Servette défiera Sion sans Kossoko, blessé (TDG, mardi 26 mars 2013)

Mauvaise nouvelle pour les Grenat, qui devront composer sans leur milieu offensif

Cela s’est passé mercredi dernier. «Je fais une passe et je veux ensuite accélérer, explique Omar Kossoko. J’ai aussitôt senti un craquement dans la cuisse, j’ai immédiatement arrêté l’entraînement.»

Mais le mal était fait: le milieu offensif de Servette, après examens, souffre d’une petite déchirure au muscle antérieur droit du quadriceps gauche. Une cuisse touchée donc, qui nécessite du repos. Kossoko ne pourra pas épauler les siens à Sion. Vraisemblablement pas non plus à Berne contre Young Boys dans dix jours. Il devrait être rétabli pour le match du 13 avril contre Saint-Gall, à Genève.

Une tuile que Sébastien Fournier doit prendre avec philosophie. «C’est dommage, il était bien ces temps, assure l’entraîneur. Et là, il y a cette blessure, survenue subitement sur une accélération. Peut-être la conséquence des nombreux mois passés sans club, avant Servette. Mais bon, je dois donc composer sans lui.»

Et pour un déplacement à Sion, samedi prochain, c’est forcément un problème de plus dans la course au maintien. En revanche, si Kossoko manquera à l’appel, Fournier aura tout le reste de son contingent à disposition. Mais à des degrés de forme divers. Rüfli et Moubandje sont en effet prêts. Mais les deux manquent de rythme après avoir soigné leurs pépins physiques.

Les deux latéraux pourront-ils retrouver leur place de prédilection, à droite et à gauche de la défense? «Il faut voir quel rythme et quelle intensité ils peuvent donner, répond Fournier. Parce que Sion, c’est aussi un gros défi physique et athlétique qu’il faut être en mesure d’assumer.» Réponse samedi.

Daniel Visentini

12 réflexions sur « Servette défiera Sion sans Kossoko, blessé (TDG, mardi 26 mars 2013) »

      1. En fait Bobbio ne se souvient pas de l’année du dernier titre eu club.
        En revanche, il se souviendra avec assurance de l’année de la première relégation sportive du club. Au moins il connaîtra qqch du Servette et paraîtra moins « Bobbé » lorsqu’il faudra répondre aux journalistes.

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  1. quelle incompétence de sa part..pourvu qu’on ait plus à le subir la saison prochaine (en super league ou Challenge ligue)..qu’il aie exercer au FC Compesière.
    car avec lui..on est pas près de remonter !!!!!!!!

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    1. Sogbie,il faut lire le dernier interview de HQ dans la
      Tdg,il chante les louanges de Bobbio et de ses célèbres
      réseaux.Bien entendu que super Bobbio sera reconduit
      la saison prochaine,ce qui promet un grand futur sportif
      pour notre pauvre club.

      i

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  2. @ GrenatDC,

    je te sens légèrement tendu, voire amer et résigné. Viens donc faire un tour à la troisième mi-temps, ça nous fera tous du bien.
    Surtout quand on sait le spectacle qui nous attend 😉

    NB En plus c’est tout près de chez toi.

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    1. @Thierry : c’est vrai que je suis particulièrement tendu ces temps-ci, tu vois juste, comme toujours 😉
      Il y a des choses qui me font sursauter. Et qui me déçoivent terriblement. Je suis parfaitement conscient qu’il faut du temps à notre club pour se reconstruire sur des bases solides et mener un projet cohérent et réaliste avec intelligence. Les années Pishyar ont laissé le club pour mort, et l’ont ravagé, comme partout où passe cet escroc peu fréquentable.
      Aussi, l’arrivée à la tête du club d’une personnalité implantée dans la réalité sportive genevoise laissait présager du meilleur. Cette perspective m’enthousiasmait et était selon moi la promesse d’une reconstruction dans le bon sens. Enfin..!
      Le constat et la réalité d’aujourd’hui me font tomber d’autant plus de haut. Tellement déçu d’avoir porté des espoirs aussi forts. Je me rends compte avec le temps qu’on a à faire à un président qui ne connaît de toute évidence absolument rien au football, qui en plus prend des décisions particulières et qui semble manquer de discernement dans ses choix. Pire, je ne vois aucun projet réel, ni réaliste, se dessiner. C’est de l’amateurisme complet.

      C’est très dur à admettre pour un fan de longue date car le Servette représente l’un des 2-3 plus grands clubs de Suisse. Je me berce peut-être d’illusions, mais je reste absolument convaincu que cette ville peut avoir en son sein un club de foot européen qui joue les premiers rôles chaque saison dans l’élite du championnat suisse. Il faut prendre du temps, certes. Et être patient. Mais pour cela il faut qu’un projet se dessine autour de gens compétents, qui connaissent le milieu, qui disposent d’un vrai réseau, et qui défendent une politique sportive intelligente et cohérente. Or, de tout ça, nous en sommes à mille lieux à l’heure actuelle. Et cela tout de même une année après la prise de pouvoir du président.

      Ce n’est pas le spectre d’une relégation, quasi certaine maintenant, qui me plombe. Même si elle demeure particulièrement difficile à avaler, nous qui avions le titre honorifique et très respecté de seul club suisse à n’avoir jamais subi une relégation sportive. C’est ce manque de perspectives encourageantes pour l’avenir. Impossible de comprendre où va le club. Au point même de commencer à se poser des questions sur leurs réels intérêts. Qui sont vraiment ces financiers de la place et que cherche Quennec à travers le Servette FC..!?

      Tout cela me démotive, en effet. Je suis prêt à attendre 5 ans avant de revoir un grand Servette. Mais je ne suis pas prêt à laisser passer 1 jour de + dans de telles incohérences. En gros, je ne parviens plus à m’identifier avec la stratégie et la politique de ce club. Et je ne soutiens plus ces dirigeants. Et je ne le ferai plus jusqu’à ce que je puisse constater par moi-même un réel changement dans leur approche. Pour dire, je n’ai même plus le goût de regarder les matches. Ce n’est pas parce que je deviens soudainement indifférent au club. C’est justement parce que j’adore trop celui-ci pour réussir à regarder, accepter et soutenir toute cette misère. Je trouve d’ailleurs les supporters dans l’ensemble trop résignés face à ce qu’il se passe, et trop à défendre aveuglément un président, sensibles à son sourire d’ange et ainsi optimistes car mis en confiance, alors que cette confiance ne repose sur rien de suffisamment tangible dans les faits. Moi, tout cela me révolte et m’énerve, autant que ça me déçoit et me dégoute.

      À part ça, je te remercie pour l’invitation! Julian m’en a parlé (il faut que je lui réponde d’ailleurs ;-)), et ce serait un réel plaisir de faire ta connaissance. Tes interventions par ici sont toujours autant pertinentes et emplies d’un esprit et d’un respect remarquables. Je ne sais malheureusement pas si je pourrai me rendre au match, ni si je trouverai suffisamment d’énergie pour surmonter ma révolte ;-).

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      1. Si tu ne vas pas au match, rien ne t’empêche de venir faire la fiesta, dans le bon sens du terme, et avec tes potes en plus ! C’est encore le meilleur anti-dépresseur que je connaisse. C’est également un excellent moyen, voire le plus efficace, d’apprendre à relativiser certaines choses pour lesquelles on accorde trop d’importance.

        Parfois le sport prend trop de place, celle qu’il ne mérite pas forcément surtout au vu de son évolution, au détriment de valeurs bien plus importantes et essentielles. Tiens, celle de l’amitié et du fair-play par exemple !

        C’est ce qui m’aide à minimiser la portée de ce qui se passe actuellement avec notre FC Muppet Show et le HC Sierre, club que je suivais depuis des lustres.

        Penses-y et prépare-toi à une belle veillée pascale dans la chaleur et la bonne humeur.

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  3. GrenatDC@ Crois moi tu est est pas le seul a être tendu
    par la situation de notre club et par les charlots qui nous
    gouverne,A l’endroit ou je bosse il y pas mal de supporters
    grenats,et je peux te dire que le beau sourire de HQ passe
    de plus en plus mal,encore bravo pour tes commentaires
    si clairvoyant.
    Allez Servette!

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  4. j’aimerais qu’une chose soit claire une fois pour toutes, les banquiers, apparemment Genève ,place financière, n’auraient fait confiance à personne d’autre qu’à M. Quennec, cessons donc avec ces jérémiades sur le staff actuel. Il est clair que notre président connait mal le foot, mais si les banquiers lui ont fait confiance, faisons lui aussi confiance, il apprend vite et pour moi ce n’est pas un charlot. Il faut travailler sur le long terme pour ne plus connaitre de perpetuels problèmes financiers, et probablement, malheureusement cela passera par une relégation en CHL, mais la survie du club pour les prochaines années est la chose la plus importante.

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  5. Pas un charlot pardon?avec ce qui s’est passé dans le dernier
    mercato,après il nous en remet une couche dans son dernier
    interview a la Tdg…ect,Comment avoir confiance a quelqu’un
    qui raconte des balivernes?.

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