- Le Président Pishyar avait le sourire tempéré après la victoire de ses joueurs. Ils nous livraient l’analyse suivante: « Les joueurs doivent avoir plus confiance en leur potentiel et se faire plus violence »
- Joao Alves arborait pour la première fois une cravatte sur le banc servettien, mais cela ne l’a pas empêché d’être fidèle à lui-même à la conférence de presse…
- Il n’a pas mâché ses mots envers les journalistes qui voulaient plus d’informations sur son avenir et celui de Servette que sur le match. Or le mage servettien n’est pas du genre à penser à autre chose qu’au match dans les heures qui suivent le coup de sifflet final (cf notre interview après le match à Aarau: https://enfantsduservette.ch/2010/11/03/joao-alves-un-arbitrage-incroyable-spectaculaire-merveilleux )
- Joao Alves a justifié l’absence de M’Futi (qui est resté à la maison) car il ne lui donne pas la satisfaction qu’il attend d’un attaquant. Mobulu va devoir faire des efforts à l’entraînement s’il veut réintégrer l’effectif servettien
- Marcos De Azevedo se reprochait un peu le louper face au but alors que sa 11ème réalisation de la saison lui tendait les bras: « Quand le ballon est revenu sur moi, alors que je pensais que Karanovic allait marquer, j’ai senti que j’allais la mettre au fond, mais bon… j’ai gardé ce but pour le prochain match… »
- Marcos De Azvedo « Je suis content d’avoir marqué sur coup-franc car je savais que je ne pouvais pas faire la différence sur le terrain après presque 3 semaines d’arrêt ». Pourtant, tu n’as pas été ridicule du tout!
- Brian de la S-radio nous a confié qu’il ne pourrait malheureusement pas assurer le direct samedi prochain car il doit travailler. Raison de plus pour se déplacer à Colovray!
- Les Argoviens avaient la mine des mauvais jours et semblaient très déçus de ce résultat. Ils sont repartis rapidement en Argovie
- Carlos Varela avait le sourire dans les couloirs de la Praille. Son but devrait lui donner une nouvelle dose de confiance dont Servette aura bien besoin
- Le Président Pishyar nous a révélé qu’il allait participer à conjurer le mauvais sort de Nyon. Il sera présent samedi non seulement à Colovray, mais aussi sur le banc avec Joao Alves. Une première!!!!
Par Oscar Obradovic

merci les gars votre boulot est incroyable
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Merci David!
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+1! merci
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Très juste !
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+1 🙂
après le camp d’hiver il parlait mieux de mobulu…
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« Le Président Pishyar nous a révélé qu’il allait participer à conjurer le mauvais sort de Nyon. Il sera présent samedi non seulement à Colovray, mais aussi sur le banc avec Joao Alves. Une première!!!! »
Je ne suis pas sûr de trouver cette imitation de Constantin très positive. Que chacun reste à son rôle, et tout ira pour le mieux.
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Majid reste super détaché par rapport à ce qui se passe sur le terrain au contraire d’un Constantin. Comparer notre Président au crétin des Alpes c’est y aller un peu fort.
C’est un gestionnaire hors-pair et s’il est où il est aujourd’hui c’est bien parce qu’il sait faire une chose que tout bon manager doit savoir faire: déléguer !
De plus on a été tellement minable la dernière fois (pire match de la saison ?) à Colovray que ça peut pas faire de mal.
Tant qu’il ne s’imisce pas dans les décisions de matchs (joueurs, tactique) je ne m’inquiète pas plus que ça.
Les joueurs ont intérêt à s’arracher, que Majid leur mette un peu de pression (ou de soutien c’est selon) je trouve cela très bien.
TOUS A COLOVRAY DEBLEU !!!
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Ce genre de décision va encore faire les choux gras des médias en cas de contre-performance chez nos voisins.
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Le Président Pishyar me l’a dit de façon complètement détaché et relax alors que je lui parlais en tête à tête dans le couloir en lui disant que Nyon n’est pas notre destination favorite. Il ne faut pas monter cela en épingle. Qu’il ait envie d’être sur le banc pour soutenir les joueurs n’a rien de Constantin du tout.
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Si Majid Pishyar va s’assoier sur le banc samedi à Nyon, ce sera sans doute dû au fait que João Alves ne sera pas là car il doit subir une petite opération cette semaine. Il faut le voir comme un soutien mental à l’équipe, et pas comme une ingérence du président…
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