Depuis le printemps, notre quotidien « favori » souffle le chaud et le froid sous les plumes de « corbeaux » nommés Daniel Visentini et Olivier Breisacher. La presse doit rester libre de penser et de s’exprimer mais une ligne rédactionnelle ne porterait pas ombrage à l’éthique journalistique. Servette a toujours été du pain béni pour la TDG mais l’attitude depuis quelques mois pourrait bien les mettre au régime sans pain! La yoyomanie, dire tout et son contraire à quelques jours d’intervalles, ne fait pas honneur à un journal qui devrait protéger son joyeau grenat.