48 réflexions sur « Sondage: qu’attendez-vous de ce match? »

  1. A lire l’article de la tdg sur Dimic, je me dis qu’on nous prépare à l’introniser coach pour les 2 prochaines saisons. Je n’ai absolument rien contre lui et je ne doute pas qu’il ai toutes les qualités que la tdg lui prête, mais je ne pense pas qu’il soit l’homme de la situation.

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      1. Drôle d’article. On a comme l’impression d’une complicité entre le journaliste et la direction du club pour tenter de faire comprendre aux supporters qu’il est l’homme de la situation…

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      2. … et qu’il est en place pour au moins 2 ans… Mais qu’il le prouve, c’est tout le mal que je lui souhaite, sinon: « et… moi, pauvre de moi, j’ai ma croix dans ma tête…! »

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      3. La tdg n’a jamais été de mèche avec la direction du Club. Et c’est encore moins le cas maintenant. J’ai l’impression que le but de l’article est de dresser le portrait de l’homme plutôt que celui du technicien.

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  2. Bojan Dimic, l’homme que tout le monde aime à Genève
    FootballLe nouveau coach grenat a marqué les esprits comme joueur et comme homme. Il aspire à fédérer comme entraîneur.
    Bojan Dimic sait combien les semaines à venir peuvent donner un autre élan à sa carrière.(Photo: ÉRIC LAFARGUE)
    Arnaud Cerutti
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    C’est bien connu, à titre posthume, tout le monde nous aime. Mais la chance de Bojan Dimic est de ne pas devoir attendre de se retrouver les deux pieds dans la tombe pour faire l’unanimité. Rares en effet sont les personnes à attirer autant d’éloges de leur vivant que le nouvel entraîneur du Servette FC. À Genève, chacun ou presque le connaît. Pour l’avoir vu grandir, pour l’avoir vu jouer ou pour l’avoir affronté sur un terrain. Et, à chaque fois, du propos émanent les mêmes mots: humilité, lucidité, sincérité, gentillesse… «Bojan, c’est le genre de mec que tu as à chaque fois plaisir à revoir, même quinze ans après, sourit Fabien Pizzinat (frère de Lionel), qui a évolué à ses côtés à Chênois au début des années 2000. C’est une grande personne, quelqu’un de toujours positif, dans le foot comme en dehors. Il est souriant, heureux, peu importe la situation.»

    Qu’ils se soient frottés à sa technique délicieuse dans l’entrejeu ou qu’ils aient partagé un vestiaire avec lui, tous les acteurs du foot genevois ont un bon mot pour le successeur de Meho Kodro. «Bojan a les deux pieds bien ancrés sur terre, résume Bruno Codeas, actuel entraîneur du FC Lancy. On se connaît depuis l’âge de 11 ans, soit au moment où nous étions les deux étrangers de la sélection genevoise, et il n’a pas changé en trois décennies. Il est toujours posé, ouvert, sympa, fidèle à de vraies valeurs humaines.»

    Une trajectoire tortueuse

    Bojan Dimic accepte volontiers ces compliments qui le touchent. «On m’a effectivement toujours dit que j’étais gentil, sourit-il. Je suis comme ça depuis tout petit, c’est mon trait de caractère. Je le tiens de mon grand-père, une personne un peu centrale de ma vie.» Gentil, oui, mais pas «Bisounours» non plus, maintenant qu’il est «quadra». «Disons que j’ai souffert de l’être, oui, alors avec l’âge, j’ai appris à faire la part des choses. Il est toutefois clair qu’il y a des trucs que je n’ai pas vu passer, car j’ai été un peu naïf. Mais dans la vie, tu apprends.»

    Lui l’a fait à chaque étape. Certainement que l’aventure à la barre du SFC enrichira aussi son parcours personnel, qui l’a vu bosser à Chênois, au Grand-Lancy et à Lancy. Reste que pour l’heure, et même s’il sait combien les semaines à venir peuvent donner un autre élan à sa carrière, le bon «Bobo» n’entend pas se laisser griser. L’homme sait trop bien tout ce qu’il a traversé avant de tenir les rênes du plus grand club du canton, pour ne pas perdre les pédales ou se voir trop beau.

    Derrière ses yeux clairs et sa tête bien faite se cache en effet une trajectoire tortueuse, marquée par de sérieux sacrifices et par une longue période au chômage. «Le cerveau plongé dans le foot, je n’ai pas vu grandir mes enfants (ndlr: deux filles de 20 et 14 ans, ainsi qu’un garçon de 17 ans) et c’est un vrai regret, confie-t-il aujourd’hui. J’espère qu’ils ne m’en veulent pas et qu’ils ne m’en voudront pas. Sans doute ai-je été trop pro par moments pour de la Ligue B ou de la 1re Ligue, mais je ne pouvais pas concevoir les choses autrement.»

    Une passion énorme

    Le perfectionniste Bojan Dimic a le mérite de la franchise, une autre de ses qualités. «Il est loyal, dévoué», relève Tibert Pont. Mais oui, il s’est laissé embarquer par l’étincelle qu’il nourrit pour le ballon rond, parfois au détriment de ses proches. «Il aime le jeu comme personne, relève Codeas. Pour entreprendre tout ce qu’il a entrepris, il faut nourrir une passion énorme. Bojan dort, mange, vit football. Je ne suis pas étonné de le retrouver là où il est désormais. Il a le profil pour réussir à Servette.»

    Le Serbe d’origine, mais véritable Genevois – il suffit d’écouter son accent – est plus qu’un technicien d’avenir. Il est un leader dans l’âme, un vrai meneur d’hommes. «Sur le terrain, c’était un grand frère, insiste Fabien Pizzinat. Il avait la classe, il tirait tout le monde vers le haut.» Et c’est ce qu’il doit faire au présent, son survêtement grenat sur le dos. Pas un souci, a priori. «Gamin, j’aidais ma sœur, puis mes cousins pour les devoirs, etc. Cela a forgé mon caractère, m’a obligé à prendre mes responsabilités. J’aime aider les autres, je vais naturellement vers les gens.»

    Perçu différemment

    Bojan Dimic s’étonne néanmoins qu’en dix jours le regard des autres ait changé sous prétexte qu’il est devenu le coach No 1 du SFC. «Je sens qu’on me perçoit différemment et ça me gêne, car je suis toujours le même», insiste-t-il. Qu’il soit coach «ad interim» ne constitue cependant pas un frein à ses ambitions. «Je suis un ambitieux raisonné, s’exclame-t-il. À mes yeux, les matchs qui viennent sont une belle opportunité de voir ce dont je suis capable, de voir si un groupe est prêt à me suivre dans les circonstances actuelles. Il n’y a pas meilleure école. Après, si au mois de juin, on me dit «OK, tu as deux ans pour faire monter Servette en Super League», alors oui, je considérerai que c’est la chance ma vie.»

    L’ancien milieu de terrain ne recule pas devant les défis. Il n’est pas non plus effrayé par la pression. Ce qu’il a vu à vingt ans, au moment où il a dû rentrer en Yougoslavie pour effectuer son service militaire (1995-1996), l’a marqué au fer rouge. «Depuis, hormis le fait qu’il arrive quelque chose à ma famille, plus rien ne me fait peur, souffle-t-il. Simplement car il n’y a rien de comparable à ce que j’ai vécu là-bas.» Alors imaginez son état d’esprit à la veille d’un déplacement à Winterthour.

    «Une rare intelligence de jeu»
    Quiconque a baigné dans le football genevois a rencontré quantité de joueurs affirmant avoir eu le talent pour réaliser une très grande carrière, sans y être toutefois parvenus. À croire que les Lionel Messi et Cristiano Ronaldo peuplent la région. Pour tout dire, on les attend encore. Mais là, avec Bojan Dimic, on tient un bonhomme qui aurait pu aller plus haut. «Quand tu débutes à 16 ans en LNB, c’est forcément que tu as quelque chose en plus, remarque Bruno Codeas. Bojan, qui avait déjà un physique très précoce, avait toutes les qualités pour évoluer dans l’élite. Il a notamment toujours possédé une vision du jeu au-dessus de la moyenne.» Ainsi qu’un sens de l’anticipation et un maniement du cuir qui lui permettaient de sortir du lot.

    «Dimic avait cette capacité de s’adapter à tous les postes et faisait du bien autant défensivement qu’offensivement, enchaîne Fabien Pizzinat. À sa rare intelligence de jeu s’ajoutaient des pieds magnifiques et une formidable mentalité.»

    Seule une conviction de jeunesse qu’il regrette aujourd’hui – ne pas avoir pris son passeport suisse avant les années 2000 – a peut-être empêché le désormais «quadra» d’aller tutoyer les meilleurs joueurs du pays. «À mon époque, il n’y avait pas l’arrêt Bosman, se souvient-il. Il était plus difficile de se faire une place. Longtemps, j’ai dit qu’un papier ne pouvait pas m’empêcher de réussir. Mais il aurait sans doute pu m’aider…»

    Des touches, «Bobo» en a pourtant eu, ici comme à l’étranger. «En 1993, par exemple, j’aurais dû disputer un 8e de finale de Coupe de Suisse contre Zurich, rappelle-t-il, mais j’ai été frappé par la varicelle. Après le match, j’ai appris que Fredy Bickel (ndlr: alors directeur sportif du FCZ) était venu me superviser…»

    Impossible pourtant de percevoir de regrets dans la voix de Bojan Dimic. L’homme est fier de son parcours et fier d’être aux commandes du Servette FC. «C’est un véritable honneur, tant je ne m’y attendais pas, dit-il. Un vrai bonheur, même, car malgré mon nom, je me sens profondément Suisse, je suis un vrai Genevois. Le Cé qu’è lainô, je le chante la main sur le cœur. Et ce n’est pas une image.»

    Après la guerre, après le chômage, Post Tenebras Lux pour «Bobo». Et pour Servette aussi? A.CE.

    (Tribune de Genève)

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  3. Ne me faites pas rire, car là, je m’esclaffe… A partir de désormais et jusqu’à dorénavant, on s’en contrefout des résultats de ces mous du genou…!

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    1. Il faut absolument que Servette perd TOUS ses matchs. Il faut virer Dimic au plus vite. Il faut de la compétance pas du COPINAGE.

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    1. Ça n’arrivera pas..le nouvel entraîneur devrait être engagé durant la pause internationale..Dimic tient trop de Kodro et il faut du neuf et un vrai meneur d’hommes.
      la réflexion de Fischer continue cependant concernant la direction sportive.

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      1. Puisses-tu avoir raison sur toute la ligne, avec l’arrivée d’une pointure comme entraîneur, ainsi qu’un vrai DS en prime, munit d’un important réseau dans le monde du football national et international… ou, rêvons un peu, le « tout en un » comme manager à l’anglaise, si cet oiseau rare existe par ici, ou en Europe centrale et ses environs… Mais, les réflexions de Fischer iront-elles jusque là…??

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      2. Dumbledore, je suis complètement d’accord avec toi, mais est-ce que le SFC en a les moyens?

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      3. Encore une fois la direction sera réactive et pas proactive. Il doit nommer le nouveau directeur sportif et ensuite de concert avec le nouveau entraîneur. Nous sommes dans l’amateurisme. Si il avait géré Cenovis ou Morand de la même manière, elles auraient disparu, non que je suis bête, les familles propriétaires ou les actionnaires auraient réagis avant.

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  4. Il manque l’option « je suis champion du monde de deuxième degrés depuis que je supporter Servette »

    L’article est signé Cerrutti, le type qui sort jamais de son bureau pour enquêter. Il a parlé par téléphone avec ses 2 copains dans le foot, il a pondu un article « Dimic est sympa », pas grand chose à analyser.

    Mais cela illustre juste bien le football genevois: personne ne connaît le haut niveau depuis 10 ans et les copains d’abord.

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  5. Si c’est B. Dimic le prochain élu, laissons-le au moins faire ses preuves avant de le démolir, de toute façon la décision sur le choix ne nous appartient pas.
    Il faut surtout qu’il soit apprécié des joueurs comme l’était J. Alves avec un bon mental, de la technique et pas trop autoritaire.
    Tout ce que l’on souhaite c’est que lui ou un autre mène nos Grenat en SL. Quand ? On verra bien.
    Servette FC allez…allez…allez 💪🏼

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    1. De plus, Dimic est un vrai genevois, jeune, qui connaît le foot suisse et qui parle français !!!! alors ça devrait jouer 😉

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      1. Être gentil, genevois et entraîneur sans diplômes adéquats..on est plusieurs à avoir le profil.

        Stop à la plaisanterie…

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      2. Il est genti, genti, genti. Et mois je resterais chez moi, chez moi, chez moi. A dans quelques années.

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    2. Il ne s’agit pas de le démolir, mais d’être réaliste. Un peu comme lorsque Kodro a été annoncé. Une bonne surprise n’est pas à exclure, mais on peut légitimement émettre des doutes.

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      1. -résultats cachés par le Logo RTS
        -programme TV faux (annonce hockey)
        -extrait des matchs pas entier 3 buts sur 4
        -37 mots fourchés sur 48
        -mauvais rhythm
        -déco plateau a des 100ène de milliers de FR pour du vide
        -pas d’annonce pour le hockey
        -(je t’aime Federer)
        -massimo ?
        -extrait action hockey foot jamais entier
        -des présentateurs pas intéressés par leur sujet
        -énormes fautes de prononciations
        -montage vidéo a la vite fait
        -etc…..
        avec des moyens bien moindre sur Titulaire.ch meilleur qualité

        PS.. la redevance tjrs pas encaissée?

        hop SFC hop GSHC

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  6. Je n’attends rien de ce match, ni des suivants tant que nous n’aurons pas un vrai directeur général,épaulé par un vrai directeur sportif qui sera sur la même longueur d’onde que le nouveau coach.
    D’ici là ce ne sera que du remplissage avec des joueurs très peu motivés et un club sans âme .
    ça c’est la réalité du foot d’aujourd’hui,de l’argent,un projet,des
    résultats, un savoir faire ou s’éteindre à petit feu.
    Actuellement c’est plus :post tenebras tenebras,et c’est bien triste.

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  7. Vu la quantité de comm. déprimants, ce blog devient le blog des lamentations. ……. Mais je l’aime quand même 😘
    La messe est peut-être dite pour cette saison mais pensons à la suivante, il ne faut pas baisser les bras maintenant. Chaque match est important et les joueurs ont besoin de notre soutien. Sinon à quoi cela sert de se prétendre être supporter ….
    Un stade vide, vous croyez que c’est motivant pour une équipe ? Moi ça me désole pour une ville comme Genève.
    Assez râlé, on encourage 😊
    Hop Servette !

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    1. Le pouvoir de l’optimisme!

      Pour l’amour du Grenat et de Servette, je te suis, Stanley.

      Pour le reste… 😉😈🤘🏻⚽️

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    2. Excuse stanley, mais nos footeux sont comme des enfants un peu trop gâtés. C’est pas je t’offre une play et tu fera des bonnes notes mais l’inverse. Tu respectes notre maillot, tu laisse tous sur la pelouse et je viendra te soutenir. Là cela fait longtemps que le dernier carré est présent et il est peut-être lassé par les promesses non tenues. Et évidement pas que par nos joueurs. Le dernier match et la première mi-temps à Vaduz à sûrement refroidi les dernières envies. Mais tu a raison, restons optimiste et la roue tournera.

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      1. En fait si le SFC ne gagne pas tu ne viens pas au match. 😉
        Allez leo le grenat on a besoin de tous. La roue tourne toujours et on peut l’aider.

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      2. Non je te rassure que c’est aucunement le résultat qui me pousses à venir ou rester à la maison. Mais je suis pas sûr que cela soit valable pour tous le monde.

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    3. Stanley, voir la vérité en face n’a rien de déprimant. C’est juste la réalité. Qu’il faut affronter.

      Et si le positivisme à outrance des commentaires avait une quelconque influence sur les affluences, alors nous aurions été 20’000 à chaque match en 1ère ligue en 2005.

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    1. Pas du tout terrible, en effet.
      Miguel Rodrigues a rejoint Thoune en début de saison avec un contrat de 3 ans.
      Une rapide recherche en ligne laisse penser qu’il n’a jamais joué en Super League.

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      1. Et une petite recherche, certes un peu moins rapide, démontre que Rodriguez s’est blessé à nouveau gravement avant le début de saison…

        Stanley, oui c’est déprimant, je sais. Désolé de cette triste nouvelle pour ce jeune si prometteur.

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  8. NF. Je vois pas où tu veux en venir avec Rodrigues…… c’est regrettable pour lui d’être blessé. Je constate que les générations se fragilisent de plus en plus.

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    1. Je te taquinais, parce que c’est une mauvaise nouvelle pour lui. 😉

      Personnellement, je trouve ça plus déprimant que de râler sur Studer.

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  9. L’equipe du servette faite honte a voir sais vraiment des chevre car faire match nul contre une equipe quia meme pas gagner 10 match sait vraiment nul

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