19 réflexions sur « Sondage: Le départ de Wüthrich serait-il problématique? »

  1. C’est une erreur humaine, technique et sportive , quel gâchis !
    Bonne suite à lui ! Il a reçu une offre du LS à plusieurs zéros ?
    DÉCEPTION …

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  2. Servette a plusieurs solutions. Donc une pour moi mettre M. Stevanoviv en 10. Avec Tasar et le Coréen sur les côtés. On sera beaucoup plus fort. Car Stevanovic courre lui 95 minutes pas 60 minutes comme Wütrich

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  3. Il ne me semble pas que SW soit parti pour le moment. Il est (serait ?) écarté. Donc on peut encore espérer une solution raisonnable pour tous.

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  4. Je comprend pas trop cette situation… écarter un joueur car il ne veut pas prolonger, ça devient rare dans le foot quelqu’un qui respecte un contrat…
    Apres, je pense pas quil représente l’avenir, et forcément une titularisation indiscutable, mais il représente le présent et l’expérience, et même si il joue pas tous les matchs reste une valeur sur lorsqu’il joue à 100%.
    Le club aurait dû le prolonger plus tôt, on c’est un peu mis dans cette situation tout seul, après si il a une meilleur offre, difficile de lui en vouloir, on connait les salaires en suisse et si cela permet de se mettre mieux, c’est humain, a 35 ans les joueurs doivent se reconvertir et travailler (en suisse).

    A nous de prolonger nos joueurs plus tôt, ou de prendre ce risque et devoir aligner l’argent et assumer… sinon l’écarter je trouve ça dommageable

    Pas la plus grosse perte, mais un très bon élément qui fait de la profondeur et est plus qu’un simple second couteau

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      1. Si il ne voulait pas prolonger avant, est-ce vraiment une raison pour l’écarter ? Je pense pas que cest le type de joueur a tricher et a brider ses 6 derniers mois…. du coup cest une astuce/menace/chantage pour qu’il parte cet hiver et essayer de récupérer quelques milliers de francs…

        Parfois, on critique les joueurs, mais sur ce coup, pas très éthique le Servette… même si on sait pas tout et n’avons pas tous les éléments

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    1. Faut voir.. s’il veut partir, bon, c’est une chose. Par contre c’est super dommage si c’est son agent qui lui a porté mauvais conseil. On a un certain équilibre en ce moment, et je suis personnellement contre toute chose qui porte préjudice à cet équilibre. SW a participé à ce qu’est devenu Servette. Bien sûr on peut s’en passer sur quelques matches comme on l’a bien vu, en plus sa condition physique est moyenne, mais l’équilibre qu’on a atteint est quelque chose du plus long terme. S’il part bon vent à lui, mais j’ai l’impression qu’il a fait une erreur sportive en entrant dans cette spirale. Après, il a aussi le droit d’avoir des prétentions salariales, mais il ne trouvera pas un club mieux que Servette à mon avis.

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      1. Maintenant, la question est: l’équipe est-elle vraiment partie en Algarve sans lui? Pour le site off, c’est comme d’hab. silence radio, alors qu’en général on a droit à un compte rendu journalier de la composition et de la préparation du groupe, mais cette fois-ci ça semble pécloter grave, parce que même l’organigramme n’est pas à jour, avec toujours Didier Fischer pas remplacé par Besnard comme président du club… Ils cuvent encore leur réveillon au staff administratif, ou quoi? Allez, on se réveille, on est en 2020 que diable!…

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      2. Il est assez grand et mature pour suivre les conseils de son agent, c’est facile de toujours tout rejeter sur eux…

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  5. Un beau gâchis sportivement parlé et je pense que son agent (que j’ai toujours trouvé léger et limite) n’a pas dû bien le conseiller.
    Après, l’on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif, on l’a vu avec Nsame notamment. Les prétentions salariales pour un roublard, je peux à la limite les comprendre, mais son côté diva très rarement à fond à 100% me rappelle le baigneur à la licorne gonflable dont l’inefficacité crasse est notoire…
    Donc un beau gâchis d’écarter un joueur sous contrat jusqu’en juin dont on a besoin quand bien même il ne voudrait pas prolonger. Jamais vu ça mais c’est typique des Genferei au SFC hélas. Ça date pas de l’ère Fischer.
    Voyons ce qui se passe, ou pas…

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  6. Interessant article de la TDG aujourd’hui avec Didier Fischer qui est déçu de l’affluence et dégomme le manque de soutient politique:

     » «Le club souffre d’un manque de soutien»

    SERVETTE FC : Au moment de passer la main, Didier Fischer dresse un bilan sans concession de ses quatre années à la tête du Servette FC.

    Pour Servette, un important chapitre s’est tourné le 31 décembre, au douzième coup de minuit. À ce moment-là, Didier Fischer, qui en était le patron depuis 4 ans, 6 mois et 23 jours, s’est officiellement effacé pour céder son fauteuil présidentiel à Pascal Besnard (56 ans). S’il va continuer de diriger la Fondation 1890, qui chapeaute les différentes entités «grenat», le président sortant n’assumera plus l’opérationnel, désormais confié à l’ancien joueur des Charmilles, devenu entre-temps responsable du Credit Suisse à Genève.

    Après la gestion calamiteuse d’Hugues Quennec, lequel avait conduit le club genevois au bord de la faillite, le locataire de la Praille avait été repris en juin 2015 par Didier Fischer qui, soutenu par des mécènes, lui avait évité un nouveau dépôt de bilan. Sous son ère, Servette allait redevenir un club fréquentable et financièrement sain, retrouver autant son identité de jeu que de la considération et fêter deux promotions lui ayant permis de retrouver au printemps dernier sa place naturelle en Super League.

    À l’heure de la passation des pouvoirs, que reste-t-il de ces 1667 jours de présidence pour celui qui vient de transmettre le témoin? «Plus que les deux promotions, répond Didier Fischer, c’est leur signification qui importe. Servette est toujours fort au niveau de l’image qu’il véhicule […] Si son image a pu être salie, on l’a nettoyée. Il existe une très forte identité du club, un fort ancrage. Tout le monde en est fier. Mais le club souffre d’un manque de soutien si je pense aux pouvoirs publics et au public, hormis la communauté foot, très fidèle.»

    DES AFFLUENCES QUI NE DECOLLENT PAS:

    Ce public si difficile à conquérir, comme en témoignent des affluences qui ne décollent pas (avec 7424 spectateurs de moyenne lors de la première partie du championnat). «Il ne faut pas s’en cacher, c’est une déception. Au vu du jeu proposé, Servette mériterait de jouer devant au moins 10 000 spectateurs. On tablait sur une moyenne de 8000. Cela dit, on doit aussi se rendre compte que l’offre genevoise n’est pas similaire à celle que l’on peut trouver à Saint-Gall, par exemple.» Comment «booster» les affluences? Comment inciter les sceptiques à venir au stade? Plusieurs pistes de réflexion existent. «Le match doit davantage devenir un événement. On envisage d’ouvrir un pub à la Praille ainsi que d’autres actions. Il ne suffit plus de jouer et de gagner, il faut offrir un spectacle avec tout ce qui va autour du match.»

    Le recul aidant, le viticulteur d’Avully le reconnaît d’autant plus volontiers aujourd’hui: quand il a repris le club, il ne savait pas vraiment ce à quoi il s’exposait. Pour Didier Fischer, la découverte n’en fut que plus instructive. «Au départ, admet-il, il y avait une totale méconnaissance de ce qui nous attendait. Je savais à peu près gérer une boîte mais gérer un club, c’est tout différent. Vous pouvez gérer l’administration et les finances, les ressources humaines mais la composante «métier» est beaucoup plus aléatoire. Lorsque la saison démarre, les échéances sont hebdomadaires; la saison vous échappe, et on la passe du bureau au vestiaire.»

    Saison après saison, il y a eu son inévitable cortège de hauts et de bas, de moments d’enthousiasme et de (plus rares) périodes de doute, d’immenses joies et de désarroi troublant. Il y a bien sûr le sport, ce qui se voit. Mais il existe aussi tout ce qui échappe au premier regard, l’autre face, souvent plus sombre. Avec des dossiers plus épineux, comportant parfois comme enjeu des thématiques sociétales. Ainsi en va-t-il de la place du sport dans la République, souvent mal perçu, ce qui occasionne un décalage entre les nobles intentions et la réalité. «À Genève, déplore Didier Fischer, le sport n’est pas la préoccupation No 1 du politique. Juniors, filles ou professionnels: Servette paie pour tout ce qu’il fait et entreprend. Je trouve cela totalement anachronique. Au moment où les budgets pour les campagnes de prévention explosent, qui pourrait faire mieux que le sport pour contribuer à la santé publique?»

    REVOIR LE SENS DES PRIORITÉS:

    Quand il dresse l’inventaire des subventions accordées à la culture, Didier Fischer serre les dents, enrage parfois en regard de ce que touche le sport. «La culture possède une forme de priorité sur le sport qui génère un déséquilibre. Il faut considérer le sport et la culture comme complémentaires et être équitable dans les moyens mis à disposition.»

    Le président sortant s’insurge aussi des différents montages financiers opérés, ayant notamment entraîné le récent refus par le peuple (ndlr: pour neuf voix, après un second dépouillement) du projet du Pré-du-Stand, au Grand-Saconnex. «Il faut en finir avec les partenariats publics-privés imposés au sport. C’est ce qui fait capoter tous les projets sportifs à Genève depuis quinze ans. À ce que je sache, on ne demande pas au Grand Théâtre de construire un centre commercial pour son exploitation, ni à la nouvelle Comédie de gérer 10 000m² de bureaux pour couvrir ses frais d’exploitation!»

    Didier Fischer n’abdique pas pour autant. Après un break régénérateur qui va l’emmener au Chili, il reprendra son combat quotidien. «Je vais pouvoir mettre encore plus d’énergie et d’engagement dans le combat pour la reconnaissance de nos droits et de nos besoins en matière sportive», conclut-il. À la Praille, la bataille continue, aussi bien sur qu’en dehors du terrain.  »

    Par Nicolas Jaquier

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  7. Pour moi, il suffit de regarder la vidéo sur les buts servettiens des 12 derniers mois pour répondre que sa mise à l’écart, si elle est effective est un gâchis sportif et humain. Maintenant les jours à venir nous en dirons plus. J’ai quand même de la peine à imaginer que si SW n’est pas transféré rapidement, il soit mis à l’écart. Sportivement c’est un plus, à la construction et sur balles arrêtées. Stevanovic en 10 a été essayé sans que cela soit top, pak, ont n’en sais rien. Schalk, en théorie c’est son poste. Naturellement cela devrait être imeri, mais il en est où , cet automne c’était pas super et faut-il bâtir une équipe autour d’un jeune qui a des envies de départ ? Si c’est vrai.
    L’avenir nous le dira, je trouve normal qu’il veut signer un dernier joli contrat, normal aussi que le club reste dans une fourchette correcte de salaire. Favre fait aussi son taf. Mais j’espère juste que cela ne nous pourrissent pas l’ambiance de l’hiver.

    Bon début d’année à tout les enfants du Servette, petits ou grands, jeunes ou moins, de Genève ou de bien plus loins. Que 2020 nous apporte des joies sportives, mais surtout la santé à vous tous et à vos proches. Amitiés

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    1. Ça mise à l’écart est inutile. On perd un joueur, mais depuis la sortie dans la presse de cette histoire, la direction disait qu’il était encore à disposition pour dépanner… Donc on le verra encore, puisqu ils se sont rendus compte de l’absurdité de la situation.

      Après, il faut dire que les salaires à servette ne sont pas folichons et c’est normal que SW veuille gagner plus ou qu’il accepte une offre plus importante.
      J’espère que la direction proposera vite un contrat correct au coréen, parce que des clubs de superligue lui offriront vite un pont d’or et on pourra plus régater…

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  8. Dans la dernière interview vidéo de (l’ancien) président Fischer, il disait qu’il serait écarté uniquement du voyage de préparation au Portugal. Par contre il va s’entraîner normalement avec le reste du groupe, dès leur retour.

    Nous ne savons pas grand chose sur le sujet Wüthrich, quelles conditions de renouvellement il (et son agent) exigeait.. Du coup on ne peut pas vraiment juger cette affaire.

    Par contre pour le côté humain, oui c’est dommage.

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  9. SW est un enfant de Servette
    Il est venu alors que le club était en seconde division
    Il nous a mis des goals incroyables et est très précieux sur les balles arrêtées
    Sa patte de gaucher est indispensable
    Son départ n’est pas bon pour l’équipe
    Sans être un jeune il n’est pas non plus un vieux joueur
    Il serait judicieux de trouver une solution pour le prolonger

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