Servette et Bâle, si près, si loin…

Photo : Keystone/Eric Lafargue

Bâle s’est qualifié mercredi soir pour les 8ème de finale en éliminant Manchester United, club dont souhaite s’inspirer Majid Pishyar…

Un Bâle de fer…

Depuis le début de ce siècle, Bâle n’a presque plus de rival en Suisse. La raison? Un budget hors-norme de plus de 50’000’0000 de francs suisses cette saison. Mais avoir de l’argent c’est une chose, en gagner et l’utiliser intelligemment en est une autre! Bâle a compris que son salut, soit sa domination sur le football Suisse, passait par une organisation sans faille de sa formation. Le club « rot und blau » ne possède-t-il pas moins de 12 (!) recruteurs pour trouver la moindre petite pépite footballistique dans notre pays? Du travail d’orfèvre…

A cela, comment travaille le SFC pour faire son retard sur le ténor bâlois? Et bien…il travaille, mais avec ses moyens. C’est-à-dire pas grand chose… Majid Pishyar nous a toujours dit que la formation serait son cheval de bataille et que ce serait le futur réservoir du Servette FC. Alors, oui, des joueurs sont sortis et commencent à s’affirmer, mais qu’en serait-il aujourd’hui si João Alves n’avait pas été là? Car les Kouassi, Rüfli, Moubandje, et autre Routis , c’est bien l’entraîneur portugais qui les a fait éclore, et pas Majid Pishyar…

…et un Servette en papier

Si Servette a fait avec son équipe M21 un superbe parcours la saison passée, il n’a malheureusement pas pu monter en 1ère ligue pour une sombre histoire de quotas. Et cette décision a peut-être bien plombé une ambiance déjà pas au beau fixe… Car lors de la dernière pause estivale, la quasi totalité des entraîneurs du centre de formation étaient en fin de contrat avec l’Académie du SFC, et on ne peut pas dire que le président Pishyar se soit dépéché pour les renouveler et ainsi donner des bases solides à la formation servettienne. La probable gabgie a finalement été évitée de justesse et la plupart des entraîneurs de l’Académie auront rempilé pour une nouvelle saison.

Départ de Fournier?

Mais Servette n’est pas à un pas en arrière près. En effet, Sebastien Fournier, fidèle parmi les fidèle, devrait quitter son poste de chef de l’Académie pour retouner en Valais et prendre en main celle de l’ennemi valaisan. Avouez qu’il y a mieux pour préparer l’avenir que de bosser à la petite semaine, en laissant son chef de la formation partir sous d’autres cieux…

Et l’avenir dans tout ça?

Finalement, à quoi doit-on s’attendre dans les prochains mois? Servette va-t-il réussir à atteindre l’objectif fixé par Majid Pishyar, soit le titre de Champion Suisse en 2014? Nul ne le sait aujourd’hui. Mais une chose est sûr : Servette est sur une pente savoneuse, tant sportivement, que financièrement. Ajoutons à cela une communication catastrophique de Majid Pishyar et le retour des intérêts nébuleux et néfastes dans la sphère du club, et l’on comprendra que la plupart des voyants sont au rouge et que Servette et ses supporters ne sont pas près de revoir trôner la Coupe de Champion Suisse dans son futur musée qui n’existera peut-être jamais…

Malheureusement, dira-t-on…

Julian Karembeu

35 réflexions sur « Servette et Bâle, si près, si loin… »

  1. Entièrement d’accord avec tous ce que vous dites. Je tiens juste à saluer la victoire baloise, une histoire du foot suisse vient de s’écrire. Bravo bale !!!

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  2. On verra coment le club va réagir a la pause?,si vraiment
    de vrais renforts vont arriver ?.Je veux encore y croire,
    n’oublions que le quatrième n’est qu’a 5 points.A l’école
    j’avais le surnom de doux rêveur,j’espère que le futur
    grenat ne confirmera pas mon surnom.

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    1. Il faut faire confiance à pishsar même si sont choix de virer alves et que ça communication me plaît pas il faut croire en sont projet et il faut surtout croire en servertte !!!! J espère que les projets de pishsar aboutirons!!!

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      2. et si c’étais alves qui reprenait la formation a partir de la saison prochaine a la place de fournier vous diriez quoi???

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      3. Sans moyens, sans un esprit de corps, on ne peut pas travailler sur le long terme, même avec Alves. Quand le club est mal structuré et gangrené de l’intérieur, tu peux amener le meilleurentraîneur, il ne réussira pas sur le long terme…

        Pas de club sain, pas de succès, juste des coups…

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      4. On ne peut structurer un club en une saison, il faut du temps. Les projets son là maintenant seront-il réalisé seul le futur nous apportera cette réponse.
        La confiance aveugle n’est pas dans ma philosophie, mais il me semble que beaucoup de chose on évolué dans le club depuis l’arrivée du président.
        Il professionnalise la direction, met en place ses employés. Peut être c’est-il trompé avec le directeur sportif. Il a souvent changé la vice présidence mais toute les personnes ayant occupé ce poste on apporté quelque chose au club.

        A mes yeux le problème est en faite plus simple qu’il n’y parait. Il se sépare de ces employés d’une façon radical. Pivoda a amené une très bonne image au club et a permis le coté événementiel lors des match.
        Hensler lui a apporter l’Advisory and Ethic Board. maintenant nous verrons ce que Amin apportera.
        Mais le cas le plus flagrant est celui d’Alves il nous fais remonter et ce fais jeté comme une chaussette sale…

        en résumé travailler pour lui et Servette est un honneur si il vous met en place c’est pour amener quelque chose mais une fois votre apport effectuer il vous remplacera.
        Pour le directeur sportif se sera pareille.

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  3. dans tout les club de supers league il y a des jeunes qui joue que se soit 94! 93 92 91 sauf servette et pourtant il ont de bon jeune damien hempler défenseur poceiro milieu artrit milieu gross milieu c est juste une phylosophie je suis persuader que un granit xhaka a servette ne jouerai pas titulaire un nassim ,sauthier,zuber, memehdi pareil le servette d aujourd hui si il veut réusir il faut faire confiance au jeune et arreter les pizzi pont schlauri et compagnie

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    1. Tout à fait d’accord avec toi je suis sur que si on faisait confiance a quelques jeunes du Servette ça pourrait être bien. Tout les clubs font ça aujourd’hui regardez juste Lausanne qui fait jouer Selim khelifi né en 94 et qui a un talent incroyable pour son âge ! Et je peux vous assuré qu’il y a des jeunes du Servette qui sont au mène niveau que lui !

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  4. On ne connaît pas bien le futur du FC Bâle avec le départ de Gisela Oeri, elle qui a beaucoup investit pour le club. ça laisse penser que le club reste un gouffre à millions et rien ne dit qu’elle poursuivra son engagement financier.

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      1. Le FC Bâle est une institution déficitaire depuis des années, Gigi a essuyé 9.7 millions en 2009(!) et selon la Basler Zeitung, 20 millions en 12 ans. 2011 marque la fin d’une époque pour le FC Bâle. Le club va devoir passer à une autonomie financière(qui devrait passer par des départs de joueurs).

        Par contre Gigi financera toujours le projet du Campus indépendamment(contrairement à Servette où le tout est lié).

        Si ça t’intéresse je t’envoie l’entier de l’article par mail ou voici le lien de l’article, c’est l’interview du futur président et actuellement vice-président Bernhard Heusler:

        http://www.letemps.ch/Page/SysConfig/WebPortal/letemps/jsp/paywall/error/usersession.jsp;jsessionid=7AB17F468CCB5E0D02458DF3318AE34D

        Pour la défense de Majid(!…) je dirais que d’un côté on a un club qui a été massivement soutenu financièrement et qui n’avait pas pour vocation d’engendrer des bénéfices, contrairement à semble t-il la politique d’autonomie financière que Pishyar semble vouloir mener et qui dans le fond est légitime.

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    2. Nous sommes dans un monde où un club de foot doit être géré comme une entreprise. Si le club veut être professionnel il doit donc à un moment investir, donc prendre certains risques.
      Bâle semble réussir. La victoire d’hier apportera en gros 8 millions d’Euros supplémentaires. Entre autre grâce a plusieurs joueurs qui sortent de leur académie. Donc le retour sur investissement (les risques pris) paie.
      Bravo à eux, bravo à leur mécène, ne soyons pas jaloux et aigris: pensons juste à faire comme eux, ils montrent l’exemple.

      Le succès doit nous inspirer, pas nous faire écrire des commentaires négatifs.

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  5. Il n’y a virtuellement aucun investissement dans l’Académie.
    Il n’y a aucune culture de club à l’académie: aucun événement, réunion de groupe pour créer une ambiance, mêlant joueurs, éducateurs et parents.
    L’Académie est elle impliquée aux matchs et événements de la première à la Praille? A part faire le ramasseur de balle, où voit on les jeunes?
    Les terrains et equipements sont dans un triste état non dignes d’un club professionnel.
    Pas de physio assigné et facilement disponible pour gérer leur physique en pleine évolution.
    Les enfants reçoivent le matériel en fin du premier tour.
    Les équipes jouent avec de vieux maillots.
    Il n’y a pas de suivi/travail pour des développements de carrière personnalisés.
    La politique de contrats de formation est plus qu’obscure et aucune logique ne semble suivie.
    Le sport-étude tient plus du bricolage que d’une structure solide qui aide les enfants à concilier études et football.
    La collaboration avec les autres équipes du canton est plus virtuelle que réelle, service minimum.

    Résultats: des résultats moyens, des équipes au moral flageolant, les quelques talents ne pensent qu’à partir à la première opportunité. L’amour du maillot n’est pas promu, les joueurs n’ont donc que des pensées individuelles.

    L’Académie du Servette a t’elle le Label 1 de l’ASF? Je ne suis même pas sûr?

    Regardez sur le site officiel. Les news et résultats ne sont pas tenus a jour, les photos d’équipe datent dans certains cas des années précédentes, quand il y en a. Allez sur les sites des clubs leaders de la SFL, et comparez. Et imaginez comment leurs jeunes joueurs sont fiers d’appartenir à ces clubs.

    Un club ne peut survivre sur le long terme uniquement que si son académie sort des joueurs régulièrement pour son équipe première, qui y prennent de l’expérience avant éventuellement d’être vendus plus tard.

    Bâle, les Zurichs, Lucerne en Suisse, Auxerre, Lorient, Rennes en France, Amsterdam en Hollande entre autres l’ont bien compris. C’est le seul moyen pour les clubs de réussir sur la durée, de rester dans l’élite et réussir des beaux coups comme hier soir, qui eux mêmes engendrent des revenus supplémentaires. Le cercle vertueux est donc possible pour à la fin nourrir l’histoire du club.

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      1. Oui bien sûr. Mais je ne parlais que des clubs de taille équivalente avec un potentiel d’investissement similaire.
        Sinon évidemment on peut aussi citer Arsenal, MnU et maintenant City qui eux aussi investissent énormément dans une Académie top moderne.

        SFC est dans le segment des petits clubs qui vendent aux gros clubs. Et comprenez moi, ce n’est pas péjoratif. C’est juste la réalité de la vie: une ville de taille moyenne, dans un petit pays. Donc des revenus faibles (droits TV, Sponsoring, ventes annexes, billetterie,…). Donc l’Académie doit être vue comme un moyen de générer des revenus pour le club. Il n’y a aucune honte à ceci, c’est au contraire une perspective dont nous devrions être fiers… Si nous le faisons.

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    2. Effectivement tu as tout juste.
      12 recruteurs à Bâle, 0 à Servette, 2-3 entraîneurs par équipe chez les catégories juniors à Bâle, 1 à Servette, Idem pour l’Elite. Pas d’entraînements spécifiques pour les jeunes, encore moins pour les gardiens. Un proche m’ayant signifié que les gardiens n’avaient plus de spécifiques cette saison, info ou intox? 1 entraîneur pour 20 enfants, cela n’existe pas ailleurs et surtout pas dans un club pro.
      Le terrain synthétique en face du restaurant = dangereux, nous y sommes allés 2-3 fois avec des amis pour taper le ballon et le risque de blessure est grande. La formation est laissée à l’abandon et pourtant les jeunes talents existent. Aujourd’hui certains clubs de la région investissent pour la formation, entraîneurs de qualité, matériel mis à disposition, structure permettant un épanouissement de l’enfant. Comme tu le précises, les jeunes du club, formés au club, attendaient qu’on retrouve l’Elite Suisse afin d’avoir une chance d’y accéder. Aucun jeune des M21 ou autre n’a eu l’occasion de fouler la pelouse, et après on vient pleurer parce les jeunes formés au club, préfèrent partir à Lyon, YB, Bâle et autre. Messieurs, misez sur la formation, les résultats viendront et vous aurez un retour sur investissement. Bien à vous.

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      1. Oui merci de confirmer ce que je dis. Et effectivement le petit terrain synthétique est dangereux. Régulièrement des joueurs se blessent car les appuis ne sont pas bons,il est bosselé entraînant des entorses ou des blessures musculaires.
        Et les terrains en herbe ! Impossible de pratiquer un jeu de qualité, tant la balle rebondit dans tous les sens.
        Les vestiaires dont les bancs sont cassés avec les clous qui dépassent….

        Les entraîneurs sont loyaux. Ils ne peuvent le dire qu’à mots couverts. Ils ont tout à perdre si ils donnent leur point de vue, qui de toute façon ne sera pas écouté.

        Les priorités en attendant un investissement lourd:
        – Présence régulière d’un physio dédié aux juniors
        – Equipement équipes de qualité
        – Mise en place d’un sport-étude solide
        – Mise en place d’une politique claire et communiquée pour les contrats de formation, comme il se pratique dans d’autres clubs ou comme défini en France par la LFP, avec des textes qui régissent les droits et les devoirs de chaque partie, y compris les émoluments minimums (basés sur des échelles de points qui varient suivant les types de contrats: progressifs jusqu’au contrat pro, l’aboutissement d’une formation résussie.
        – Animation de la vie de l’Académie pour que les enfants se sentent ‘aimés’ en tant que membres d’une ‘famille’, membres à part entière d’un club qui les valorise sur le long terme. Et non juste traités comme des pions individuels qui peuvent ou ne peuvent pas réussir.
        – Création d’un esprit Académie qui implique tous: éducateurs, joueurs et parents.
        – Renforcer les liens Première et Académie. Pas seulement au niveau technique, mais par des actions ou animations communes.

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    2. Ah une bonne nouvelle. Espèrons qu’ils en profitent pour bien repenser Balexert, avec une zone ‘calme’ pour les études des enfants et une pour un physio.

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  7. pourquoi vous comparez toujours le SFC avec le FC Bâle? c’est comme on compare des pommes et des poires…actuel on c’est plus important de rester dans la LNA que de gagner le championnat avec un budget de 10 mio. francs…

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  8. Pff plus envi de vous lire vous êtes trop pessimiste. Moi je suis pour dire que sans Pishard on serais encore dans le trouduc du foot Suisse. Arrêtez de critiquer ! Supportez l’équipe et les joueurs ! ca vas deux jour mais la ca fait une semaine que vous crachez sur la direction je crois que même a Ouagadougou ils ont compris. Ca suffit maintenant. On as tous bien compris.

    Allez SFC !!! Moi j’ai confiance !

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  9. YB 8 TU CONNAIS RIEN TOI TU REGARDE JUSTE LES MATCH PAS CE QU IL CE PASSE A SERVETTE UN EXEMPLE SAUTHIER PAS UN MATCHE UN CHALENGE LEAGUE IL PART A SION IL EN EST A 50 MATCH DE SUPER LEAGUE DEUX M18 SONT PARTIT EN FRANCE IL SONT EN EQUIPE DE SUISSE JEUNE MTN A SERVETTE IL SE PREOCUPE SEULEMENT DE LA PREMIERE ET RIEN D AUTRE J ETAIS A BALEX ET J AI ENTENDUE DIRE QUE LES M21 N AVAIS PAS ACCES A LA SALLE DE MUSCU !!!!!! MAIS O EST OU LA? BREF ON PARLE DE PISHAR MAIS IL PAYE PLUS LES SALAIRE DE SON MINI GOLF PAREILLE POUR SES DEUX RESTAURANT LES JOUEUR ATTENDENT LEUR PRIME DE MONTER PLUS CELLE DES VICTOIR DE CE PREMIER TOUR J AI ENTENDUE QUE LES PHYSIO ATTENDE 4 MOIS DE SALAIRE IMPAYER LES JOUEUR SE PLAIGNAIS CAR LE MOIS PRECEDENT IL AVAIS RECUS LEURS SALAIRE LE 15 ET QUAND CE MOMENT MEME IL ON TOUJOUR PAS RECUS LEUR SALAIRE DE NOVEMBRE SERVETTE VA DEVOIR BATTAILLER DANS LES BARRAGES POUR PAS REDESCENDRE EN CHALENGE LEAGUE

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    1. @ Marco, tout ce que tu dis est loin d’être faux (pour ne pas dire plus). Mais n’ulilise plus les majuscules stp, c’est vraiment illisible!

      @ YB et chris 1200 : comme nous l’avons déjé expliqué à nos lecteurs, nous parlons de la vie du club sur les EDS. Si Cela va bien, il y a de bonnes nouvelles sur le site. Si cela ne va pas top, on le dit aussi. Nous préférerions évidamment que tout aille bien, que Pishyar paie ses factures et que le ciel soit bleu! Mais ce n’est pas le cas et on ne va quand même pas mettre la tête dans le sac sous prétexte que ^cela fait des articlée plus positif…

      Donc, désolé, mais tant que le club ira mal, on le dira…

      Quant-aux joueurs, on ne peut pas dire qu’ils ne sont pas soutenus par les EDS. Nous leurs trouvons même certaines circonstances atténuantes sur cette fin de 2 ème tour, ce que l’on nous reproche parfois.

      Bref, les goûts et les couleurs…

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      1. Et je pense que vous avez tout à fait raison de crier tout haut les points qui ne vont pas! Je préfère savoir ce genre de choses, même si ce sont des nouvelles pessimistes, plutôt que d’être dans la surprise le jour où ça se saura au grand jour! L’euphorie de la montée en superleague passé, on s’était déjà rendus compte qu’il y avait quelques problèmes, mais le bon début de saison m’avait fait oublié ces tracas, surtout que Neuchâtel ou Sion étaient au coeur du débat. Depuis le départ d’Alves, ces problèmes sont remis en avant et démontrent que rien n’a changé depuis le début de saison et c’est assez stressant je dirais! J’espère juste que cela ne va pas nuire à l’équipe, et qu’en fin d’année on pourra se dire ouf, on est toujours en superleague!

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  10. Quand on cherche à tirer un bilan, on évalue non seulement le passif, mais aussi les actifs. C’est vrai que notre ADN – à nous les genevois – nous poussent à toujours regarder le passif et faire des critiques négatives. Ne serait-il pas opportun, ne serait-ce qu’une fois, de lister les actifs qui figurent sur l’autre plateau de la balance?

    Peut-être qu’en fin de compte le plateau penchera du mauvais côté, mais nous serons cependant bien plus crédibles dans nos critiques négatives, si nous avons sû en émettre aussi des positives.

    Aujourd’hui on apprend l’accord passé avec plusieurs communes du canton pour que la 1ère équipe puisse à nouveau s’entrainer aux Evaux. On en déduit aussi que Balexert pourra ainsi être utilisé pour le secteur de la formation. On sait qu’il y a un plan pour y construire un nouveau bâtiment sur un des terrain synthétiques. Pourquoi ne pas parler aussi de ces aspects?

    Je ne veux pas me bercer d’illusions, mais soyons peut-être un peu moins genevois et un peu plus fairplay!

    C’est facile de dire que ns sommes encore loin du FCB, mais combien d’années a-t-il fallu à ce club pour en arriver là?

    Pour terminer et je n’ai rien contre le FCB et ses supporters, je ne peux pas me réjouir de leur réussite financière par le biais de la Champions League. Les millions d’euros ainsi obtenus, qui s’ajoutent aux dizaines de millions de CHF fournis par leur mécènes de l’entreprise pharmaceutique bâloise, font que l’intérêt du championnat suisse ne va cesser de diminuer, par faute de concurrents à une équipe qui pourra ainsi accumuler les titres et graduellement faire grossir son budget…

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    1. @Julian: j ai bien compris que vous êtes inquiet mais je ne peux pas être en accord avec vous on tire a boullets rouge sur une personne qui nous a sortis de la m. Il ne faut pas oublier que Rome c est construit sur des ruinnes et de plus si il ne paie pas les factures de ces SA qui ne concerne pas le club… C est notre problème Pishar a plus d une société et a divessifier ces affaires ce n est pas surprenant qu il ait certains litiges en cours. Vous n avez jamais reçus de rappelle pour une facture? Allez c est bon on attend de voir moi aussi j ai tendance a m inquiéter mais faite place a qqch d autre. M. on arrrete pas de de plaindre tous les jours. J ai mal au dos… J ai reçu une lettre de m…. j ai mal dormis… Mon patron ne fait chier… Bon voilà moi j ai envie d y croire pas vous?????

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      1. Les critiques positives auront lieu d’être, quand le club sera à même de faire plus que des annonces, du concret, voila ce que demande le peuple, car avant de déclarer en grande pompe la construction de la maison du Servette ou les améliorations au stade, que MP achète des ballons pour les mômes ou de simple but mobile et accessoirement paye les primes et autres factures en suspend.

        Que les EDS continue et vive le Servette

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