Stade de Genève : Le Servette ne doit plus être une vache à lait!

Stade de Genève

Stade de Genève : les charges au Servette FC

Alors que le Servette FC peine à trouver des liquidités, la question du stade et le contrat de location dévolu au SFC refait surface. Une plombette de 2’000’000 de francs dans les caisses des Grenat. Il est temps que cela change, Messieurs les politiques!

Comme Hugh Quennec l’annonçait lors de la conférence de presse relayée par Sharkefoot :  » Servette est le seul club à Genève et peut-être même en Suisse à payer tous les frais d’entretien du terrain, à payer les entretiens des immeubles, etc… Et nous sommes responsable du Stade de Genève qui appartient au canton de Genève qui a été très mal négocié de la part de la collectivité et du club. Aujourd’hui on se retrouve avec un stade qui n’est pas fini, pas entretenu, on doit assumer une responsabilité avec un loyer à 2 millions par année ».

Selon vous à qui la faute?

Lors de l’émission l’after-match sur Léman Bleu, Hugh Quennec indiquait à Pascal Mathieu qu’aucune infrastructure dans le stade ne permettait de générer UN SEUL FRANC de revenus hors des matchs de football.

Les pensionnaires du Stade de Genève peuvent donc se sentir floués en regard des autres clubs de Super League qui bénéficient des synergies et de revenus directs liés aux infrastructures (commerces, salles de séminaires, crèches, etc.) de leurs stades respectifs.

Il est aujourd’hui primordial pour l’avenir du Servette FC de corriger le tir 10 ans après la construction du stade… Aux politiques, au canton et à la ville de Genève de montrer enfin un peu de respect envers son plus légendaire représentant…avant qu’il ne soit trop tard!

Le Servette FC n’est pas une vache à lait!

RAMS

Le lien vers l’article

43 réflexions sur « Stade de Genève : Le Servette ne doit plus être une vache à lait! »

  1. Toutes ces causes sont en partie liées dans la participation à ce merdier genevois! Qu’on se le dise…
    Pour le bien de Genève et du SFC, il faut en sortir au plus vite!

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  2. Ce qu’il faut rappeler, au risque de remuer le couteau dans la plaie; c’est qu’on aurait jamais du quitter le stade des charmilles…

    Notre bien aimé et regretté Président Monsieur Paul Annik Weiler avait obtenu l’aval et même un un crédit (20 mio je crois)des autorités pour reconstruire notre chaudron.

    Il avait prévu de le reconstruire virage par virage (comme cela s’est fait avec le stade du vélodrome à l’époque), mais au dernier moment le propriétaire du terrain, que je nommerai pas tellement il me fait vomir, en a décidé autrement…

    Résultat: un stade de la Praille représentant un gouffre financier de plus de 300 mio et en lieu et place de l’ancien stade un parc où dealers et toxicos pourront se donnner à coeur joie dans leurs trafics…

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    1. Il faut arrêter avec cette remarque passéiste. Le fait est que le stade des charmilles n’était plus adapté. L’agrandir mais pour en faire un stade de 15’000 personnes n’était pas possible car il n’y avait pas suffisamment de dégagement. Je rappelle que le Stade des charmilles était en pleine ville ce qui engendre des contraintes importantes. Que lors de matchs notamment internationaux, le stade de la Praille a pour avantage qu’il est situé à côté de grands axes et surtout de l’autoroute ce qui permet une évacuation facilitée, sans compter la présence d’une gare. Ceci permet d’éviter un impacte important sur la circulation. Bref, le stade de la Praille quant à son emplacement à toute sa raison d’être. En ce qui concerne son financement, c’est une autre histoire mais qui est propre à Genève et que ne s’est retrouvé nulle part en Suisse avec les autres constructions récentes de Stade. A Genève, on a essayé de nous faire croire que le stade coûterait initialement 75 mio environ, alors que chacun sait que ce montant est très inférieur aux réalités. Les promoteurs, les édiles politiques avaient peur que le projet capote avec un éventuel référendum et on exprès sous-estimé les coûts réels. Désormais ce stade est là et il faut faire avec en le terminant une fois pour toute et au lieu de le considérer comme une éventuelle source financière, il s’agit de le considérer pour ce qu’il est, à savoir une infrastructure sportive au même titre que les installations de la Queue d’Arve qui sont mis à disposition d’un activité sportive déterminée. De toute façon cela n’a pas de sens de charger le Servette d’un point financier supplémentaire, si cette charge menace l’existence même de son unique locataire. Le jour où Servette disparait notamment en raison de ce loyer prohibitif, la fondation n’aura plus de rentrées du tout et pourra aussi mettre la clé sous la porte.

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  3. Cette charge pour le club est insupportable ! Ça fait 10 ans qu’il est la est qu’il plombe les finances du club… Tout ça pour ceux qui voulaient l’euro et les gentils monsieur qui voulaient un bel outil de travail pour le servette et qui se sont barré ensuite… Et maintenant ce stade coûte une fortune au club et l’état ne joue pas le jeu honteux pour une ville comme Genève … Le pire c’est que certain de ces bons monsieur veulent que l’etg vienne jouer a la praille hein Mister trotignon …

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  4. donc quoi qu’on y organise, tout va dans les caisses de l’état???? les bénéfices (s’il y en a eu) du match brésil-italie??
    à vomir !!!!
    autant aller jouer au stade de la Fontenette, à Balexert, ou carrément aux Evaux
    mais on se fout de notre gueule !!!!

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    1. Mais alors pourquoi avoir organisé ce match?! N’était-il pas, selon Quennec, censé apporter un bénéfice au Servette FC?!
      Où est d’ailleurs passé cet argent? Le stade était pourtant plein, non?

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    2. L’argent a été encaissé par le SFC pour ce match. Il n’empêche que cela ne diminue pas le loyer de 2’000’000 imposé au SFC…

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      1. C’est effectivement dramatique.
        Les charges pour notre club, qui est en proie à des difficultés de trésorerie, sont conséquentes.
        Il y a vraiment de quoi s’inquiéter.
        Soit Quennec parvient à bénéficier d’une aide financière, soit il faudra s’en résoudre à vendre le club à une entité fortunée. Sinon, je ne vois pas comment celui-ci pourra continuer d’exister à terme…

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    3. très juste pourquoi payer de tels loyers!!! ridicule mais bon nius savons bien qu’a Genève le sport les politiques s’en foute !!! si ils ne veulent plus du servette Fc ils ne s’y prendraient pas autrement. y en marre y a pas une semaine sans histoires de ce genre.courage aux dirigeants et trouvés nous des qataris bourrés de tunes!!! je rigole mais bon a force c’est décourageant. ABE salut

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  5. Il ne faut pas croire que l’état va faire le moindre geste pour aider le club…. ça fait bien longtemps qu’il ne fait plus rien si tant est que qqch eut été fait.

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    1. Ou a Meyrin…sérieux, si on en est là, c’est à 99% à cause de se stade de M….Il nous plombe notre budget…Regardez LS…aucun problème financier, car leur enceinte leurs coutent rien….S’il devait payer comme nous leurs infrastructures, ça ferait longtemps qu’ils seraient en 1er ligue promotion !!!!!

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  6. Allons à la Fontenette l’année prochaine ça sera moins cher et l’état pourra utiliser le stade pour un tournoi de pétanque 🙂

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    1. tu es trop simpliste dans ta lecture. la société qui a été mise en liquidation l’a été suite à une assemblée générale, pas une décision de justice. Et qu’il perde sa signature pour une boite n’a rien d’anormal, il est logique qu’il abandonne certains mandats depuis son arrivée au club

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  7. Ce stade est un vrai serpent de mer pour la République. C’est la collectivité qui va trinquer, le SFC étant dans l’incapacité d’honorer les charges. Et pour cause !

    Décidément, les nuages continuent à s’amonceler dans le ciel genevois.

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  8. Demandez au PSG d’aller jouer au stade de France…
    Il ne quitterons JAMAIS le Parc des Princes, eux! Sauf pour y revenir après transformations.
    Ce qui est fait est fait…. « notre » stade existe – et existera toujours dans nos cueurs grenat. Dans 50 ans on se souviendra toujours des Carmilles.
    Je me souviendrai toujours la réaction que j’ai eu quand j’ai appris que « notre » stade allait être démoli. Et bien je n’y ai tout simplement pas cru. Tout ça pour dire que la Praille est un stade sans âme. Même pour le match de la promotion j’ai pas ressenti la même chose que lors d’ une simple victoire aux Carmilles. Paix à l’âme de se stade.

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  9. A l’époque, Servette avait joué plusieurs matchs à la Fontenette durant l’été 1992.

    Toujours est-il qu’on gagnait avec notamment Anderson-Sinval-Renato.

    L’ambiance était conviviale et cela est peut-être plus intéressant de joueur dans un petit stade plein que dans un grand stade vide…

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  10. La faute elle est pas plutot sur marc roger c est sous son ere que les charmilles ont etes abandonnees.. sinon moi je pense plus que les politiques ne font pas leur taff a ce niveau

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    1. Faux.C’était bien avant que la décision d’abandonner les charmilles a été prise.Hélas je ne peux pas te dire l’année exacte étant trop petit ;)Justement ça serait intéressant de faire un article sur tout le projet de ce stade du tout début à maitenant.ça permettrait de répondre à certaines de nos interrogations.

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  11. En ce qui concerne les politique je tien à rappeler que le stade devait être entièrement payé par des fond privé, comme le disait si bien Mr Roger et non au contribuable. Il faut pas oublié qu il y a des tas de genevois qui n’on pas envie de mettre leurs impôts dans le football et surtout dans un stade qui n’était pas obligatoire, pour ma part les charmilles était tout à fait suffisant pour Servette. Une rénovation oui,un nouveau stade non et tout ça juste pour accueillir l’euro 2008.

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  12. Je ne sais pas vraiment ce qu’il faut répondre à ce sondage, mais c’est encore un topic qui nous amène à l’affluence à La Praille. Ce stade serait-il définitivement trop grand pour ce club de Légende ?

    J’ai l’impression que le caractère difficile des genevois en est un peu responsable, autant chez les politiques que chez les supporters, et peut-être chez les (ex-) dirigeants (pour ce qu’ils ont ou pas de genevois ;-)). Toujours est-il que 2 millions par an c’est un peu cher pour le club que l’on a vu cette saison évoluer dans les bas-fonds de la Super League…

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  13. Si jamais le stade a été construit bien avant que marc Roger débarque entre 2 il y a eu canal plus!!! Le registre du commerce nous montre que notre président est le patron des buvette du stade donc ou passe tout cette argent? Le match Italie brésil a rapporter une nouvelle pelouse et c est tout!!! Honteux! Je me déplace tout les week domicile comme a l extérieur c est dur de voir notre club on fond du trou…. Allez servette que la force soit avec toi!

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  14. Ce qui est triste dans le foot aujourd’hui c est que seul le pognon mène à quelque chose Servette n en a que peux la chaux de fonds que plus du tout et les grands clubs romands historiques sont au plus mal. Merde

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    1. C’est tout à fait triste, mais certains clubs se tirent bien mieux de cette nouvelle donne. En suisse-alémanique par exemple, il semblerait qu’on parvienne plus facilement à trouver un certain engouement chez les supporters et surtout les investisseurs.
      Et pourquoi ça ne finirait pas par marcher par ici au bout du lac ?!

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  15. Je pense qu’une bonne lecture de ceci par vous tous permettra d’enfin avoir les idées claires…

    http://www.geneve.ch_grandconseil_data_texte_PL09521

    Pour mémoire, j’étais présent à tous les stades de la mise en place de ce stade qui n’aurait jamais existé sans l’appui du Crédit Suisse et de Jelmoli. Mais les promesses rendent les fous joyeux et désormais, plus personne ne veut de la patate chaude et les « Charmilles » n’existent plus…

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    1. http://www.lecourrier.ch/l_etat_confie_l_exploitation_du_stade_de_geneve_au_servette_fc

      SAMEDI 12 MARS 2011
      Olivier Chavaz

      Le club genevois versera une modeste contribution à la Fondation du stade (FSG), qui reste propriétaire de l’infrastructure.

      Le point final d’une saga qui n’a que trop duré? Le conseiller d’Etat Mark Muller était tout sourire hier matin à l’heure d’annoncer la reprise de l’exploitation du Stade de Genève par le Servette Football Club SA (SFC): «Nous sortons enfin d’un débat politique autour du stade et du club qui n’avait pas lieu d’être.» Ce contrat de très longue durée – trente-deux ans! – est censé mettre à l’abri la Fondation du stade (FSG), qui reste propriétaire de l’enceinte, et donner au président grenat Majid Pishyar les moyens de ses ambitions.

      «J’ai rarement mené des négociations aussi difficiles», a indiqué l’homme d’affaires d’origine iranienne arrivé à la tête du SFC en 2008. Au final, les conditions offertes semblent pourtant favorables. Le club ne versera qu’une modeste rente annuelle de 150000 francs à la FSG, destinée à couvrir ses frais de fonctionnement. Il assumera bien sûr toutes les charges, dont le coût de maintenance de l’enceinte sportive évalué à 750000 francs par an, selon le président de la FSG, Benoît Genecand.

      En revanche, le contrat ne prévoit pas le transfert des dettes. De même, la rente de superficie annuelle de 340000 francs due aux CFF continuera d’être payée par l’Etat. A l’origine, celui-ci assumait cette dépense en raison de la fragilité financière de la Fondation du stade. Composée de représentants des milieux économiques, du canton, ainsi que des Villes de Genève et de Lancy, cette dernière a voté à l’unanimité en faveur de ce transfert d’exploitation, a souligné Benoît Genecand.

      Fin de la polémique?
      Pour Mark Muller, la signature du contrat constitue «un certain soulagement». Le conseiller d’Etat s’évitera les turbulences politiques que suscite chaque nouvelle demande de subvention de la FSG – en 2010, celle-ci s’est élevée à 700000 francs. Et les menaces de référendum qui vont avec.

      De son côté, Majid Pishyar s’engage à permettre la promotion du club phare genevois en Super League, le championnat d’élite helvétique, en réalisant les investissements nécessaires. Si le SFC venait à être relégué deux saisons de suite dans une catégorie inférieure à la deuxième division (celle où il végète actuellement), le contrat serait rompu.

      Le président est aussi chargé de «faire vivre» et d’«ouvrir au public» le Stade de Genève. Pour ce faire, il projette l’aménagement d’une crèche, d’un musée du football, d’un restaurant, de boutiques et d’un night-club, ainsi que l’organisation d’événements. Satisfait d’avoir désormais les coudées franches, Majid Pishyar a promis de transformer le triste paquebot de la Praille en «maison de tous les Genevois». I

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      1. Comment peut-on léguer l’exploitation du stade à un tel charlot..?!
        Y a vraiment des trucs que je ne parviendrai jamais à comprendre..

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      2. Toutes ces promesses tenues… Une crèche, un musée.. Haha, comme il a dû bien de marrer l’iranien devant tant de crédulité helvétique.. ou genevoise, plutôt.

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      3. Et ce cher M. Pishyar, il pourrait pas payer ses dettes ? Il s’en est sorti royalement, ça me fout les boules. On peut pas le poursuivre… Lui?
        3 points demain soir…… Pour commencer !
        Allez, on y croit.

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