L’heure des (vraies) remises en question ?

Le Servette FC joue bien, mais perd. La faute à un manque de réussite, à des élans défavorables. L’heure des remises en question est-elle enfin arrivée ?

Toujours le même refrain qui revient sur le tapis vert. Un fait cependant : le Servette FC commence très mal son année 2023. Au-delà de ses résultats décevants, peuvent être évoqués plusieurs paramètres.

Beaucoup s’accordent à dire, avec raison, que la malchance s’y en est mêlée. C’est vrai. Autant contre Sion, que face à St Gall, le Servette aura fait l’essentiel du jeu. Mais s’arrêter là semble largement insuffisant. Les beaux discours fatiguent. Lassent. Qu’ils proviennent d’un capitaine heureux, ou d’un président et directeur sportif confiants.

Depuis de bien trop longs matches, le club grenat présente les mêmes lacunes. Inlassablement répétées, sans qu’on ait l’impression qu’elles soient véritablement traitées à la base. Ce joueur qui ne court pas assez, celui-là qui n’endosse pas ses responsabilités, celui-ci qui se défile. Tout cela semble si désuet, et surtout si incomplet, comme raisonnement, dans un football moderne où le contexte s’apparente à une système complexe, où tout se relie. Dans lequel la dynamique du hasard, aussi malchanceux soit-il, ne peut exister. Faut-il encore, pour donner le meilleur de soi-même, qu’un joueur soit positionné là où ses caractéristiques l’y amènent, au sein d’un système qui le bonifie.

Il est un fait = depuis le Restart 2020, soit 31 mois, le Servette FC, sous la houlette d’Alain Geiger, a joué 103 matches. Voici ses statistiques :

  • 34 victoires (33%, soit 1 match gagné sur 3 joués)
  • 30 nuls (29%)
  • 39 défaites (38%)
  • 135 buts marqués (1,3 par match)
  • 170 buts encaissés (1,65 par match)

Les constats sautent aux yeux. Ils sont nombreux. Le plus évident : Le Servette prend plus de buts qu’il n’en marque. Et se situe donc à l’opposé des standards qui dictent le rythme des clubs ambitieux des quatre coins du continent qui ont la prétention de s’ouvrir les portes de l’Europe. Il y a un manque de présence, de percussion et d’efficacité dans cette zone 3, devenue fameuse lorsqu’elle est déclinée en mode grenat. Pas assez de buts marqués dans un championnat où les scores sont larges, pour une équipe qui se veut traditionnellement, pratiquer un jeu offensif. Pire, pour une équipe qui possède dans ses rangs le meilleur passeur décisif du championnat, et de loin !

A aucun moment, une remise en question ne s’est opérée quant à ses fameux choix tactiques qui accouchent de cette production inefficace. Le système central qui enfante ces ratés : Un 4-3-3 pour le moins démodé, qui n’a de son appellation, que les dires de son entraîneur. En réalité, devant nos yeux un 4-5-1 mal articulé. Inoffensif, ou si peu. A quel moment l’entraîneur a-t-il tenté de modifier ce système, de le rendre plus souple, de l’articuler en fonction des besoins observés, tant dans le groupe à disposition, que par rapport aux caractéristiques de l’adversaire, ou de l’évolution d’un match. En un mot, clair, et limpide : jamais !

Une autre question, essentielle, s’impose, et concerne le choix des joueurs alignés. Si Diallo a largement démontré son incapacité à occuper le poste de latéral droit dans un club de SL ambitieux, on se rassurera comme l’on peut, en se disant qu’il fait toujours bonne figure face au très emprunté Bauer, pourtant recruté à la place du très bon Sauthier… Gros carton rouge envers une direction qui balaie toute critique, et qui semble ne jamais reconnaître le moindre tort. C’est un vrai problème. On ne peut pas progresser sans apprendre de ses erreurs. Ni se rapprocher de son public lorsque l’on cherche à demeurer hermétique à presque tout.

Un club qui se veut formateur, et pourtant, qui n’accorde aucune place à ses joueurs les plus prometteurs. Il se dit que Touati, l’inarrêtable, est déjà côtoyé par de grandes écuries européennes. Pourtant, au Servette, il ne joue que quand cela ne compte pas, soit dans les matches de préparation (durant lesquels Geiger ne prépare rien soit dit en passant, mais semble découvrir), ou dans des matches de Coupe à priori gagnés à l’avance.

On ne sent aucune construction logique, pertinente, dans un foutoir dessiné à l’avance, prévisible, et sans surprise. Et si facile à décoder pour les adversaires.

C’est de tout cela, qui n’est jamais mis en avant dans les médias (le Servette filtre-t-il tout à ce point-là ?), qu’on aimerait questionner. Le Servette n’exploite pas son potentiel, cela semble une évidence. Que de joueurs rangés aux oubliettes après avoir, pourtant, démontré d’évidentes promesses (le malheureux Théo Valls n’est que le dernier d’entre eux…). D’autres pas, peu, plus considérés, malgré un potentiel qui sautent aux yeux (les départs de Duah, d’Alves, d’autres avant eux…).

A aucun moment, la question de jouer à 3 derrière ne se pose. Ni celle de pouvoir aligner 2 attaquants nominaux… Pourtant, le football moderne crée aujourd’hui, et il n’est pas rare d’aligner 3, voire même 4 vrais attaquants-buteurs (le Brésil comme parfait exemple lors du dernier Mondial au Qatar). Peut-on, quand l’on s’appelle le Servette, que l’on se veut construire un plan de jeu, et que l’on aurait passé tout l’hiver à apprendre à construire depuis l’arrière, se passer du pourtant très loyal Steve Rouiller… ?

Choisir entre 3 buteurs, pour n’en faire jouer qu’1 seul, apparemment de manière logique, alors qu’en fait les 3 pourraient jouer ? Rodelin en soutien, ou en 10, avec Bedia et Crivelli pour une paire d’attaquants. Rien ne dit que cela fonctionnerait. Mais rien ne peut affirmer que cela ne serait pas le cas. Dans le doute, et face aux problèmes rencontrés, le devoir oblige à l’essai.

Il y en a marre Alain de tes choix figés. De tes principes inefficaces. Bouge, crée, construis !

Fini les Oui-Oui, désormais on est en droit de demander une cohérence. On attend que Magnin joue ce samedi. On attend que le système 4-3-3 vole en éclat et s’efface pour faire place à un système qui trouve de meilleurs équilibre entre les 3 zones. De cela dépend l’émergence d’une nouvelle dynamique. Et celle-ci s’est désormais élevée au stade de l’urgence.

Grenat DC et Lolo82

23 réflexions sur « L’heure des (vraies) remises en question ? »

  1. Wouah un vrai coup de sac ce commentaire et j’avoue ne pas être contre.
    Effectivement j’ai aussi le sentiment d’une non remise en question au SFC. Que l’on met la poussière sous le tapis au lieu de nettoyer comme il se faut. Bon Geiger n’est du genre à s’affoler et pourtant!

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  2. Tout est dit et bien dit. AG fait la saison de trop. Après le fiasco de St Gall je ressort l’idée déjà émise d’un vestiaire jouant contre l’entraîneur. Des chevronnés comme Clichy offrant le 1er but à SIon, Frick donnant 2 buts à St Gall. Kutesa ratant un pénalty, alors qu’il avait été décidé que Bedia les tireraient etc.

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    1. Je ne crois pas en la théorie du jouer contre. Des joueurs peuvent ne pas être d’accord avec un entraîneur mais je ne les vois pas faire volontairement des actions négatives

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    2. Merci Claude.
      Je doute cependant que le vestiaire soit contre Geiger au point de précipiter presque volontairement les défaites. Mais je peux en revanche croire en une usure et en une fatigue. Parce que tout est bien trop figé pour impliquer chacun, et pour cultiver de vrais intérêts collectifs au sein du groupe.

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  3. Bravo, excellente analyse. Commentaires très posés et article très bien écrit. Riche en vérités et qui dépeint parfaitement la situation actuelle de notre club favori. Merci Grenat de coeur.

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  4. une ou deux remarques par rapport à votre article.
    Vous citez le Brésil (dont je suis un admirateur inconditionnel depuis des décennies) qui jouait avec 4 attaquants butteurs. . A ma connaissance cela n’a pas amené une avalanche de buts et n’ a pas empêché une élimination rapide.
    $Il est important de rechercher une complémentarité et non d’empiler les joueurs en fonction des statistiques.
    Vous citez la défense à trois. Compte tenu des joueurs à disposition vous n’allez pas très loin dans votre démonstration. Si on veut jouer vraiment à 3 comme lors de notre dernier titres le choix des « pistons » est décisif (Varela et Petrov en 99 étaient des avants) Si vous mettez Magnin que j’aime beaucoup et Clichy n’est plus un 352 mais un 532.
    Vous proposez <aussi un duo Bedia/Cruvelli avec Rodelin en soutien c'est intéressant mais le reste de la formation ? un 442 losange ?Très délicat ce systeme laisse des grands boulevards sur les côtés.$
    Par conséquent il est très facile pour les yaka focon de donner un avis sur tel ou tel poste mais l'entraineur lui doit voir l'ensemble de l'équipe et pour avoir une certaine cohérance d'éviter de changer à chaque match comme l'a fait Frei à Bâle..
    Si je ne suis pas toujours d'accord avec certains choix d'Alain Geiger, je ne pense pas contrairement à ce que disent certains que les joueurs jouent contre lui

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    1. Merci pour le retour.
      L’objectif de l’article n’est pas forcément de mettre en avant LE système qu’il faudrait, mais d’appeler l’entraîner à essayer, à tester, à sortir de ce qui est figé depuis 3 ans, pour changer des choses et inverser la mauvaise dynamique.
      Pour ma part, afin de répondre à votre question, j’aurais depuis longtemps essayé un 3-4-1-2, avec Rouiller légèrement plus bas que Séverin et Vouilloz, en ce qui concerne l’axe défensif.
      Puis une ligne de 4, avec Clichy, Douline, Cognat, Stevanovic.
      Un milieu axial offensif, en soutien d’une paire d’attaquants, avec Rodelin.
      Et deux attaquants, Bedia et Crivelli.
      Chaque élément du contingent peut trouver sa place au sein d’un tel système également, qui amène davantage d’options, de souplesse, de tournus, de présence en zone 3. De Valls à Antunes, en passant par Camara, Ndema, Chaïbi, et même Souare.
      Kutesa, Fofana et Touati étant alors considérés pour s’intégrer dans la paire d’attaquants. Ils ne peuvent pas jouer en attaquant nominal dans le 4-3-3 de Geiger, mais peuvent tout à fait le faire dans une paire d’attaquants au sein d’un système différent.
      L’idée serait aussi de recentrer le jeu, plutôt que de systématiquement vouloir se déployer par les côtés, pour en arriver à pratiquer quasi toujours la même recette qui ne fonctionne pas : multiplier les (bons) centres pour personne…

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      1. T’aurais dû commencer par là à mon avis et c’est un système qui peut être intéressant suivant les adversaires. Pas sûr quand même que Crivelli et Bedia soient compatibles ensemble, je verrais plus une paire Fofana, Bedia par exemple.
        Mais j’imagine qu’il n’a jamais été testé en amical.
        Enfin, la théorie lu dans les commentaires de joueurs jouant contre leur coach me parait pour le moins fumeuse. Les joueurs ont une vraie chance de se qualifier pour les pré-qualifications de la ligue du pognon, ce qui est le rêve de tout joueur, et en plus ils savent très bien que Geiger ne sera pas reconduit la saison prochaine. Qu’auraient-ils a gagner à saboter la fin de la Saison ?
        Pour conclure, si des joueurs affichent une telle mentalité, ils doivent être dégagés et le plus tôt sera le mieux.

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      2. Je ne crois pas non plus à la théorie des joueurs qui jouent contre l’entraîneur.
        En revanche, je peux imaginer une forme de lassitude, une usure, au sein d’un contingent et d’un système sclérosés, qui offre peu de chance de tournus, et qui peine à impliquer chacun pour prôner des intérêts réellement collectifs.
        Comme tu le relèves, la complémentarité de la paire serait effectivement quelque chose à construire. Reste qu’avec nos atouts à disposition (Bedia, Crivelli, Rodelin, Chaïbi, Touati, Kutesa, Fofana), les options et les possibles paires complémentaires sont multiples.
        Il est, de plus, réellement dommage qu’un seul de ces joueurs soit amené à évoluer sur le terrain, ce qui est presque toujours le cas avec le système de Geiger (excepté avec Kutesa à gauche).

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  5. Après pour revenir au bilan de la saison en cours, je trouve que Geiger a au contraire pas mal changé son approche des matchs avec une tactique minimaliste en début de saison qui a vu l’équipe engranger les points tout en proposant un spectacle indigeste.
    Le meilleur exemple c’est le match contre St-Gall gagné 1-0 à la maison alors que St-Gall a du avoir 70 % de possession du ballon tout en se créant pratiquement aucune occasion nette. C’était chiant à mourir mais redoutablement efficace.
    A la décharge de Geiger et de son staff aucune équipe de LNA n’aurait pu se passer aussi longtemps de leurs deux AC potentiellement titulaires. Le staff c’est du coup adapté avec un certain succès et un deuxième rang à la pause, qui arrivait au bon moment, l’équipe étant totalement cramée. Je note aussi que l’apéro de de moins bien a coïncidé avec la blessure de Séverin.
    Enfin, je n’ai vu que le match contre Sion depuis la reprise et ce match aurait dû être plié à la mi-temps qui a vu le SFC dominé outrageusement les Valaisans. Ensuite la suffisance et la maladresse ont permis à Sion de sauver 1 pt totalement inespéré. Pas l’impression que la tactique de Geiger nous a fait perdre des points sur ce match mais plutôt des erreurs individuelles de cadres.
    Bref, Geiger a certainement fait son temps, ses résultats restent remarquables et il a plus de capacités d’adaptation selon moi que le suggère ton analyse.
    Son principal défaut pour moi est sa gestion des matchs où il n’utilise pas assez son banc.

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  6. J’entends et partage certaines des critiques de cet article. J’aimerais également que Geiger soit plus créatif dans son coaching. Notamment en cours de match. Je ne vais pas m’étendre sur le système choisi en début de match ou sur le choix des joueurs. Les jeunes doivent montrer qu’ils ont le niveau et je pense que Magnin doit débuter ce soir. Ce n’est qu’en étant sur le terrain régulièrement qu’ils pourront le faire. On parle souvent de Ricardo Alves. Mais finalement depuis son arrivée cet été à St-Gall il n’a joué que 11 matchs pour 4 titularisations, un seul match complet, ce printemps contre Bâle, et 2 petites passes décisives… Avant cela il avait 33 parties avec Servette et… 3 passes décisives. Est-il vraiment un bon joueur de Super League? Peut-il incarner le futur du Servette FC? J’en doute et pour moi, même si je n’en ai aucune certitude, poser la question c’est y répondre… Antunes a de bien meilleures stats et est pourtant loin de faire l’unanimité. J’ai l’impression qu’on idéalise ce qu’on a perdu sans véritablement creuser. Et qu’on critique ce qu’on a sans vraiment être capables de rester tant soi peu objectif. Ce qui est aussi le propre du supporter.

    Mais si on regarde les jeunes qui sont partis, combien pouvait représenter le futur du club? Peu à mon sens. Et il ne faut pas oublier que la politique d’un club ne se limite pas à son équipe fanion. Vouloir travailler avec les jeunes c’est bien. Vouloir travailler avec des jeunes qu’on a formé c’est encore mieux. Mais pour ça, il faut aussi avoir une équipe M21 performante. Et avec le Covid, nos jeunes ont perdu deux ans. On se souviens qu’en 2020, les M21 avaient 13 matchs et 39 points avant qu’on annule purement et simplement la saison et donc la promotion. Comment intégrer des jeunes qui évoluent en 5ème division? C’est pourquoi il est si important que cette saison nos jeunes qui ont enfin obtenu cette si précieuse promotion de 1ère Ligue, puissent monter en Promotion League. Et de ce point de vue, personne ne peut critiquer la politique du club concernant les M21. Ni même la gestion du groupe de Geiger. Avec des M21 qui évoluent en 3ème division, là, on peut faire de la formation. Vraiment. Mais ce retard n’est ni la faute de Geiger ni celle de Senderos.

    Enfin, je ne sais pas si Geiger fait la saison de trop. Mais je pense que c’est la dernière. Bien ou non, je n’ai pas les compétences pour juger. Mais je sais que Geiger restera le coach qui nous aura fait remonter en Super League, nous y maintenir et même retrouver, sans grand succès c’est vrai, la Coupe d’Europe. Et juste pour ça, je resterai reconnaissant de son travail au sein du club. Ça fait quand même plus de 15 ans qu’on attendais ça ! Et maintenant, il s’agit de lui trouver un remplaçant qui fera mieux. Qui fera progresser nos jeunes et les intégrera mieux que lui. Et mine de rien, ça ne sera pas si facile que ça en a l’air!

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    1. Ricardo Alves :

      Les chiffres saison 2020/2021 : Servette
      9 matchs de Superleague : temps de jeu
      1′, 3′,2′,23′,8′,33′,14′,28′ et le 21 mai 2021 dernier match 31′
      2 heures 38

      Les chiffres de la saison 2021/2022 : Servette
      8 matchs de Superleague : temps de jeu
      13′, 18′, 13′, 2′, 10′, 4′, et le 22 mai 2022 dernier match 69′
      2 heures 15

      Les chiffres de la saison 2022/2023 – fin de contrat – départ à St Gall
      11 matchs de Superleague en février et 2 matchs de coupe : temps de jeu en championnat
      11′ (1er match le 11 septembre), 27′, 2′, 18′, 35′, 61′, 21′, 23′, 90′ (22/01), 45′ (29/01), le dernier match le 4 février 80′
      6 heures 13

      Constat : Alves a eu deux fois sa chance chez nous, le dernier match des deux dernières saisons. Je ne préfère pas savoir pourquoi !
      Il joue à St Gall. Réussira-t-il à s’imposer comme titulaire indiscutable, je ne sais pas. Mais il méritait plus de temps de jeu.

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      1. Il joue plus à St-Gall… Depuis que Schubert qui tenait le rôle en fin de saison dernière et au début de celle-ci est blessé. Jouerait-il autant, jouerait-il tout court si l’autrichien était tjs là? On en sait rien du tout. Pas une minute de jeu jusqu’à l’attentat de Garcia. Ça veut rien dire mais ça peut être un indice quand même.

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      2. Ah ! Parce que Imeri n’a pas eu du temps de jeu alors que Cognat était blessé ?

        Le fait est là, il aura plus de temps n’importe où que chez nous.

        C’est un fait !

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  7. N’importe quoi cet article ! Du niveau de la TDG ! Et surtout quel manque de respect pour le coach et le staff .
    Comparer notre équipe avec celle du Brésil démontre bien le yaka de cet article.
    Faut soutenir le club dans les moments difficiles comme aujourd’hui et arrêter avec cette mentalité de Genevois qui a toujours fait du tord au club.
    Bref les EDS nous avait habitués à mieux.
    Sur ce hop Servette et que la victoire soit au rdv ce soir

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  8. Excellent article de Grenat DC qui résume tout ce que je ressens et qui rejoins exactement mon analyse en tant que profane mais très ancien supporter.
    Cède soir, je compte sur le staff (rêve?) pour nous faire vibrer et engranger 3 points avec une jouerie plaisante et efficace…
    Il y a des joueurs pour ça et qui seraient mieux sur le terrain que toujours sur la banc ou entrés dans les dernières minutes.!

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  9. Bonne reflexion. Le potentiel de cette equipe est-il exploitee au maximum ? Y’a t’il assez de monde dans la surface lorsque le meilleur passeur d’ Europe ou un autre a fait la difference et se trouve en position ideal ?
    Y’a t’il assez de frappe a mi distance ? Le danger sur balle arreter est’il suffisant? …
    C’est tout ce cela qui devrait se voire au score…

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  10. Chacun à eux ses moments de « gloire « 
    Ce qui a été construit avant est utile maintenant
    Comme pratiquement, à chaque fois que ça commence à aller mal, un état des lieux se fait. Content ou mécontent des échanges fructueux ont lieux
    C’est le principal
    Vive les EDS

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