Défaite frustrante des Grenat. L’expulsion de Kossoko, au moment où Servette pressait Bâle, a tout changé…
On ne sait pas encore si le maintien de Servette se jouera sur des détails, mais si c’est le cas, alors ce match contre Bâle porte en lui bien des enseignements. Parce que, pour une équipe qui joue sa survie dans l’élite, les détails n’existent plus: tout devient capital. Hier, ce sont justement ces détails qui n’en sont pas qui ont permis à Bâle de passer l’épaule. «Je ne sais pas si ce match méritait un vainqueur», reconnaîtra Alexander Frei. Une largesse de vainqueur…
Si Servette a perdu, sans vraiment le mériter peut-être, il le doit à ses erreurs personnelles. De celles qui coûtent cher et qui se paient cash, surtout face au champion en titre qui course Grasshopper. C’est à la suite de deux balles arrêtées que les Rhénans ont forcé la décision (un coup franc, un corner). C’est tout l’art des grandes équipes que de profiter de ces moments clés, dit-on. Sans doute. Mais il ne faut pas en plus faciliter la tâche d’un adversaire qui sait déjà être très réaliste.
Une pièce en trois actes
Acte I. C’est à la 28e, alors que Bâle dominait, que le premier coup de pouce a eu lieu. Après un coup franc, Stocker a hérité du ballon dans les 16 mètres. Pasche était là pour lui barrer le chemin, mais le milieu de terrain, pas aussi en vue que contre Lausanne, s’est lancé intempestivement, laissant Stocker centrer pour un Dragovic qui brûlait la politesse tant à Schneider qu’à Barroca, curieusement sorti devant son premier poteau. Coup de froid sur la Praille. Seul aspect positif: ce but bâlois aura obligé les Grenat à se réveiller.
C’est d’ailleurs en terminant la mi-temps en se montrant enfin plus percutants que les Servettiens allaient être récompensés. Dans les arrêts de jeu, avant la pause, c’est Diallo qui adressait un centre parfait pour Karanovic. Si discret jusque-là – et après à nouveau –, le buteur plaçait une tête imparable. Servette allait en profiter, après la mi-temps, pour repartir avec de belles intentions. Bâle souffrait, Bâle ne craquait pas (deuxième tête de Karanovic ratée, 50e), mais ce premier quart d’heure porteur d’espoirs allait se terminer en queue de poisson.
Acte II. Cela se passe donc à l’heure de jeu. Tout comme ses coéquipiers, Kossoko s’était réveillé après le thé, sur son côté droit. Servette bousculait Bâle, Kossoko intervenait alors dans les pieds de Stocker, fautivement selon l’arbitre Amhof. Rien de grave jusque-là. Sauf que le Français, déjà averti en première période, ressentait cela comme une profonde injustice (la faute sifflée, donc). Et qu’il balançait avec véhémence le ballon sur le sol. Deuxième carton jaune pour ce geste d’humeur. Il faut être clair: faute ou pas, Kossoko n’avait pas à manifester son mécontentement de la sorte, c’est une faute professionnelle qui a laissé Servette à dix. Un détail de plus…
Très affecté et conscient de son erreur, Omar Kossoko ruminait sa peine. «Je m’en veux beaucoup, oui, soufflait-il. A onze, je ne sais pas si nous aurions gagné, mais je ne pense pas que nous aurions perdu. Mais j’ai fait ce geste un peu con et j’ai gâché tout le travail que l’équipe avait accompli.»
Acte III. Servette est donc à dix sur le terrain. Il ne faudra que trois minutes à Bâle pour en profiter. Les Grenat avaient dominé depuis la pause, cette expulsion stupide allait lui couper les pattes. C’est sur un corner très bien botté par Alexander Frei que Dragovic surgissait à nouveau, bis repetita. Cette fois, il profitait de la passivité de Vitkieviez, censé être au marquage, ainsi que de celle de Barroca, absent, planté sur sa ligne avant de s’écrouler alors que Dragovic n’était qu’à un mètre de lui. Encore des détails, tous capitaux.
La bêtise de Dragovic
Dans son malheur, Servette aura eu la chance de voir Dragovic expulsé juste après son but. Le défenseur bâlois s’est en effet fendu d’un bras d’honneur bébête. L’histoire d’un pari stupide qui tourne mal: il avait donc parié avec l’assistant de Murat Yakin que s’il marquait de la tête, cela vaudrait un tour de terrain à l’assistant. Qui était donc en train de l’accomplir quand Dragovic lui adressa bêtement ce bras d’honneur, façon «bien fait pour toi». Cela lui vaudra pourtant un deuxième carton jaune, l’arbitre ne pouvant pas savoir et un bras d’honneur, fût-il destiné à un Bâlois, n’ayant de toute façon pas sa place sur un terrain.
Les Grenat termineront en cravachant pour égaliser, sans y parvenir. Malgré une tête de Schneider juste au-dessus, ou une tentative contrée de Karanovic dans les arrêts de jeu. Toujours des détails…
Servette ne se sauvera pas s’il multiplie les erreurs personnelles. Bien sûr, face à un Bâle froidement réaliste, ces moments d’égarement sont immédiatement sanctionnés, ce qui est moins le cas face à d’autres équipes. Servette doit aussi profiter de ses occasions. On pense notamment aux deux têtes de Schneider sur coup franc, surtout la première dès la 6e alors que Sommer sortait dans le vide.
C’est tout le problème de Servette: toucher ou tendre au moins à l’excellence. Ce n’était pas le cas hier, lors de certains moments décisifs. Il faudra que cela le soit contre Lucerne samedi soir. Les Servettiens sont désormais à cinq points de Lucernois. Autant dire qu’ils sont obligés de l’emporter face à ce concurrent direct. Ils en ont les moyens pour avoir fait jeu égal ou presque avec Bâle. C’est l’aspect positif de la performance dominicale. «Mais cela ne nous donne pas le moindre point», soupirait Fournier, résumant la frustration d’un Servette bredouille malgré les intentions montrées.
Daniel Visentini
Frei: «Servette manque de confiance»
U Alexander Frei a joué pour la dernière fois à Genève, hier. Le buteur bâlois, titularisé pour la première fois en championnat par Murat Yakin en 2013, raccrochera ses crampons à la fin de la saison. Mais il est encore bien là, même si Yakin lui préfère Streller et bientôt Bobadilla. Il a été chaudement applaudi lorsque Ajeti l’a remplacé à la 74e minute.
«Cela me touche, expliquait-il. J’ai connu deux belles années à Genève. C’était alors les Charmilles et c’était aussi le grand Servette, sans manquer de respect au Servette de M. Quennec.» Il n’empêche que ce Servette-là, toujours dernier, a posé bien des problèmes au Bâle de Frei. «Oui, parce que c’est une belle équipe, analyse-t-il. Il y a du jeu, de l’agressivité dans le bon sens du terme, de la qualité aussi. Je crois qu’il ne manque pas grand-chose. Ou alors la confiance qui fait que les choses basculent du bon côté. Mais sur ce terrain, avec cette pelouse, ce n’est pas facile. Cela dit, si nous avons effectivement eu de la peine, c’est en raison de la qualité de l’opposition servettienne. Je félicite tout particulièrement Kouassi, super match au milieu. Après, on gagne… sans que je sache si ce match méritait un vainqueur. Mais c’est comme cela et nous avions bien besoin de ces trois points.»
Sébastien Fournier, lui, gardait les côtés positifs. «Après le match de Lausanne, nous avons confirmé nos intentions dans le jeu, relevait l’entraîneur. Nous avons poussé. Mais je crois que le tournant, c’est l’expulsion de Kossoko. Elle est arrivée au moment où nous étions bien dans la partie. C’est dommage. Donc oui, il y a une grande frustration dans le vestiaire. Il faut décortiquer tout cela, notamment les erreurs individuelles, digérer le tout. Et penser ensuite au déplacement à Lucerne.»
D. V.
Servette – Bâle1-2 (1-1)
Stade de Genève, 7519 spcts.
Arbitre: M. Amhof.
Buts: 29e Dragovic 0-1; 45e Karanovic 1-1; 63e Dragovic 1-2.
Servette: Barroca; Diallo, Schneider, Mfuyi, Rüfli (82e Moubandje); Pasche (92e Pont), Kouassi; Kossoko, Vitkieviez, Tréand (79e Lang); Karanovic.
Bâle: Sommer, Ph. Degen, Dragovic, Sauro, Park; Serey Die, Cabral (61e Eleny); Zoua, F. Frei (61e Salah), Stocker; A. Frei (74e Ajeti).
Avertissements: 16e Kossoko (antijeu), 19e F. Frei (main), 45e Zoua (jeu dur), 48e Dragovic (antijeu).
Expulsions: 60e Kossoko, 2e carton jaune (protestation); 64e Dragovic, 2e jaune (bras d’honneur).
Les Enfants du Servette 
Bravo à l’équipe… on était tellement proche de prendre 1 voir 3 points.
Juste un petit bémol : je trouve dommage que Sébastien Fournier ne fasse pas un vrai coaching en utilisant ces 14 joueurs… Personnellement, j’aurais sorti Kossoko à la mi-temps en faisant entrer Lang. Puis Machado pour Karanovic…(vers la 75e…).
J’ai pas bien compris l’utilité de l’entrée de Pont à la 92e …
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Tout à fait d’accord, en particulier pour Machado… on ne l’a vu que quelques minutes en championnat, j’aimerais le voir jouer prochainement 20 min sur un match. Je pense qu’il a beaucoup de choses à nous montrer !
Il peut redonner de l’énergie à la pointe en fin de match, et qui sait, participer au but de dernière minute… celui qui nous manque trop souvent.
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… je plussoie aussi!
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++++ rien à rajouter…
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Mais si j’me trompe pas, Machado est milieu de terrain et pas attaquant.
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c est vrai que j ai pas trop compris le coaching sur ce coup la..
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Bon article qui décrit bien le matche,et encore une fois ce
qui nous fait perdre le matche c’est le carton rouge de la
bêtise a kossoko.Un joueur pro,il me semble doit avoir un
petit peu de plomb dans la tête,mais pour son cas je commence a en douter,surtout si on pense a ce qui s’est
passer a Auxerre.
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C’est bon on va pas lui rappeler toute sa vie ce qu’il a fait à Auxerre, il faudrait peut être tourner la page.
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Faut arrêter un peu avec Kossoko… Je sais pas si je suis le seul, mais je trouve le carton rouge très sévère! On va au stade pour avoir des émotions, pour que ça marche les joueurs doivent en avoir aussi! Kossoko était frustré que ce mauvais arbitre siffle une faute (peu évidente à mon avis) et il réagit en frappant la balle sur place!!! Le match se déroulait sans mauvaise agressivité, c’est la 2ème ou 3ème faute du match pour Omar… La psychologie ça existe aussi. Si vous voulez du foot aseptisé, où les joueurs ne réagissent plus, se contentent de dire oui Mr. l’arbitre, pardon Mr. l’arbitre, excusez moi de vous faire tomber Mr. Degen (quel c**) c’est votre vision du foot… Moi le gars je le trouve impliqué (malgré sa nonchalance qu’on ressent parfois) et il a rien fait de choquant!
C’est sure que certains comportement sont à bannir des terrains de football, des tribunes et de certains arbitres aussi… Mais là, je trouve pas que Kossoko mérite de sortir. Point positif, il sait maintenant à quoi s’en tenir avec les arbitres SFL et ne tentera plus l’expérience…
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l’arbitre aurait du faire preuve de psychologie et comprendre toute la frustration de Servette dans ce geste…faut avoir joué au foot pour ressentir cela…malheureusement ce n’est pas le cas de beaucoup d’entre eux!!!!
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Kossoko est censé être un renfort,on peut admettre
cela d’un jeune de 18 ans mais pas d’un pro de 25 ans.
Le journaliste de la Tdg parle de faute professionnelle,
et Fournier de tournant du matche,rien a ajouter de
plus,
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l’arbitre a peut être manqué de psychologie et a appliqué le reglement a la lettre. mais kossoko est censé connaitre le reglement et savait donc qu’en jetant le ballon comme il l’a fait, il avait de fortes chances de prendre le 2e jaune synonime d’expulsion.
cela arrivait au pire moment, ou lui kossoko commencait a être dangereux dans le jeu (il n’a pas réussi grand chose en 1e mi temps). on prend le 2e but juste après l’expulsion. et kossoko n’est plus la pour essayer d’égaliser. en plus il manquera le match capital contre lucerne. il retarde aussi le moment ou il aura le rythme de la competition.
c’est une faute qui peut beaucoup nous pénaliser.
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En ce qui concerne Kossoko, au moins il a l’honnêteté de reconnaître son erreur et de ne pas accabler l’arbitre. Néanmoins, c’est toujours la même histoire lorsqu’un joueur se fait expulser, il pénalise l’ensemble de l’équipe, c’est vraiment pas le genre de choses dont a besoin notre équipe étant donné son classement actuel. Chapeau à Alex Frei pour son honnêteté intellectuelle quant à la prestation du SFC. Sa sortie sous les applaudissements fait chaud au coeur. C’est un bien plus beau départ que celui intervenu avec l’équipe de Suisse.
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En même temps ils n’ont cas jouer plus en romandie qui est nettement meilleur publique… Jamais un stade entier l’aurait sifflé…
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Ouais faut arrêter avec Kosovo. vous préférez voir Pont sur terrain ? il est très bon, et il va terriblement nous manquer à luzerne. L’arbitre a été bien trop sévère, c’est tout.
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Reaction du coeur de kossoko mais en face il y avait une equipe forte pour attaquer psychologiquement pendant tous le match… Entre la perte de temps dans les remises en jeu, la pression sur l’arbitre et les petites fautes anodines, kossoko n’etait peut-etre pas au courant du type de jeu que pratique bâle.
Le deplacement a Lucerne sera un match a 6 points…
Allez Servette !
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À propos de Barroca : il a le mérite de rassurer, notamment grâce à une bonne prise de balle. Toutefois, on peut se poser la question de son implication sur les 2 buts encaissés. Il y semble un peu « aux fraises », c’est assez dommage.
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J’ai toujours trouvé Barroca très bon dans les buts… mais cette fois-ci, il est mal placé sur les 2 buts ! Ajouté à celà la passivité de Schneider sur le premier et de Mati sur le deuxième… on le paye cash !
En ce qui concerne Kossoko, certes il aurait du contenir son énervement. De là à lui attribuer la défaite, faut pas exagérer. Il ne faut pas oublier qu’on prend le premier but de la même façon que le deuxième… et pourtant on jouait bien à 11 sur le premier but !
Mon plus grand regret c’est de ne pas l’avoir pour le prochain match. Il apporte de la stabilité dans l’équipe et des accélérations qui perturbent les adversaires. J’epère pour les prochains matchs qu’un joueur comme Kara n’hésitera plus à s’engoufrer dans les espaces… Kossoko joue comme en L1, les ballons sont lancés dans les espaces, mais pour l’instant pas grand monde suit le mouvement à part Mati qui a compris les enchainements.
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Faut pas oublier qu’il nous en sort 3 ou 4 grosses parades le Joao, dimanche.
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gtand matche de barroca c est vrai mais il devrai plus peser dans les 16 metres sur les balles arretees..
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Un peu tard, cependant une réaction aux propos tenus sur ce blog à l’égard de d’Omar Kossoko. Certes il a eu un geste d’humeur préjudiciable à l’emsemble de l’équipe, il une certaine fougue qu’il doit probablement apprendre à gérer. Je ne vois pas de nonchalance dans son attitude. Ceux qui prétende le contraire et qui débattent (négativement) sur ce blog feraient mieux de lire assidûment les journaux ou lire les articles relayer par les DES, nous avons pu faire plus ample connaissance avec lui par le biais de la TDG ou il explique sans détour se qu’il fut dans un passé rendent et ce qu’il est d’une marnière générale.
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C’est bien tout cela,mais il doit se comporter comme
un véritable renfort,sa bêtise a fait basculer le matche
pour Bâle.C’est inadmissible pour un joueur pro,et en
plus dans la situation du Sfc actuelle.
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C’est bon on a compris que tu l’aimes pas, tu peux redescendre mnt.
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En parlant de Barroca on attend quoi pour le prolonger ? Kouassi pareil , quand on pense qu’on a prolongé Pont sans réfléchir et que des joueurs aussi important que eux ne sont pas encore prolongé on peut se poser des questions …
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Au risque de me répéter, Kouassi n’a aucun avantage a prolonger ! Il a assez donné a Servette et mérite maintenant de passer a un niveau supérieur on ne peut que le remercier !
Pour Barroca en revanche, je suis d’accord, il faut penser a le prolonger. En plus, le bougre a l’air de se plaire chez nous, croisons les doigts !
Pour Pont, vu et revu.
En gros : merci papa.
Il y a-t-il d’autres joueurs qui finissent leur contrat a la fin de la saison ?
Je sens qu’on va y perdre beaucoup d’argent mais au moins se sera une occasion de renouveler l’effectif & sans Bobbio si possible…
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La plupart des joueurs en fin de contrat vont attendre la fin du second tour pour prolonger ou non…
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barroca reste a geneve! sans vouloir descendre personne s il avait ete au cage des le debut on serai peut etre pas dernier 😦
en tout cas grand matche de sa part malgré 2 buts encaissé bravo barroca!
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Barroca a une part de responsabilité, mais il est irréprochable 9 matches sur 10.
s’il avait joué tous les matches et gonzo jamais, je parie que l’on serait plusieurs rangs plus haut au classement.
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Désolé mais l’arbitre n’a pas été correcte! La prmière erreur est qu’il n’a pas vu la main baloise alors que de la tribune nord, elle était evidente! Puis le geste d’humeur de Kossoko ne méritait pas jaune parce que pour Degen qui faisait exprès de ne pas attraper la balle du ramasseur meritait jaune (il l’a fait 2 foix donc rouge!!).
Bon ce qui compte c’est le 3 points contre Lucerne!! Aller les gars!!!
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un FC ASF arrogant, suffisant, et désagréable comme d habitude, en commencant par les petits groupes de supporteurs, dissiminées un peu partout dans la Tribune Principale, avec leurs sourires narquois, et moqueurs, insuportable! un Degen fidèle à lui même, hautain, provocateur,portant toujours un air supérieur au contact des joueurs du Servette, il se croit tout permis, et le pire, c est qu il se permet tout, absolument tout. et c est à chaque fois pareil quand il joue à La Praille. Bale est 2 ème. mais, pourra compter sur les 10 points annuels que les arbitres lui offrent chaque saison, donc , eh oui …FC ASF est déjà champion suisse, on parie….?
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Bâle est de loin l’équipe qui représente le mieux la suisse en coupe d’europe en terme de résultat et de manière. ils font des résultats eux, année après année, pas comme les guignols de CC qui se font chaque fois éliminer au premier tour.
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On peut être supporter et un peu objectif,c’est pas l’arbitre
qui a fait perdre le très bon Sfc de hier,il a d’ailleurs expulser
un bâlois aussi.Bâle c’est une équipe désagréable.arrogante,
souvent avec un coup de pouce de l’arbitre,mais hier il n’y
aucune influence de l’arbitre sur le résultat,Et n’oublions
pas que Bâle est la seule équipe qui a le niveau européen,
mais il est clair qu’il a les moyens et l’organisation pour
cela.contrairement a notre équipe.
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il faut arreter de faire les mauvais perdant si ni la presse ni l equipe et les eds ne parlent de la main y a rien a dire je crois que depuis plus de 10 ans aucun arbitre a expulsé un balois contre nous! on a tres bien joué l arbitrage etait juste c est abruti de kossoko sanctionne ses coequipiers contre lucerne et sa sa fait c….. je rappelle que contre Thoune on marque en contre sur un penalty non siffle en faveur des thounois ok on est supporters mais faut pas etre de mauvaise fois! 3 points a lucerne samedi!
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Et qu’on nous annule un but juste avant la mi temps(tout à fait valable)!
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beau matche tout de meme de nos grenats! je trouve la tg assez dure avec nos joueurs parce que au final avec autant de coup franc que les balois on en aurai surement mis un au fond aussi et fait un points… mais pour ca il faut demander a stocker and Co ou il prenne leur cours d art dramatique et de roulage artistique ahaha se qui coutera a kossoko son deuxieme jaune (ca et sa betise il est vrai)
franchent je préfère voir des guerriers mais bon il nous faut des points esperons que luzern fera preuve de moins d « experience » merci les balois pour cette démonstration du football modern ahaha allez je retourne tapper le ballon dans l préo ehe
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aurait aussi préféré voir Machado à la place de Pont et plus tôt.
verra-t-on contre Lucerne le retour de Rüfli à sa vraie place a droite vu que Moubandje est de retour ???
sinon..Lang pour Kossoko…
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entièrement d’accord avec toi.
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Je n’ose imaginer les commentaires des « spécialistes » qui sévissent sur ce site si c’est Gonzales qui avait encaissé les 2 buts de dimanche …
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Gonzo aurait été bien plus critiqué que Barocca, ce qui est logique. on ne traite pas de la meme maniere un gardien qui prend regulièrement des buts évitables et buts gags qu’un gardien qui joue presque toujours très bien.
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est ce qu il en aurai encaisser que 2 on ne le saura jamais mais en essayant de rester objectif les defenseurs sont autant coupable que barroca sur les deux buts meme si une sortie des poings sur le 2-1 aurai pu changer le matche mais c est pas vraiment se qu on peu appeler une boulette (ou une gonzo ahaha)
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Je suis d’accord. De même que les commentaires réservés à Tibert Pont, ceux pour David Gonzalez ont quelque fois été injustes voire méchants. Les 2 joueurs, servettiens de longues dates, ont pourtant du faire face au pire de la période de perte de confiance de l’équipe.
Pour Tibert Pont c’est même plus grave, car il subit une suspicion liée a l’implication de son père dans le sauvetage du club, et a la volonté à peine cachée de certains de systématiquement cibler la direction du club.
Et si ça se trouve on sera bien content de les avoir la saison prochaine…
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n’empêche faudra gagner samedi soir sans Kossoko et sans (svp) Pont ou De Azevedo.
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0-1 But de Matti
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Your style is so unique compared to other folks I’ve read stuff from. Thanks for posting when you have the opportunity, Guess I will just book mark this page.
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