Avant match : Wohlen c’est toujours bon pour les buteurs faute de mieux…

Un match comme celui là on doit le gagner facilement et largement mais avec nous on ne sait jamais . Les 2 derniers matchs à La Praille contre Wohlen se sont soldés par des scores en la faveur des Grenat (5 à 1 et 2 à 0 la saison passée). 17 buts sur les 5 derniers matchs cela fait plus de 3 buts par match et on se rappellera du 6 à 1 en septembre 2016 où JP avait fait un hat trick. Mais attention Wohlen a fait souffrir Aarau pendant près d’une heure où il y avait 2 à 2 avant de craquer 4 à 2 en seconde mi-temps sous les coups de Frontino.

Le FC Wohlen nous donne toujours l’occasion de s’amuser. Très mauvaise défense avec 55 buts encaissés dont 35 à l’extérieur en 12 confrontations en dehors de ses terres (Chiasso qui est le deuxième plus mauvaise défense à encaisser 35 buts au total et Aarau qui est la deuxième plus mauvaise équipe à l’extérieur a pris 26 buts en 11 matchs ), les Grenat doivent faire un carton ce week-end devant les quelques supporters qu’il reste (voir article de Michel). Le club suisse alémanique a confirmé cette semaine qu’il quittait bien le monde professionnel et ce sont des joueurs sans pression ni emploi (danger!) qui voudront s’illustrer à Genève.

Exit Kodro quelle sera la composition de Dimic? Imeri va t’il jouer à sa vraie place? Antunes sera t’il sur le terrain? Lang va t’il se libérer? Que de questions et on attend les réponses avec impatience. Les Grenat sont en forme paraît il à la maison quand ils ne jouent pas contre Xamax ( dommage pour la montée) ou Chiasso. Ils ont perdu lundi sans rien montrer ni jouer comme un champion et on souhaite une tout autre équipe maintenant. Sera suspendu Sauthier (c’est déjà un problème mais Fabry devrait redescendre et Sarr remplacer Sauthier) pour ce match mais attention à Lang, Nathan (surtout), D. Stevanovic, Willie qui risque de ne pas être du voyage à Winterthour en cas de carton jaune au cours du match. La défense risque gros donc ce dimanche avec De Ceglie, Le Pogam et Busset qui ne peuvent pas jouer. Servette a cependant la meilleure défense de CL avec seulement 19 buts encaissés et seulement 10 à la maison soit plus que 3 fois moins que Wohlen qui prend l’eau de toute part.

Tous à La Praille !

Par Oscar Obradovic

28 réflexions sur « Avant match : Wohlen c’est toujours bon pour les buteurs faute de mieux… »

    1. Chagas. C’est le genre d’adversaire contre lequel il peut s’exprimer parce que plein de ballons vont lui tomber du ciel sans avoir à se placer correctement.

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  1. Face a ce tres faible wohlen…meme sans Sauthier on devrait gagner ce match.
    Pourvu qu’on voie enfin Antunes devant a la place de Alphonse et Imeri dans l’axe a sa vraie place

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      1. Il s’occupe des jeunes uniquement la bas…avec Rolex (stabilité financière )
        Il peut revenir à Genève et devenir le futur Directeur Sportif pendant un bon nombre d’années.

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  2. Quels que soient les blessés, suspendus ou autres non-convoqués, pas d’excuse et oui ce devra être carton plein même si celui des affaires de SL on a plus vraiment besoin de le remplir pour déménager à l’etahe Au-dessus.

    Grenat un jour, Grenat toujours.

    ALLEZ SERVETTE!

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  3. Concernant le futur coach, parmi ceux qui sont libres sur le marché et intéressés à entraîner en challenge league, il y en a bien qui vont faire des offres spontanées après le départ de Kodro.

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  4. Je suis en train de repenser à l’article de la TDG ou Didier Fischer parle de remise en question. J’espère qu’il s’inclue dans la remise en question car on juge un président ou chef d’entreprise par sa capacité à s’entourer des bonnes personnes… De plus, il me semble que c’est lui qui est allé chercher Kodro

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    1. En attendant, suite à l’article de la TdG et à l’argumentation de Didier Fischer, je suis curieux de voir comment Dimic va concrétiser ce message sur le terrain et avec quels joueurs…? Perso, je verrais bien une équipe articulée en 4-1-4-1 composée comme ceci, tenant compte des blessés et suspendus:

      Frick (ou Castanheira)

      Gazzetta – M’fuyi – Nathan – Ribeiro

      Fabry

      Miroslav – Wuthrich (ou Antunes) – Imeri – Willie

      Chagas
      _____________________________________________

      Banc: Sarr/Hasanovic/Cespedes/Lang

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      1. Rien, rassures-toi, je ne suis pas Kodro pour le mettre en tribune sans raison, je l’ai tout simplement oublié, mais il en profitera pour se reposer un peu, ça ne peut pas lui faire de mal, et Castanheira pourrait avoir du temps de jeu pour une fois…

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  5. Vous trouvez pas qu’ils ont une autre mine les joueurs sur instagram!!!!!
    En tous cas pas celle du retour de Vaduz, allez savoir pkoi?????
    Allez Servette pour votre public on y crois🍺🍺🍾🍾

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  6. Servette a quelques semaines pour faire un minutieux examen de conscience

    Meho Kodro (à g.), arrivé en janvier 2017, sera resté quatorze mois sur le banc du Servette FC. Bojan Dimic assure l’intérim.
    Meho Kodro (à g.), arrivé en janvier 2017, sera resté quatorze mois sur le banc du Servette FC. Bojan Dimic assure l’intérim. Image: Eric Lafargue
    Sans surprise ou presque, le communiqué a souligné, laconique, le divorce. «Le club a pris la décision de se séparer de Meho Kodro», est-il simplement précisé. Pouvait-il en être autrement? Largué par Xamax au classement, égaré dans des schémas sans relief, constant dans l’inconstance, Servette a pris la décision qui s’imposait en limogeant son entraîneur et en plaçant son adjoint, Bojan Dimic, à la place, par intérim. Chronique d’une erreur de casting? Sans doute, oui. Quatorze mois après son arrivée, Kodro n’aura vraiment fait illusion qu’au tout début, quand cela ne servait à rien, pour ensuite perdre trop vite le fil de ces fragiles promesses.

    Si le football ne s’embarrasse pas de scrupules pour désigner un coupable et lui couper la tête, il faut bien dire que le technicien bosnien a eu les coudées franches durant son passage à Genève. À de rares exceptions près, c’est lui qui a eu la maîtrise du contingent, de sa construction, de son équilibre, du jeu présenté ou des envies affichées. Le constat est sans appel: si loin (12 points de retard, avec un match en moins) des Neuchâtelois, les Grenat en sont quittes pour préparer déjà la prochaine saison en Challenge League, à moins d’un improbable miracle qui verrait Xamax subitement s’effondrer et Servette tout gagner. Les dirigeants genevois ont donc tranché dans le vif pour mieux envisager l’avenir.

    Le constat du président

    «Suite au match contre Vaduz (ndlr: défaite 2-1), nous avons tous fait la même analyse, explique le président Didier Fischer. Autant nous avons parfois vu un réel esprit d’équipe, autant ce n’était pas le cas au Liechtenstein, avec ces mêmes problèmes, cette inconstance. Le constat, c’est que nous sommes loin de nos objectifs et que cela est dû notamment aux carences de l’entraîneur, qui n’a pas su corriger ce qui ne fonctionnait pas. Il n’y avait plus de marge de progression. Je suis reconnaissant à Meho Kodro pour le travail fourni, mais je dois d’abord penser au club.»

    Justement. Le club. Ce Servette qui possède le plus gros budget de la ligue et dont cinq de ses joueurs sont dans l’équipe type de la Brack Challenge League (Sauthier, Lang, Nathan, Micha Stevanovic et Le Pogam): il y a évidemment un hiatus vertigineux entre les espoirs fondés et les chiches accomplissements. Kodro a bien sûr une grosse part de responsabilité. Mais le ciel grenat n’est-il peuplé que d’anges pour un seul mauvais démiurge?

    «Il y a la responsabilité de l’entraîneur, mais la réflexion que je mène va au-delà du cas Kodro», assure le président. Le questionnement englobe-t-il donc la direction sportive (avec Alain Studer à sa tête) pour les choix effectués lors de la constitution du contingent, avec ou sans Kodro d’ailleurs? «La réflexion, générale, porte aussi sur la cellule sportive», confirme Fischer.

    Trop de «curiosités»

    Il s’agira de s’interroger sur plusieurs curiosités qui n’ont rien facilité. Déjà concernant la venue de Kodro lui-même. Un entraîneur qui n’avait pratiquement pas d’expérience à la tête d’une équipe de club professionnelle, à part quelques mois à FK Sarajevo; qui ne connaissait pas le football suisse et les particularités de la Challenge League; qui ne parlait pas français et dont la plupart des messages devaient être traduits…

    On pense aussi à l’enrôlement de Dominique Malonga, qui n’a strictement servi à rien. Au départ de Faug-Porret l’été dernier, dont le professionnalisme aurait rendu bien des services. À l’arrivée d’un Dalibor Stevanovic qui a déjà 33 ans, dont le rendement est bien émoussé et qui a souvent pris la place d’un jeune. Au recrutement cet hiver de Paolo De Ceglie, 31 ans, qui n’avait pratiquement pas joué depuis deux saisons et qui a déjà été blessé deux fois. Sans oublier le gros couac du printemps 2017, quand Nsame était sur le départ sans que Servette ne comprenne suffisamment tôt qu’il ne parviendrait pas à s’y opposer, les Grenat restant ensuite une moitié de saison sans buteur. Volonté de Kodro ou pas, gros déficit d’anticipation.

    Plus de jeunes talents

    Servette a tout intérêt à se poser toutes les bonnes questions. En attendant, le message du présent est clair. «Il y a un manque de cœur, d’envie, de plaisir, lance Didier Fischer. Il faut retrouver tout ça. Nous avons des jeunes de talent qui n’aspirent qu’à montrer leurs qualités: nous pouvons compter sur eux. C’est le message que j’ai passé à Bojan Dimic, qui reprend l’équipe pour le moment. Nous cherchons quelqu’un, oui, mais nous ne sommes pas pressés. Si une opportunité se présente, pourquoi pas, sinon Dimic pourrait tout aussi bien terminer la saison. On verra bien ce qui se passe, on ne sait jamais. Même si je suis conscient que c’est très compliqué.» À demi-mot, le président évoque ce fol espoir de promotion qui subsiste vaguement. Infiniment enfoui sous l’écume d’une froide réalité.

    À la vérité, Servette s’est offert le luxe subtil d’une décision inéluctable. Mais il ne peut en aucun cas faire l’économie d’un examen de conscience au sens large. Avec l’impérieuse obligation d’opérer les bons choix, maintenant.

    L’après Kodro: le portrait-robot du nouvel entraîneur grenat

    À 43 ans, c’est Bojan Dimic qui dirige, «ad interim» comme le précise le communiqué du club, la première équipe du Servette FC depuis jeudi matin. Il était jusque-là l’adjoint de Meho Kodro et va devoir endosser le costume de patron du groupe grenat. Une situation toujours délicate qu’il faudra gérer.

    Côté licence d’entraîneur? Dimic a passé le diplôme UEFA pro, mais il lui manque encore un module Swiss Olympic pour que le tout soit définitivement validé. Dans les faits, Servette est tranquille trois semaines. Ce n’est qu’après que l’ASF, notamment via le chef de la formation des entraîneurs, Reto Gertschen, décidera si Dimic peut continuer au-delà à la tête de l’équipe, avec une dérogation. Si tant est que Servette n’a pas encore nommé un successeur. «Il faut que j’étudie le cas, je ne peux pas me prononcer pour le moment, je ne sais pas si ça penchera d’un côté ou de l’autre», explique Gertschen. Attention, donc!

    Le successeur, justement: quel est le portrait-robot du futur entraîneur du Servette FC? D’abord, pour gagner du temps, il faudrait peut-être qu’il puisse s’exprimer en français. Il ne serait pas inutile non plus qu’il possède une solide expérience des caractéristiques du championnat suisse, de Challenge et de Super League tant qu’à faire. On peut voir ce que Michel Decastel est capable de faire avec Xamax, même s’il connaît le groupe depuis longtemps.

    Enfin, dans le souci qui est celui ouvertement affiché par Didier Fischer, il est souhaitable de voir un technicien susceptible de travailler en comptant sur les jeunes talents issus de l’académie grenat. Sans leur faire porter un costume trop grand immédiatement, des joueurs comme Antunes, Ribeiro ou Luca Gazzetta doivent avoir leur chance plus régulièrement. À noter aussi que le futur entraîneur de Servette doit être moderne, selon le mot à la mode.

    Qui est sur le marché? Uli Forte, Urs Fischer, Ciriaco Sforza, René Weiler, Johann Vogel, à qui Servette avait déjà pensé par le passé. Ainsi qu’à Didier Tholot. Ou alors un profil qui ressemblerait à celui de Laurent Papillon, l’actuel directeur du centre de formation? Cela n’irait pas sans poser bien des problèmes structurels à l’académie. Il faudra aussi un accord financier. On peut toujours rêver d’un René Weiler, ex-Servettien, champion de Belgique 2017 à la tête d’Anderlecht. Mais serait-il intéressé par des Grenat en Challenge League? Et si oui, à quel prix? Est-ce seulement réaliste?

    À Servette de trouver l’oiseau rare. Il croyait l’avoir déniché avec Kodro, au tout début au moins. Il ne doit plus se tromper cette fois. D.V. (nxp)

    Créé: 08.03.2018, 20h07

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  7. Et plus récent, dans la TDG :

    Dimic: «J’étais l’adjoint de Kodro, mais j’ai le droit d’avoir mes idées»

    Le successeur de Kodro, Bojan Dimic, connaît les joueurs, il imposera ses idées et ses envies pour Servette.

    C’est le moment curieux où toutes les frontières bougent dans un univers qui demeure identique. Il est toujours question de football, de match, de préparation, de systèmes et d’animation, mais ce n’est plus la même personne qui parle et qui décide. Les règles du jeu sont simples et froides: Meho Kodro a été écarté, son adjoint Bojan Dimic reprend la barre et c’est ici que tout est en jeu pour le nouvel entraîneur, comme pour les joueurs. En quelques minutes, l’homme de l’ombre est en pleine lumière, il tient les rênes et c’est à cet instant que tous doivent se faire confiance pour commencer une nouvelle aventure. Sans connaître encore ni sa nature, ni sa durée.

    Puisque tout part de là, qui est vraiment Bojan Dimic, à part ce talentueux joueur du Chênois de l’époque Nunweiler, notamment, que le landerneau du football genevois connaît bien? Il faut savoir qui est appelé à diriger «ad interim» Servette jusqu’à la fin de la saison. Ou plus si miracle? De son parcours jusque-là et de ses idées, de ses émotions aussi au moment de diriger son premier match à la tête de Servette, dimanche contre Wohlen, Dimic dit tout.

    Ses influences

    «J’étais l’adjoint de Meho Kodro, mais j’ai le droit d’avoir mes idées, sourit-il. Je reconnais avoir été marqué par le jeu de possession que prônait par exemple Radu Nunweiler. Comment le mettre en place et l’animer est important. En tant qu’entraîneur, j’ai environ 250 matches en 3e et 4e divisions suisses (ndlr: à Grand-Lancy puis Lancy FC après fusion). J’ai pratiqué beaucoup de systèmes de jeu différents, qu’il faut pouvoir travailler avant. C’est vrai que Servette a été centré sur un seul schéma (ndlr: le 4-2-3-1 cher à Kodro), avec tout de même certains résultats. Mais j’ai ma petite idée pour dimanche. Tout en sachant, pragmatique, que je dois composer en fonction des joueurs qui forment l’équipe depuis 14 mois.» Autrement dit, l’héritage de Kodro.

    La fierté d’être là

    Les Dimic (origine serbe), c’est une famille genevoise. «Oui, je représente la 4e génération des Dimic à Genève. Tout le monde prenait immédiatement le passeport suisse dès 18 ans… sauf moi! Je voulais être footballeur pro et je me disais que le talent devait suffire, indépendamment de la nationalité. Il n’y avait pas encore l’arrêt Bosman: le gamin que j’étais me fait sourire aujourd’hui, j’étais naïf. Je suis Suisse depuis le début des années 2000. Fier d’être Genevois et à la tête de Servette. Le premier souvenir que j’ai de ma vie remonte à mes quatre ans: sur les épaules de mon père pour regarder un Chênois-Servette aux Trois-Chêne. Et puis après j’allais tout le temps aux Charmilles.»

    La responsabilité

    Le président Didier Fischer n’a posé qu’une question avant de proposer la place d’entraîneur à Bojan Dimic. «Il m’a demandé si j’avais peur. Bien sûr que non. Je n’ai peur que d’une chose: qu’il arrive quelque chose aux miens. Pour Servette, oui, j’ai la boule au ventre, pour les bonnes raisons, sans pression malsaine. Je n’ai pas passé tous les diplômes durant dix ans pour rester toujours dans l’ombre.»

    Le message au groupe grenat

    Dimic était très proche de Kodro. Il y a d’abord une part d’émotion, au moment de son départ. «Je ne cache pas que cela a été difficile, c’est vrai. Nous avions noué des liens par le travail, mais aussi en dehors. Mais il faut rebondir, c’est le foot qui veut ça, nous sommes des professionnels.» Et il a donc fallu parler à l’équipe: quel message, quelle patte Dimic apportera-t-il? «J’ai horreur de jouer pour rien: je veux que tout le monde y croie encore. Je ne veux pas avoir de regrets. Je veux des entraînements avec des émotions qui ressortent. Et des matches où l’on tente des choses sur la durée, avec du plaisir. Il faut plus de régularité, être intelligent dans la gestion des temps faibles. J’ai rappelé aux joueurs ce que représentait ce club, l’étoile sur le maillot, les images des aînés dans l’espace de vie: cette histoire à respecter.»

    Les vœux du président

    Didier Fischer a évoqué les jeunes talents grenat, à utiliser davantage. L’avis de Dimic? «Je suis l’ancien Talent manager de Servette, je le rappelle. Je n’ai aucun souci à compter sur nos jeunes, si leur niveau répond aux exigences de la Challenge League. Je les connais. Donc je suis en phase avec le président. Il est certain que l’on pourrait profiter plus de nos meilleurs espoirs. Mais je ne suis pas là pour faire plaisir si le jeune n’est pas performant.»

    Intérimaire. Ou plus?

    Bojan Dimic est là «ad interim». Il est donc prévu que Servette se trouve quelqu’un d’autre pour la prochaine saison. À moins d’un miracle qui paraît improbable. Une promotion? «J’ai demandé aux joueurs d’y croire parce qu’on ne sait jamais. Disons que là, je suis dans la position d’un remplaçant qui entre en jeu et qui veut se montrer. On verra. Si tout se passe bien, ou très bien, cela ne peut être que bénéfique pour tout le monde.» (nxp)

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    1. Merci. Quote: Ça va être difficile de changer quoi que ce soit mais j’ai une idée de ce que je vais proposer sur le terrain dimanche. »

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