Servette et le syndrôme Bâlois… C’est grave docteur?

Encore une! Comme dirait, l’autre : Et pan, dans les dents! Servette a une nouvelle fois subi la loi du FC Bâle samedi soir. Pourquoi, comment changer cela? tentative d’explication…

Comme des poulets!

Pourtant, le match n’avait pas si mal commencé pour le SFC. Bâle se montrait légèrement dominateur, mais Servette n’était pas vraiment dépassé. Il faut dire que la tactique mise en place par João Alves était un peu attentiste. Les bâlois avaient la maitrise du cuir et le but était de changer de rythme après avoir récupérer le ballon et accélérer rapidement vers l’avant.

Cette tactique aurait pu être payante…si Servette avait pu marquer en premier! Malheureusement, cette maudite 26 ème minute changea le cours du match : Mati perdit son duel face à Sommer et Servette ne prenait pas un avantage qui aurait pu être décisif, tactiquement parlant. Et ce qui devait arriver arriva juste après, Bâle prenant l’avantage sur sa première réelle occasion..

Le mental en question

Ce qui n’est pas vraiment acceptable et regrettable, c’est que Servette n’a finalement que trop peu combattu, s’avouant vaincu dès le 0-2. Pas ou peu de révolte, comme si nos boys étaient tétanisés puis résignés par l’enjeu… Il faut croire que les Servettiens ont fait, comme leurs prédécesseurs ces dix dernières années sous le maillot Servettien, une montagne infranchissable du FC Bâle.

Bien sûr, cette équipe est championne en titre. Bien sûr, elle mérite le respect. Mais un match se gagne aussi dans la tête, et ce n’est pas en faisant des « courbettes » aux joueurs Bâlois à chaque petit contact que l’on peut faire douter Frei et ses collègues de leurs qualités. Non, si l’on voulait déstabiliser Bâle, il fallait jouer plus physique, plus direct, plus offensif. Et avoir aussi un peu de chance! Leur rentrer dans le lard quoi! On a été trop gentil, un point c’est tout…

Il faudra corriger le tir en début octobre lors de notre visite au Park St-Jacques si l’on ne veut pas vivre une nouvelle désillusion… La 16ème d’affilée contre Bâle…

Julian Karembeu

18 réflexions sur « Servette et le syndrôme Bâlois… C’est grave docteur? »

  1. J’èspere que ces arbitre arrête de donnais des coup de main à ces bâlois comme ce fut le cas à la praille chaque 2 min un coup de sifflet en faveur des bâlois il faut arrêter il faut que tous les club fasse quelque chose contre cette fédération pour qu’il regard un peut ces arbitre il ce possisionne d’un côte et c’est tout

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    1. Franchement l’arbitrageest un des meilleures depuis le début de la saison, c’est bien d’en parler quand les choses sont catastrophique comme à Xamax mais la je pense que si tout les matchs sont sifflés comme ça je ne me plaidrai pas

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      1. +32.

        L’arbitrage n’a rien à voir dans notre défaite.
        D’ailleurs pour moi, c’était le meilleur arbitrage qu’on a eu depuis le début de la saison.
        C’est juste que les Balois étaient plus malins, ils se faisaient juste toucher et ils tombaient mais il y avait quand même faute.
        Servette a été bien trop naïf et pour me permettre une citation, je reprendrais celle d’Evra contre Arsenal : « On a joué contre 11 enfants » (ou un truc comme ça!!!)

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    2. Là je trouve que tu y vas un peu fort. On s’en est pris 4 et sincèrement l’arbitra n’a rien à voir là-dedans.

      Par contre j’ai trouvé que Gonzalez est à la rue sur les trois premiers goals

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      1. Gonzo à la rue ? Bon d’accord il ne réalise pas les même miracles que Sommer face à Vitki mais à part ça il ne peut pas grand chose sur aucune des quatre réussites bâloises.

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  2. Je ne dirais pas que l’équipe ne s’est pas battue. Pour moi, ils ont donné le maximum. Simplement, il y a eu les errement s tactiques d’Alves et plusieurs coups durs: blessure de De Azevedo + Routis. Le milieu axial était déjà affaibli par l’absence de Kouassi. Là, ils n’ont juste plus fait le poids. Et quand tu es à 10 et mené 2-0, tu as beau de défoncer, c’est l’adversaire qui te fais courir. Malgré ça, ils ont tenté de sauver l’honneur jusqu’au bout (pénalty obtenu par Yartey). Personnellement, je ne reproche rien aux joueurs. Il y a eu un peu de poisse (raté de Vitki, 2 blessés) des erreurs tactiques d’Alves. Et contre un Bâle super affûté qui joue en champion’s league jeudi ça fait 0-4.

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    1. D’accord avec Saturnin, l’équipe s’est battue comme elle a pu. La malchance c’est d’avoir 2 blessés dans le même match et le manque de lucidité dans le dernier geste à la 26ème c’est tout ce qu’on peut regretter.
      Par contre ce qui est regrettable selon moi ce sont les choix tactique d’Alves sur ce match (Ne pas reconduire la défense de Sion, Routis titulaire milieu, entrée de Pont:un joueur à vocation plutôt défensive au moment ou Marcos se blesse, sortie de Pont, entrée tardive d’Esteban, sortie de Diallo ce qui déséquilibre tout le système). Bref, une fois n’est pas coutume la potion de notre druide était tout simplement fait à base de grande ciguë.

      En ce qui concerne l’arbitrage, je l’ai trouvé correct (on a déjà vu bien bien bien pire) même si 2-3 décisions semblent injustes pas de quoi crier au scandale.

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      1. Et oui Gonzo aurait peut-être pu faire quelque chose sur le premier but (se coucher à la vitesse de l’éclair, tendre un poil plus la jambe)…

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      2. Il aurait pu et dû couvrir son angle !!! Il est couvert par son défenseur qui tacle …. il ne lui reste qu’à anticiper sur son côté gauche … mais non … il ne bouge pas !!! Lamentable !!!

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  3. Il faut arrêter de parler d’une pseudo aide des arbitres envers le FCB.

    Bâle est un club habitué à lutter pour le titre, et un club sûr de ses forces. Ils ont une longueur d’avance technique, mentale, financière, sur la quasi totalité des autres clubs suisses.

    C’est donc en toute logique que les bâlois se sont imposés ici, car c’est un club qui ne doute pas, ils savent très bien qu’ils seront en haut après les 36 journées.

    La pseudo effervesance genevoise après la victoire à Tourbillon, a dû même décupler l’envie rhénane de faire revenir sur terre les genevois, et force est de constater qu’ils ont plutôt bien réussis.

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  4. Gonzo n’est pas tout blanc c’est vrai. Ce qui me gêne c’est qu’il n’est pas très fit (la comparaison avec Sommer fait mal) et qu’il ne s’impose pas dans les airs. A corriger ou il faudra songer à donner sa chance à qqun d’autre.

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  5. 1. Principale raison: choix discutables du coach avant et pendant le match. Ammène l’instabilité, n’utilsie pas les joueurs là où ils sont les meilleurs (ex Routis). Donc moins de confiance, et les joueurs ont pu donc apparaître attentistes.
    2. Valeur intrinsèque des joueurs inférieure à celle des joueurs de Bâle. Techniquement et physiquement. Leur milieu de terrain nous a mangé sans soucis. Le meilleur exemple est l’écart entre les gradiens, où Sommer sauve des balles de but magnifiquement, alors que Gonzo sans démériter particulière ment n’y a rrive pas. Et que dire de la finition: les avants bâlois sont cliniques (shoots secs, forts et placés au delà du gardien) alors que par exemple on voyait une heure à l’avance où Mati allait placer sa balle.
    3. Organisation rôdée de Bâle. Tout le monde à sa place, sûrs du sytème.
    4. Défense de Bâle très bien placée. Seuls les exploits individuels de notre petite mobylette Yartey arrivait parfois à les désatbiliser.

    Donc soyons patients, maganinimes avec nos joueurs, conscients de nos possibilités et de surtout gagner des points là où il le faut. Le cas de GC est rageant car ils étaient à notre portée.
    Pour Bâle cela aurait été génial de faire des points, mais la froide réalité a éteint nos espoirs. Et contre Bâle, choisir une approche plus défensive pour espèrer un hold-up en fin de partie -malheureusement- car nous ne sommes pas encore prêts à mener contre eux un jeu offensif: ils nous ont punis cliniquement. L’écart est trop important pour le moment.

    Dernier point: il faut faire de La Praille une forteresse. Je crains que les adversaires viennent chez nous sans crainte. Et ce n’est pas bon pour gérer un parcous de maintien avec une victoire tous les deux match (moyenne de points 1.5 par match).
    A+

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  6. Ah au fait,l’arbitrage a été correct.
    La perception des internautes qui le critiquent, vient de l’expérience des bâlois qui savent profiter de la fébrilité de nos jeunes joueurs. L’exemple type est Ruffli qui pousse inutilement le joueur coréen (très bon joueur au fait) qui tombe et obtient justement le coup franc. Les anglais appelent cela un ‘clumsy challenge’. Après Ruffli s’énerve, crie sur l’arbitre de touche et pif paf poum se prend son carton de bebet….A+

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  7. une chose est certaine: la faute qui à amené le penalty devait devait être sanctionné avec le carton rouge et expulsion et non un petit carton jaune…pourquoi le jaune… et bien cet arbitre n à pas osé appliquer le règlement parce que c est Bâle. Mais ce problème est récurrent en suisse.

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