sondage : Quel est votre sentiment après la descente du FC Sion?

Par Oscar Obradovic

17 réflexions sur « sondage : Quel est votre sentiment après la descente du FC Sion? »

  2. Ils vont pouvoir reconstruire et se rendre compte de leurs erreurs…..sion est un club qu on aime détester mais au fond on aime les jouer et les derbys avec ambiance qui remplit le stade

    Yverdon,slo, Winterthur ne m emballent pas vraiment

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    1. Au moins à Winterthur , le stade fait quasi le plein tout le temps avec 8000 spectateurs de moyenne soit quasi la nôtre . Winterthur c’est une ville de foot et sa formation a toujours été bonne grâce notamment à Dario Zuffi, ex international et père de Luca Zuffi. Akanji est l’exemple de ce que fait Winterthur avec le mouvement junior. En plus son stade c’est une ambiance unique notamment avec La Tribune des enfants appelée La Tribune sirop . Bref j’espère que Winterthur puisse grandir et garder sa place dans l’élite pour la sixième ville de Suisse (105 000 habitants) . N’oublions pas que Winterthur amène du monde pour les deux derbys zurichois avec GC et Zurich plus que si c’est servette qui joue.
      Part contre pour Yverdon et Stade Lausanne c’est vraiment une bonne nouvelle pour personne, ni pour les autres clubs ni pour les clubs eux-mêmes car ils ne drainent personne. Lorsqu’on voit la moyenne du stade hors match de la promotion relégation, ça fait peur.. Le stade ne tient que pas son mécène et Yverdon en voulant monter se met clairement en danger financier à moyen terme car ils n’ont clairement pas les moyens financiers, ni en termes d’infrastructures pour rester en Superleague. Même le président actuel constate qu’en raison du type tissu d’entreprises , seul un mécène peut assurer une assise financière au club. C’était ce que faisait Monsieur Cornu à l’époque. Yverdon aurait dû refuser de monter et laisser un club comme Aarau prendre sa place .

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      2. Tout ca n’est pas faux, mais dans ce cas on n’aurait jamais dû laisser monter Vaduz ou Will et laisser Lugano en ballotage. Et GC et Lausanne, bien que des clubs de tradition qui appartiennent à l’élite suisse, ne drainent pas plus de 4000 personnes hors derby ou grosse affiche. Le football régional c’est malheuresement ca, sinon on aurait une ligue fermée. Alors maintenant qu’on vient tout juste de la désenclaver un peu avec le passage à 12 on va pas déjà se plaindre. Moi qui rêve d’une ligne à 16 ou 18 clubs…

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  3. Bon on va juste regretter les ambiances du vrai derby…LS c’est pas pareil.
    Autrement suis certain que Geiger va signer la bas mais c’est pas dit qu ils remontent tout de suite à l’image de Xamax.
    Me font aussi penser au PSG ..empiler les bons joueurs ne suffit pas sans stabilité

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    1. Visiblement, y’a un lourd contentieux entre lui et le Napoléon des Alpes. Donc tant que le clan Constantin reste aux commandes du club, je ne suis pas sûr qu’il soit prêt à poser son balluchon à Tourbillon. D’un autre côté, il souhaite toujours entraîner au plus haut niveau et son engagement serait probablement le meilleur coup que pourrait faire Constantin pour relancer l’intérêt autour du club. On verra bien ce qui se passera ces prochains jours (ce d’autant que Napoléon est toujours censé abdiquer à la fin de la saison prochaine).

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    2. Visiblement peut d’experts dans les commentaires je vous rappelle que le derby du lac c’est plus de 100ans d’histoire avec un premier gros classico joué plus ou moins en 1920 en plus de partager le même lac nos derby on toujours explosé les records en therme de capacité et d’influence alors que le fc Sion c’est seulement 60ans de ligue A et un premier derby joué en première division seulement en 1962 sauf erreur …Avez-vous touts perdu la mémoire? Ou faut il que je mette des liens pour vous rafraîchir le bocal … d’ailleurs la rivalité entre Genève et Lausanne n’ai plus un secret et encore plus chez les jeunes supporters vous verrez à la rentrée combien de genevois se déplaceront à Lausanne voire les pêcheurs prendre une branlée lors des VRAIS derbys du lac de Genève la rivalité entre genf et loz est électrique chez les nouvelles générations ….

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  5. Aucune compassion
    Je me passe volontiers du passage , deux matchs, de cette équipe de loose accompagnée de leurs « supporters «  atteints de crétinisation aiguë.

    Ne plus voir également les tronches de cake du couple des abrutis Constantin me réjouis au plus au point.

    Et je rejoins de coup le commentaire de Patrick Muller concernant Winterthur.

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  6. Avec toutes ces années de bricolage, mégalomanie, star système et foot business, CC s’est finalement brûlé les ailes, victime de son ego et de sa passion sans limite pour SON FC Sion ; le club est passé par tous les états d’âme, avec des succès en coupe, quelques trop rares épopées européennes et il y a 26 ans sous sa présidence en 1997, le premier doublé dans l’histoire du club, coupe-championnat, ce fut quand même remarquable pour un petit club d’une ville à taille moyenne pour la Suisse mais avec qui tout un canton pouvait se mobiliser en particulier pour les épopées en coupe suisse et naturellement lors des finales à Berne où, pour en avoir vécues quelques unes, je ne donnais pas cher des chances de l’adversaire tant le mythique Wankdorf était au 3/4 rouge et blanc et tant le public rhodanien poussait son équipe à l’exploit et qu’il jouait à merveille ce 13ème homme toujours prêt à aider les joueurs à se sublimer en renversant la vapeur.
    Cette magie de la coupe allait s’éteindre une journée de mai 2017 au stade de la Praille où des joueurs moins concernés par l’importance que cette coupe représente pour le club et pour tout un canton la perdaient pour la première fois de leur histoire face à des Bâlois revanchards, les premiers à faire tomber ainsi le FC Sion en finale d’une coupe de Suisse ! le mythe s’effondrait et Sion (re)devenait un club comme les autres capable aussi de perdre des finales.
    Bien malin sera celui qui devinera ce qui se passera dans le futur du club, certainement que CC recommencera les mêmes erreurs ou alors, rêvons un peu, il deviendra raisonnable et misera sur la formation avec un bon équilibre entre des joueurs confirmés et de jeunes pousses qui auront envie de jouer pour le club et pour tout un canton, mais tant qu’il sera à la tête du club, je n’y crois pas et il continuera à fonctionner tel un mégalo narcissique. Pour moi, il faudrait une nouvelle équipe dirigeante pour que le club redevienne ce qu’il était et que l’on puisse revivre de sacrés derbys du Rhône.

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  7. Parler de derby Servette Sion est une monumentale erreur.
    Demandez à un anglais quelle est la signification de ce mot en langue anglaise et en culture foot.
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    match entre deux équipes d’une MÊME VILLE .
    A la rigueur séparées de quelques kilomètres.
    Avez vous déjà entendu des suisses allemands parler du derby GC Lucerne (pourtant séparés de beaucoup moins de km que Genève Sion). Non jamais.
    Le seul vrai derby suisse est GC – FCZ et à la rigueur les clubs de ville Zurich contre winterthour.
    Ou il y a quelques dizaines d’années Servette Carouge ou Chenois ou dans les années 1960 Servette UGS.
    Cela est aussi valable dans les autres pays, avec quelques rares exceptions si la distance est inférieure à 20-30km entre les villes comme en Allemagne dans le Ruhr Gebiet.
    A la rigueur on peut dire que Servette Lausanne est un derby car deux villes situées sur les bords du même lac (de Genève 😄) et assez faible distance entre les deux.
    Ce sont les journalistes du torchon orange qui ont inventé le concept du derby du Rhône.

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    1. Et le public alors? Demandes aux jeunes et ils veulent du Servette Sion. Sion et Servette sont romands non? Et Zürich n’est pas dans le canton de Bâle c’est le klassiker.

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      1. Je ne répondais pas à la question du sondage. J’ouvrais juste une parenthèse pour rappeler ce qu’est un derby. Et que Servette Sion n’est pas un derby.
        La romandie est une région, donc inapplicable au terme derby.
        Zurich Bâle est un klassiker pas un derby.
        Comme PSg OM ou réal Barca ne sont pas des derbys mais des classico.
        Servette Sion ne peut même pas être un klassiker car ce sont deux clubs avec un palmarès et une histoire incomparable.
        L’histoire du foot suisse a plus de 125 ans.
        Sion n’a commencé à jouer en première division qu’au milieu des années 60 , n’a gagné que 2 championnats, ses parcours européens sont faméliques.
        Sur toute l’histoire du foot suisse romand depuis une centaine d’années Servette est largement numéro un. Ensuite il y a Lausanne, Xamax, la chaux de fonds (années 50-60) et quelques autres et ensuite seulement Sion.
        Donc on ne mélange pas les serviettes et les torchons.
        Servette-Sion n’est ni un derby ni un klassiker . Sion était un club respectable et sympathique avant l’arrivée du Tartarin mythomane mégalomane incompétent.
        Vivement qu’il laisse ce club a des gens normaux et alors on pourra se réjouir de rejouer contre eux.

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      2. En fait #Zico, sans vouloir te contrarier en ce qui concerne les matches entre le SFC et Sion, il s’agit bel et bien d’un derby mais c’est le derby d’un fleuve : « Le Rhône » ! Eh oui car ce magnifique fleuve coule dans les deux cités ! Cordialement !

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    2. Je ne vois pas trop à quoi sert ce post un peu dogmatique sur la notion de derby. La première définition donnée par le Larousse est : « Dans les sports d’équipe, match qui oppose deux clubs voisins ». Et le voisinage n’a pas de définition objective.

      Couplée à ce voisinage, le plus important, je crois, est dans la rivalité qu’oppose les 2 équipes. Autour du Lac, il y a une rivalité, en Romandie, il y a des rivalités, comme dans des villes et des Régions, il y a des rivalités. Quand elle est appuyée historiquement, socialement, culturellement, elle est encore plus forte – et ce sont souvent les plus grand derbies.

      Incontestablement, Servette-Sion, Servette-LS, ou encore dans une moindre mesure Servette-Xamax sont des vrais forts derbies du football.

      J’ajoute qu’il y a quelques années j’ai assisté à un ETG-Servette à Sallanches, et j’ai eu le vrai sentiment de rivalité d’un derby trans-frontalier. Entre les clubs lémaniques, entre le club suisse et son voisin français, entre le club de tradition et le club un peu artificiel, entre l’argent de la L1 et la sobriété de la challenge League, entre la passion des supporters citadins et l’enthousiasme mesuré et naïf des montagnards. Et heureusement, les Grenat se sont largement imposés.
      http://servettefc.blogspot.com/2014/07/etg-servette-en-preparation-12-juillet.html

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