Sauvons le Stade de Genève. A NOUS DE JOUER !

StadeDeGE

Photo: cliquez sur la photo pour accéder à la pétition

Un bel écrin mal entretenu c’est comme une mariée mal b…
Elle fini par se lasser et va voir ailleurs, aux politiciens d’enfin prendre leurs résponsabilités et d’entretenir ce stade DE DJEU !

Demande des pétitionnaires

Par la présente, les pétitionnaires demandent aux autorités de la République et Canton de Genève de :

  • Effectuer rapidement les rénovations nécessaires et attendues depuis plusieurs années.
  • Pérenniser l’exploitation du Stade de Genève en renégociant un nouveau contrat d’exploitation pour le locataire du stade (actuellement le Servette FC).
  • Budgéter pour les années à venir un montant annuel pour l’entretien du Stade de Genève.

 

Aux autorités politiques du canton de Genève

Mesdames, Messieurs des autorités politiques de la République et Canton de Genève,
Voilà maintenant presque douze ans que Genève a terminé son stade et il parait déjà bien grisonnant. Durant toutes ces années d’exploitation, il est peu à peu ressorti que ce stade a été mal pensé, mal conçu ou encore mal géré. Les vérités d’hier sont les dilemmes de demain ! Aujourd’hui, l’état doit prendre ses responsabilités et s’engager durablement dans l’entretien et l’exploitation du Stade de Genève.

Je vous invite à revivre à travers ce film indépendant les faits retracant la contruction du stade et ses complications

Il est inutile de chercher un coupable, tant sur le tableau de la scène politique que celui de la chaine de Présidents qui se sont succédés à la tête de Servette FC. Aujourd’hui, les Genevois attendent des solutions. Même plus, les Genevois souhaitent voir des actions et que cesse la politique de l’autruche !

Aux Genevoises et Genevois

Nous ne serons jamais tous derrière le même sport, heureusement ! Mais le fait est qu’aujourd’hui les Genevois disposent d’un stade, un stade qui les déchirent plus qu’ils ne les rassemblent. Le Stade de Genève n’est pas réservé qu’au football, bien au contraire. Multisports et pouvant également accueillir des événements culturels ou musicaux, ce serait une perte et une erreur que de ne pas saisir l’occasion de manifester votre intérêt et votre soutien pour une meilleure gestion de ce stade.

En vous remerciant de votre soutien.

Guillaume Sauty

Lien sur la pétition:  http://www.petitions24.net/sauvons_le_stade_de_geneve

Point pétition à 12h30 le 14.04.2015: 48 signatures
Point pétition à 15h30 le 14.04.2015: 321 signatures

 

33 réflexions sur « Sauvons le Stade de Genève. A NOUS DE JOUER ! »

  1. Hello les EDS !

    Super ! Merci de votre participation ! En espérant obtenir suffisamment de soutient populaire pour mettre le poids sur les politiques.

    De source sur, la réunion hebdomadaire de mercredi du Conseil d’Etat va être tendue, croyez moi 😛

    On y croit !

    A bientôt
    Yaume

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  2. Bonne idée que cette pétition toutefois j’imagine que les vaudois grenats ne peuvent pas la signer ?
    HS:
    Belle soirée, beau match hier soir et merci Servette ! Que cette série positive continue. Je me réjouis déjà du prochain derby contre les pêcheurs le 26 avril. Rendez-vous est pris.
    J’adresse également mes remerciements au stadier de la tribune principale qui nous a quand même fait entrer alors que je m’étais trompé d’abonnements et avais pris ceux de la saison dernière… Sympa !

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    1. La pétition peut être signée par tous.

      De toute façon, ainsi, elle n’a pas de valeur juridique reconnu en tant que tel. Pour ce faire, si la pétition fonctionne, je vais refaire avec le même texte sous forme officiel avec une seule signature ( la mienne ) et la déposer auprès de la chancellerie avec la liste des gens qui auront signés électroniquement la pétition

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    2. Rams est fribourgeois et il l a signé. C est lui qui le l’a dit 🙂

      Alors pas d excuses, un EDS suisse allemand et un EdS habitant au Vietnam aussi!

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  3. HS.
    Pour ceux qui veulent un détail des factures liées au stade, voici ce qu’a écrit hier la TDG sur son site:
    « Cela met en lumière des investissements, pour le stade seul et sans parler du reste, qui s’élèvent au total à 7 380 654 francs. Somme de laquelle il faut déduire les revenus associés aux locations des bâtiments annexes ou pour des événements et autres (1 468 476 francs). Au final, les coûts d’exploitation ne touchant que le stade s’élèvent à 5 912 178 francs depuis que Quennec est président. Soit près des 6 millions qu’il réclame. Le listing aligne les dépenses: la redevance pour la fondation, le loyer d’un local technique, l’électricité, le gaz, l’eau, le mazout et l’entretien du chauffage, l’entretien de la pelouse, le nettoyage, les frais de sécurité et alarmes (près de 1,5 million pour ce poste), les assurances, etc. La liste est longue. »

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  4. Le SERVETTE FC – 125 ans d’histoire, c’est aussi ça:

    Histoire:
    – 110 000 spectateurs assistent au match Real Madrid – Servette FC le 12 octobre 1955

    – 15.09.1971 Servette FC – Liverpool FC 2:1

    Social:
    – Courir…Ensemble partage l’entraînement du Servette FC
    « http://www.courirensemble.ch/spip.php?article258 »

    – Le Servette FC est nominé dans la catégorie Fan Experience pour son initiative de Noël 2014 Un Enfant, Un Cadeau
    Toutes les voix comptent pour remporter cette distinction.

    Présent:
    – Payé par sa sueur, Servette reprend la tête du classement

    – Le club genevois est celui qui, devant Bâle et GC, compte le plus de juniors dans les équipes nationales. Son style de jeu, lui aussi, épate.

    Futur:
    – les M12 Servettiens se classent devant le PSG, l’Atlético de Madrid, l’OL, l’OM, le Borussia Dortmund, etc..

    – le Servette de Genève gagne le tournoi international de foot U9.

    Émotion – reprise modifiée:

    Demain des lobes tromperont le gardien
    Et vingt-deux joueurs seront sur des terrains
    Demain des avants-centre des buts marqueront
    Et le public en liesse criera à l’unisson

    Vieux et cher Servette tu ne mourras jamais
    Car par tous les gens tu es vraiment aimé
    Nous, supporters fidèles, le Servette défendrons
    Et jamais ô Servette nous ne renoncerons

    De Madrid à Liverpool et aussi Amsterdam
    De Sion à Bâle, en passant par Cham
    Tu le sais ô Servette nous chanterons Aux Armes
    Pas de vacarme, pas de larme, juste ton charme

    Crois moi, tu ne tomberas pas aux oubliettes
    Sur les murs dans le ciel et au fond de la mer
    Dans toutes les contrées et sur toute la terre
    Partout nous écrirons ton nom ô Servette

    Post Tenebras Lux

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    1. Allez Servette !

      Maintenant qu’on s’est congratulé, il faut remettre l’ouvrage sur le métier. Continuer à se battre sur le terrain et à parler de ce club honorable et populaire en dehors.

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  5. il faut faire un effort et signer cette pétition, je lis ce matin que 8000 personnes ont signé une pétition pour Uber en 24h et seulement 1251 pour le stade, allez, tous à vos stylos. (il n’y a, bien sur aucune comparaison entre les 2 motions, c’est seulement les chiffres qui m’interpellent.) Après le mauvais sondage paru dans la Tdg je trouve désolant qu’il n’y aie pas plus de mobilisation, qui en plus ne coûte rien, le chiffre est si faible qu’il va en faire ricaner plus d’un.

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    1. J’allais faire la même remarque. Désolant. Faites tourner au boulot, dans les réseaux sociaux, etc.. Parce que là, on va se prend un bel autogoal si on reste à ce niveau.

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      1. Clair qu’avec l’aide des médias, les chiffres seraient meilleurs. Car je remarque que les médias ont parlé de la pétition d’uber.

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      2. Tout petit article ce matin dans le torchon « 20 minutes », espérons que la TdG fasse également écho !

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  6. Encore un bel article dans Le Courrier ce matin :
    « Le stade du choix…… ». Par Benito Perez
    C’est long….. Sorry

    Le canton de Genève est-il prêt à payer pour disposer d’un grand stade de football? A défaut des tribunes de la Praille, la question remplit les pages des journaux depuis que le Servette FC s’est déclaré en cessation de paiements le 31 mars dernier. En cause, notamment, le boulet de la gestion de ce stade de 30 000 places, cédée en 2011 au club genevois, alors présidé par l’égotique homme d’affaires iranien Majid Pishyar, et qui grèverait d’environ 2 millions de francs le budget des Grenat.
    Le débat, s’il est légitime, a de quoi faire sourire: comme un écho, il nous reporte presque vingt ans en arrière, lorsque droite et gauche ferraillaient au Grand Conseil et au Municipal sur l’opportunité de construire cette enceinte, clairement surdimensionnée pour un club attirant moins de 10 000 péquins par match.
    Pas plus qu’aujourd’hui, on ne savait alors comment rentabiliser la future infrastructure. Mais le débat sur le financement de la construction occupait toute la scène.
    Les plus optimistes tablaient sur la présence de Canal+ au Servette, puis sur la perspective d’un championnat d’Europe en Suisse pour, à en croire ces grands prêtres de la croissance éternelle, révolutionner le foot suisse et ramener les gens en masse au stade. On connaît la suite.
    Trop grand, inconfortable, sans business plan, le stade est aujourd’hui un vaisseau fantôme. Une à deux fois par mois y résonnent les cris de quelque 3000 naufragés, entourés de banquettes rose pâle aussi vides que sales et dégradées. Autant de témoignages de la mégalomanie d’une certaine classe politique.
    La relégation du Servette en Challenge League ne doit pas masquer la réalité: Genève n’est pas Bâle, seule grande ville de foot du pays capable de rentabiliser une telle infrastructure. Face à la concurrence du foot télévisé et une offre culturelle pléthorique, lâché par un tissu économique genevois tourné vers l’international, le club de Hugh Quennec l’a bien compris. En atteste son projet de redimensionnement du stade à 18 000 places avec diversification des activités et zone commerciale attenante. A condition de trouver les dizaines de millions nécessaires à la transformation!
    Pour la collectivité, c’est l’heure du choix. Que veut-elle faire de son stade? Le raser, faisant une croix sur les 60 millions d’argent public dépensés, histoire de mettre un terme à cette fuite en avant? Au risque, concrètement, de laisser le Servette FC sans domicile fixe et des milliers de jeunes footballeurs genevois sans club phare ni débouché. Ou, au contraire, l’Etat doit-il aider à maintenir, voire transformer, l’enceinte, soldant les erreurs du passé et considérant ses retombées d’image ou économiques, à l’instar de l’Arena ou de Palexpo? Voire sa dimension identitaire.
    Lausanne a déjà tranché. La capitale vaudoise s’apprête à construire un stade beaucoup plus modeste, de 12 000 places, entièrement en mains publiques. De quoi renforcer la cohérence du projet et éviter les parasitages d’intérêts privés qui ont certainement plombé son prédécesseur genevois. Cela faisant, la Municipalité de gauche assume de subventionner, même indirectement, une entreprise sportive privée, active sur un des marchés les plus opaques qui soient…
    Un choix cornélien.

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    1. Article intéressant mais on voit les grandes méconnaissances de l’auteur pour le foot. Et un manque de recherche dans les statistiques. Bale n’est pas la seul ville de foot en Suisse et les affluences de Berne et Stgall sont la pour le prouver et même les chiffres de notre saison en super ligue le confirme. Notre seuil en super ligue est sûrement pas loin des 10000. Maintenant il pose les bonnes questions concernant les politiques. Par contre il ignore sûrement les exigences de l’UEFA pour l’euro et le fait que la Suisse voulais pas avoir que 3 stades a proposer pour l’euro.

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      1. Pas tant que ça. St Gall est certes une ville de foot, mais la moyenne est de moins de 14’000. St Gall-YB le week-end passé ne remplit pas le stade de 18’000 places par exemple. C’est pourtant le 2e.

        Et même si nous faisons une moyenne de 10’000, cela ne justifie pas 30’000 places pour 2 matches par saison où on peut espérer les 20’000.

        Il semble en tout cas que la nécessité de finir ce stade fait son chemin. Plutôt positif. Surtout de la part du Courrier qui s’est toujours opposé au stade. La criante réalité oblige dirait-on à ouvrir les yeux.

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      2. C’est vrai mais c’est une sacrée course contre la montre, et il faudra très vite être en mesure de payer les salaires d’avril pour ne pas perdre des points sur le tapis vert. Et ensuite pour pouvoir finir la saison et obtenir la licence.

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    2. Premièrement, on dit un dilemme cornélien, pas un choix… terme qui n’est pas assez fort. Ensuite, le nouveau stade lausannois est beaucoup trop petit. Même taille que Neuchâtel, pour une ville trois plus grande. Chercher l’erreur. Ensuite, le défaut du Stade de la Praille est sa conception. Pas sa taille. C’est un stade monofonction, pas multifonction. On ne peut pas ou très difficilement l’utiliser pour des concerts. Il aurait fallu faires des anneaux avec des pentes plus raides, comme dans beaucoup de stades anglais. Un premier anneau de 10-11’000 places, un deuxième de 10’000, un 3e de 9-10’000. Qu’on peut ouvrir ou bâcher selon les nécessités. Mais tout a été vite et mal fait.
      Pourtant, il y a dix ans bien rares étaient les esprits critiques….

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  7. Excellente nouvelle, même si elle vient 3 ans trop tard.

    Maintenant espérons que d’autres bonnes nouvelles arrivent vite !

    Et comme le dit HQ, il faut garder toute notre énergie pour le présent et l’avenir, et non pour le passé !!

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  8. J’aimerais vous remercier les EDS mais aussi les auteurs du documentaire en lien dans votre article car, étant né 89, jamais je n’aurais soupçonné l’énorme bordel qu’il pouvait exister autour du SDG.
    C’est fou de se rendre compte au visionnage de ce film qu’en réalité Servette (le club et non l’entreprise) s’est retrouvé prisonnier d’un projet malhonnête et que cela ne date pas de MP.
    Quand j’y pense, j’ai commencé à aller voir le SFC et ce dernier était déjà pris dans la tourmente de ce maudit stade alors que je ne connaissais même pas ma table de 9…

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