le 1er avril précédent. Sale souvenir pour un record d’affluence.

A vos pronos…

Alors, combien de spectateurs ce dimanche à la Praille ?
Mettez votre proposition d’affluence en commentaires, comme au temps des concours de pronostics.

Pour l’honneur !

Rien à gagner, si ce n’est les honneurs. Probablement une citation dans un article où on reviendra sur les affluences d’ailleurs… A suivre sur les EdS !

Et pour savoir avant tout le monde si vous avez gagné, rendez-vous à La Praille dimanche 11 mars à 16h.

Allez Servette !

Michel

54 réflexions sur « Combien à La Praille dimanche ? »

    1. Le nombre n’est pas le plus important ..il sera bien plus important de savoir qui sera notre prochain entraîneur
      Bon article dans la TG…Fischer s’exprime la cellule sportive aussi mise sous pression.

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  1. TDG DU JOUR:
    Meho Kodro (à g.), arrivé en janvier 2017, sera resté quatorze mois sur le banc du Servette FC. Bojan Dimic assure l’intérim.(Photo: Eric Lafargue)
    Daniel Visentini
    1
    Sans surprise ou presque, le communiqué a souligné, laconique, le divorce. «Le club a pris la décision de se séparer de Meho Kodro», est-il simplement précisé. Pouvait-il en être autrement? Largué par Xamax au classement, égaré dans des schémas sans relief, constant dans l’inconstance, Servette a pris la décision qui s’imposait en limogeant son entraîneur et en plaçant son adjoint, Bojan Dimic, à la place, par intérim. Chronique d’une erreur de casting? Sans doute, oui. Quatorze mois après son arrivée, Kodro n’aura vraiment fait illusion qu’au tout début, quand cela ne servait à rien, pour ensuite perdre trop vite le fil de ces fragiles promesses.

    Si le football ne s’embarrasse pas de scrupules pour désigner un coupable et lui couper la tête, il faut bien dire que le technicien bosnien a eu les coudées franches durant son passage à Genève. À de rares exceptions près, c’est lui qui a eu la maîtrise du contingent, de sa construction, de son équilibre, du jeu présenté ou des envies affichées. Le constat est sans appel: si loin (12 points de retard, avec un match en moins) des Neuchâtelois, les Grenat en sont quittes pour préparer déjà la prochaine saison en Challenge League, à moins d’un improbable miracle qui verrait Xamax subitement s’effondrer et Servette tout gagner. Les dirigeants genevois ont donc tranché dans le vif pour mieux envisager l’avenir.

    Le constat du président

    «Suite au match contre Vaduz (ndlr: défaite 2-1), nous avons tous fait la même analyse, explique le président Didier Fischer. Autant nous avons parfois vu un réel esprit d’équipe, autant ce n’était pas le cas au Liechtenstein, avec ces mêmes problèmes, cette inconstance. Le constat, c’est que nous sommes loin de nos objectifs et que cela est dû notamment aux carences de l’entraîneur, qui n’a pas su corriger ce qui ne fonctionnait pas. Il n’y avait plus de marge de progression. Je suis reconnaissant à Meho Kodro pour le travail fourni, mais je dois d’abord penser au club.»

    Justement. Le club. Ce Servette qui possède le plus gros budget de la ligue et dont cinq de ses joueurs sont dans l’équipe type de la Brack Challenge League (Sauthier, Lang, Nathan, Micha Stevanovic et Le Pogam): il y a évidemment un hiatus vertigineux entre les espoirs fondés et les chiches accomplissements. Kodro a bien sûr une grosse part de responsabilité. Mais le ciel grenat n’est-il peuplé que d’anges pour un seul mauvais démiurge?

    «Il y a la responsabilité de l’entraîneur, mais la réflexion que je mène va au-delà du cas Kodro», assure le président. Le questionnement englobe-t-il donc la direction sportive (avec Alain Studer à sa tête) pour les choix effectués lors de la constitution du contingent, avec ou sans Kodro d’ailleurs? «La réflexion, générale, porte aussi sur la cellule sportive», confirme Fischer.

    Trop de «curiosités»

    Il s’agira de s’interroger sur plusieurs curiosités qui n’ont rien facilité. Déjà concernant la venue de Kodro lui-même. Un entraîneur qui n’avait pratiquement pas d’expérience à la tête d’une équipe de club professionnelle, à part quelques mois à FK Sarajevo; qui ne connaissait pas le football suisse et les particularités de la Challenge League; qui ne parlait pas français et dont la plupart des messages devaient être traduits…

    On pense aussi à l’enrôlement de Dominique Malonga, qui n’a strictement servi à rien. Au départ de Faug-Porret l’été dernier, dont le professionnalisme aurait rendu bien des services. À l’arrivée d’un Dalibor Stevanovic qui a déjà 33 ans, dont le rendement est bien émoussé et qui a souvent pris la place d’un jeune. Au recrutement cet hiver de Paolo De Ceglie, 31 ans, qui n’avait pratiquement pas joué depuis deux saisons et qui a déjà été blessé deux fois. Sans oublier le gros couac du printemps 2017, quand Nsame était sur le départ sans que Servette ne comprenne suffisamment tôt qu’il ne parviendrait pas à s’y opposer, les Grenat restant ensuite une moitié de saison sans buteur. Volonté de Kodro ou pas, gros déficit d’anticipation.

    Plus de jeunes talents

    Servette a tout intérêt à se poser toutes les bonnes questions. En attendant, le message du présent est clair. «Il y a un manque de cœur, d’envie, de plaisir, lance Didier Fischer. Il faut retrouver tout ça. Nous avons des jeunes de talent qui n’aspirent qu’à montrer leurs qualités: nous pouvons compter sur eux. C’est le message que j’ai passé à Bojan Dimic, qui reprend l’équipe pour le moment. Nous cherchons quelqu’un, oui, mais nous ne sommes pas pressés. Si une opportunité se présente, pourquoi pas, sinon Dimic pourrait tout aussi bien terminer la saison. On verra bien ce qui se passe, on ne sait jamais. Même si je suis conscient que c’est très compliqué.» À demi-mot, le président évoque ce fol espoir de promotion qui subsiste vaguement. Infiniment enfoui sous l’écume d’une froide réalité.

    À la vérité, Servette s’est offert le luxe subtil d’une décision inéluctable. Mais il ne peut en aucun cas faire l’économie d’un examen de conscience au sens large. Avec l’impérieuse obligation d’opérer les bons choix, maintenant.

    L’après Kodro: le portrait-robot du nouvel entraîneur grenat
    À 43 ans, c’est Bojan Dimic qui dirige, «ad interim» comme le précise le communiqué du club, la première équipe du Servette FC depuis jeudi matin. Il était jusque-là l’adjoint de Meho Kodro et va devoir endosser le costume de patron du groupe grenat. Une situation toujours délicate qu’il faudra gérer.

    Côté licence d’entraîneur? Dimic a passé le diplôme UEFA pro, mais il lui manque encore un module Swiss Olympic pour que le tout soit définitivement validé. Dans les faits, Servette est tranquille trois semaines. Ce n’est qu’après que l’ASF, notamment via le chef de la formation des entraîneurs, Reto Gertschen, décidera si Dimic peut continuer au-delà à la tête de l’équipe, avec une dérogation. Si tant est que Servette n’a pas encore nommé un successeur. «Il faut que j’étudie le cas, je ne peux pas me prononcer pour le moment, je ne sais pas si ça penchera d’un côté ou de l’autre», explique Gertschen. Attention, donc!

    Le successeur, justement: quel est le portrait-robot du futur entraîneur du Servette FC? D’abord, pour gagner du temps, il faudrait peut-être qu’il puisse s’exprimer en français. Il ne serait pas inutile non plus qu’il possède une solide expérience des caractéristiques du championnat suisse, de Challenge et de Super League tant qu’à faire. On peut voir ce que Michel Decastel est capable de faire avec Xamax, même s’il connaît le groupe depuis longtemps.

    Enfin, dans le souci qui est celui ouvertement affiché par Didier Fischer, il est souhaitable de voir un technicien susceptible de travailler en comptant sur les jeunes talents issus de l’académie grenat. Sans leur faire porter un costume trop grand immédiatement, des joueurs comme Antunes, Ribeiro ou Luca Gazzetta doivent avoir leur chance plus régulièrement. À noter aussi que le futur entraîneur de Servette doit être moderne, selon le mot à la mode.

    Qui est sur le marché? Uli Forte, Urs Fischer, Ciriaco Sforza, René Weiler, Johann Vogel, à qui Servette avait déjà pensé par le passé. Ainsi qu’à Didier Tholot. Ou alors un profil qui ressemblerait à celui de Laurent Papillon, l’actuel directeur du centre de formation? Cela n’irait pas sans poser bien des problèmes structurels à l’académie. Il faudra aussi un accord financier. On peut toujours rêver d’un René Weiler, ex-Servettien, champion de Belgique 2017 à la tête d’Anderlecht. Mais serait-il intéressé par des Grenat en Challenge League? Et si oui, à quel prix? Est-ce seulement réaliste?

    À Servette de trouver l’oiseau rare. Il croyait l’avoir déniché avec Kodro, au tout début au moins. Il ne doit plus se tromper cette fois. D.V.

    Kodro: chronique d’un écueil
    Meho Kodro est arrivé en janvier 2017, succédant à Anthony Braizat. Les dirigeants lui avaient fixé une mission: préparer durant une demi-saison un groupe qui serait à même de retrouver la Super League au terme du présent championnat. Faute de résultats et avec un début de second tour catastrophique, Kodro a été limogé. Chronique d’un écueil.

    Les plus

    – Meho Kodro est l’homme qui a fait venir le meilleur joueur de la ligue, «Micha» Stevanovic. Il y a aussi Nathan. Il a aussi fait une priorité de la venue de Wüthrich. De vrais renforts.

    – Il a donné une réelle assise défensive aux Grenat (19 buts encaissés, mieux que Xamax avec 26 buts pris). Au détriment de l’efficacité offensive?

    Les moins

    – Servette a peut-être payé en partie la désillusion de Kodro de n’avoir pas été retenu au dernier moment, alors qu’il avait vraisemblablement donné son accord, pour diriger la Bosnie-Herzégovine. C’était en octobre.

    – Il a insisté si longtemps avec le duo Fabry-Dalibor Stevanovic dans l’axe médian. Il n’a que peu compté sur Imeri, pour ensuite le décaler contre nature sur un côté en 2018.

    – Il n’a pas voulu d’un buteur type, comptant sur une alchimie offensive globale, loin des réalités de la Challenge League.

    – Il a multiplié les choix tactiques frileux.

    – Il a manqué de réactivité dans le coaching pendant les matches, dans les changements de systèmes nécessaires mais qui faisaient défaut le plus clair du temps.

    – Il s’est sans doute aliéné une partie du vestiaire à la longue, par une gestion humaine discutable de ses choix: il a écarté Frick sans explication sinon le lendemain, il a placé Wüthrich en tribune pour le match capital à Neuchâtel dans les mêmes circonstances, idem pour Willie à Vaduz, un attaquant titulaire et buteur une semaine plus tôt. D.V.

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      1. On va sûrement avoir du nouveau dans la cellule sportive il est grand temps.. voir aussi sur ce sujet l’article de Simon Meier dans le Matin.

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      1. Très bon article qui résume le sentiment affiché depuis des mois. DV mets-le doigts ou il faut et Fischer fait une analyse globale, il constate que l’organigramme n’es pas parfait et j’espère qu’il travaille pour y remédier même si certaines décisions ne seront pas agréables à prendre. Je regrette juste qu’il n’a pas profité de la pause hivernale pour faire se travail de réflexion.
        Quand au choix du prochain entraîneur, pour moi il dépend du directeur sportif. Avec Studer en place, il nous faut un entraîneur-manager bien resauté. Si un nouveau DS est nommé, il pourrait avoir une sorte de binôme intéressant. Après c’est une réflexion plus mélancolique et sans avoir réfléchi à l’efficacité, cela serai sympa d’avoir Patrick Müller comme DS et Vogel sur le banc.

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      2. @leogrenat

        D’accord avec toi. Ce binôme serait sympathique pour Servette.

        Maintenant, un entraîneur-manager, comme on en voit notamment en Angleterre (Wenger, Ferguson avant) peut être intéressant. Il porte un peu les deux costumes de coach et DS à la fois, c’est un schéma plausible. En l’état et sur le plan salarial, pas sûr que cela soit gérable.

        Par contre et quant au choix du coach par Studer, à mon sens, ce serait un gros « fake » (cela n’engage que moi).

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    1. C’est amusant, j’ai l’impression de me relire.

      Dédicace du troll bobo aux Jean-Mastique, Piciu, Obra et quelques autres.

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    2. L’objectif loupé entraîne le limogeage, c’est logique. C’est surtout la stabilité de Xamax qui a tranché sur son sort, la comparaison constante avec un rival en avance de constance. On ne pouvait voir d’issue parce qu’il n’a pas su communiquer en français au bout d’un an, et qu’il n’a pas assez communiqué d’une manière générale ni en interne ni en externe. Dommage car footballistiquement il a apporté quelque chose et je suis persuadé qu’il pouvait réussir plus dans d’autres conditions.
      La page tournée, on ne peut plus qu’espérer que Dimic en ait pu assez apprendre pour assurer un intérim de qualité.

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  2. Facile de mettre la faute sur le coach. J’ai pu discuter avec certains joueurs qui louaient le professionnalisme de cet entraîneur. C’est quelqu’un de calme qui ne gesticule pas, ne crie pas au bord du terrain et qui ne rabaissait pas ses joueurs.

    Mais en regardant les entraînements, on remarquait que certains joueurs n’écoutaient pas les consignes et faisaient à leur manière… amateurisme qui a pesé sur la balance… c’est la raison pour laquelle je pense que le changement d’entraineur ne résoudra pas tout… il faut que certains joueurs comprennent qu’ils ne sont pas en Champions League où à la limite ils pourraient en faire qu’à leur tête. Xamax a cette force = cohésion d’équipe et rigueur!!!!

    On voit avec l’interview de Frick que chacun pense à son petit bonheur. Ce qu’il a dit prouve qu’il ne pense pas à l’équipe mais à ses propres intérêts. Il peut le penser mais n’aurait pas dû s’exprimer ainsi pour le bien de l’équipe. C’est également un manque de respect pour son coéquipier Gonzo qui ne s’est jamais plaint dans la presse. Plus de maturité de la part des joueurs serait recommandé.

    Un entraîneur n’est pas là pour éduquer ses joueurs. Ils doit pouvoir compter sur leur professionnalisme, ce qui n’a pas été le cas malheureusement. Il y a bien quelqu’un qui doit en faire les frais… Là c’est Kodro… bonne continuation à lui…

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    1. Oui, on voit clairement que, quand les consignes étaient respectées Servette était excellent, et à d’autres moments certains joueurs étaient complètement en dessous et, par leur inertie, empêchaient la fluidité prônée par Kodro.

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      1. Exact lorsque Kodro est arrivé, on enchaînait les victoires car les joueurs intimidés respectaient les consignes…

        Par la suite, certains n’ont pas accepté certains choix et se sont désinvestis… c’est là que réside le problème… Lorsqu’on est employé, on se doit de travailler correctement malgré les frustrations. C’est pareil dans toutes les professions!!! Un entraîneur a des choix à faire (bons ou mauvais) et on ne peut contenter tout le monde.

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      2. Lorsque nous avons enchaîné les victoires à son arrivée, il y avait Nsamé qui débloquait à lui tout seul, ou presque le match.

        Il y avait Faug-Porret, un joueur polyvalent capable de dépanner en défense. Delley à gauche était autrement plus efficace que Lang. Hasanonic-Maouche était une paire de demis défensifs plus efficace et dynamique que Fabry-Stevanovic.

        On peut aussi relever que même à ce moment, Servette a été incapable de battre Xamax. On peut aussi noter que l’état de grâce a duré 7 matches. Sur 18. On ne va pas loin avec ça.

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    2. Pour diriger, il faut un certain charisme. Quand il faut passer par un traducteur (Dimic), il est forcément plus difficile de faire passer le message.

      Il y a un point qui a été relevé chez mes amis bobos : la qualification de Kodro. La culture tactique d’un joueur de haut niveau, comme l’était Kodro, est forcément très différente d’un joueur de ChL. Dès lors, il faut plus de pédagogie pour expliquer ce qu’on veut, surtout si ce qu’on veut est complexe. Malgré son passage en D3 espagnole, j’ai l’impression que Kodro n’a pas compris cela.

      Ceci dit, je te rejoins sur les jérémiades de joueurs écartés ici ou là. C’est juste inacceptable

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      1. Comme je l’ai déjà dit, pour moi il faut aussi un coup de balai dans le vestiaire. Si des joueurs ont joué contre leur coach, c’est merci et au revoir.

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    3. Difficile pour moi de relever des points positifs chez Kodro.
      Tant mieux pour lui si certains en voient.
      Contrairement à ce que l’un d’entre nous dit plus haut, j’espère plutôt que Dimic n’ait pas trop « appris » aux côtés de Kodro.

      A part ça, excellent article de D. Visentini. Tout y est parfaitement synthétisé.

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  3. Je comprends et j’adhère également à ton point de vue. La barrière de la langue n’a pas été facilitatrice. Cela dit, au sein d’une équipe, plusieurs cultures s’y mélange. En l’occurence, passablement de joueurs comprenaient l’espagnol. Tout comme Alves, il parvenait à se faire comprendre.

    Les joueurs étaient contents des interventions constructives de Kodro. Ils ne passaient pas 1h30 avant les matchs à parler de tactique etc.. un peu comme Alves qui était bref et efficace.

    Je pense sincèrement que le soucis majeur réside dans le fait que les joueurs ne parviennent pas à faire la part des choses et de penser en « nous » et non en « je ». Servette a toujours été difficile à coacher… il faut se demander pourquoi… Ils doivent maintenant parvenir à mettre leurs compétences en exergue pour le bien de l’équipe.

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    1. On verra…
      Je pense que tout va désormais tourner bien mieux.
      Car, même si les joueurs ont leur part de responsabilités, il ne faut pas oublier toutes les erreurs et incohérences à tous les niveaux de l’ex-entraîneur.

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    2. Alves parlait français. Il était un piètre préparateur tactique, par contre, il avait un vrai feeling pour sentir les choses pendant une partie. Un peu à la manière d’un Aeby. Un entraîneur « pain fromage coup de rouge » convient probablement mieux à cette ligue qu’un « scientifique du foot ».

      Je caricature bien évidemment, mais c’est pour illustrer ce décalage Alves-Kodro. Avec une bonne équipe de SL, je pense que l’avantage serait à Kodro. Par contre, en ChL, Alves est plus à même de sublimer les joueurs par son approche plus paternaliste et vieille école.

      Il ne faut pas oublier que ce qui différencie un bon joueur d’un moyen, c’est souvent le mental. Alves arrivait ainsi à tirer le 150% de son effectif en jouant là-dessus.

      Je ne cherche pas à tresser des louanges à Alves qui nous a pourri la 2e saison de SL. Il a ses défauts également.

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  4. Ce n’est certes pas le coach qui s’est relâché sur le terrain et qui jouait.

    Force est toutefois de constater qu’il n’y a pas de fumée sans feu et la révolte du vestiaire, il en fut l’un – ET JE DIS BIEN L’UN… – des responsables.

    En effet, l’on verra bien, mais il ne peut pas y avoir du pire, donc…

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