Un Servette toujours sur son nuage éclabousse Bâle

On a aimé

  • Encore une victoire ! La sixième consécutive en championnat. Incroyable série de nos Grenat devenus irrésistibles !
  • Depuis le 30 septembre, le Servette FC a joué 9 matchs : 8 victoires et un nul face au Sheriff en Transnitrie. Une série totalement folle qui ne demande qu’à se poursuivre !
  • Les belles actions servettiennes ponctuées par de forts jolis goals!
  • Ces capacités collective et individuelle à accélérer dans le jeu et mettre les défenseurs adverses sans dessus dessous !
  • Cette confiance qui permet au groupe de René Weiler de renverser des montagnes !
  • L’excellente partie de Dereck Kutesa, dynamiteur de défenses adverses. Dereck semble vraiment emmagasiner énormément de confiance et passer un nouveau palier avec le SFC 🇱🇻.
  • La capacité de Mazikou à se projeter vers l’avant. Il est pour beaucoup dans la bonne santé actuelle de son équipe.
  • Le retour de Tsunemoto plus tôt que prévu. Notre japonais est superbe à voir jouer sur son côté droit et est tellement utile.
  • Les deux buts de Jérémy Guillemenot, ainsi que son assist, qui lui feront le plus grand bien!
  • Battre une nouvelle fois le FCB à domicile. C’est incroyable comme les trajectoires sportives se sont totalement inversées depuis plusieurs saisons…
  • Voir Bâle ne pas réussir à s’imposer à la Praille depuis plus de dix ans. Belle stat !

On aurait aimé

  • Réussir à trouver le rythme plus rapidement. Mais les matchs s’enchaînent et il est presque logique de caler un peu physiquement ou psychiquement.
  • Encaisser ce but évitable ou défensivement on aura un peu tout fait faux…
  • Le peu de soutien populaire pour ce match au FC Bâle. Le Servette FC mérite bien mieux, bien plus de monde au stade. Genevois, réveillez-vous !!!

Julian Karembeu

31 réflexions sur « Un Servette toujours sur son nuage éclabousse Bâle »

  1. Bravo à tout nos Servettiens. Quel match hier soir ! Maintenant, il ne reste plus qu’à avoir un boutique digne de ce nom. Pas un petit cagibi qui nous fait honte.

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    1. Absolument, Obra.

      Magnifique match de la part de nos Grenat, sixième victoire en championnat, huitième de rang toutes compétitions confondues. Que demande le peuple ?!

      Le slalom de Taulant est à souligner, mais ce mec est tellement à gerber dans l’attitude que sur le coup, ça m’a dégoûté autant que sa personne.

      Bref, un souffle d’air pour Guillemenot qui, je le lui souhaite, va prendre davantage confiance avec le temps et trouver réellement ses marques dans le jeu. Hier, il a plus souvent piqué dans l’axe, ce qui lui permettait de performer chez les Brodeurs à l’époque et Weiler a dû réaliser la chose. Espérons-le en tout cas.

      Le but de notre Cactus préféré (le mien en tout cas) fut tout en force et détermination et son sourire fait plaisir, tant il se bat pour l’équipe à chaque circonstance. Il est souvent le seul à se chauffer autant à la pause, même s’il est titulaire, c’est à souligner et tellement incroyable. Bravo Enzo.

      Le but de notre mobylette à trois poumons se passe de commentaires tant sa frappe est pure et magnifique. Bravo Timo !

      J’ai énormément apprécié le jeu et l’attitude de Samba qui commence vraiment à grimper dans le jeu et c’est un joueur hyper intéressant, physique et généreux. Top à lui !

      Voilà, MM. Degen, Celestini et autres illustres occupant de ce FC ASF calamiteux, toujours aussi arrogant malgré tout. Réalisez un peu à quel point ce n’est pas marqué dans les livres que votre club chéri doit être toujours au dessus de tout, dominer, exceller et écraser. Eh bien, non, loin de là. Essayez une fois dans votre vie de vous remettre en question, mais je crois que chez vous et surtout le côté vénal de votre illustre président, c’est absolument impossible – terme admis en langue française dans votre club -. Je ne vous salue pas.

      Merci Servette, Bravo les Grenat et cette pause amplement méritée va permettre de recharger vos batteries qui en fait, ne m’inquiétaient pas du tout mais ça fait du bien de souffler et de savourer ces 8 victoires à la suite et cette quatrième place amplement méritée jusqu’à ce jour.

      ALLEZ SERVETTE

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  2. Bravo à toute l équipe, au staff pour ce recrutement intelligent (le sujet est clos sur ce point. Je me rappelle encore de ceux qui ne comprenaient pas le recrutement de bolla…) et à Weiler (le sujet est clos également) qui a d entrée accompli un record historique en Super league avec 6 victoires consécutives. Nous avons un groupe de 15-16 joueurs très bons joueurs et cela s est vu hier! Malgré les absences de titulaires, ce sont les usuels remplaçants qui sont sortis du lot. Vraiment ravi pour Guillemenot: il retrouve la confiance et il n a jamais triché. Que dire de Cognat qui est enfin décisif cette saison. Mention spéciale pour Mazikou qui pour moi est tout aussi bon voire plus complet que Clichy (notamment sa pointe de vitesse, qui est précieuse)
    Tout semble facile actuellement, alors profitons du moment présent et permettons nous de rêver avec une victoire contre la Rome?

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  3. Magnifique équipe qui nous fait rêver. De plus on a enfin un goal-average positif, ce qui n’était plus arrivé ces dernières saisons. La solidarité semble être le maître mot de cette équipe. Pour Rome je pense qu’il faudra surtout se faire plaisir et continuer d’emmagasiner de l’expérience tout en sachant que après c’est YB chez eux et que si on veut titiller la 1ere place et ce sera l’échéance la plus importante à venir. On y croit.

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  4. que c’est plaisant de voir le Servette jouer de cette façon. En championnat, rien ne peut nous arriver. l’équipe est en constant progrès!
    vive le SFC!

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  5. @Michel

    Sans polémique aucune, je trouve étonnant de mettre Geiger au même niveau que Snella, Pazmandy et Castella. Je m’explique.

    Tout d’abord, il manque dans la légende des entraîneurs grenat :
    –  Teddy Duckworth. 4 titres à son actif, personne n’a jamais fait mieux
    – Karl Rappan. 3 titres à son actif. Le verrou suisse. Certes. Mais 3 titres de champion.
    – André Abegglen. Certes un seul titre. Mais quel titre. Aucune défaite de la saison. Personne n’a jamais fait de même au Servette depuis.
    – Jean-Michel Aeby. Si si. Il nous a offert une saison en première ligue magique. C’est sans comparaison avec tout le reste. Mais nous étions au fond du trou, sans savoir où nous allions aller. Et au final, on se retrouve avec une saison assez fantastique.
    – Joao Alves. Juste pour deux matchs : Bellinzone et Sion.
    –  Ilija Petkovic. Un personnage extraordinaire. Et un titre magique arraché à GC en 1994.
    – Lucien Favre. Certes, seulement une coupe à son actif. Mais une épopée européenne fantastique.

    En fait, le « problème » avec Geiger, c’est qu’il manque une épopée, des matchs dont on se souvient. Il y a bien la victoire face à LS en ChL, les victoires face à YB. Mais si les résultats étaient là, il manque pour moi LE frisson, LE moment de folie pure. Ou un titre.

    Comme celui où la Praille bascule dans la folie quand Baumann met ses 2 buts.
    Celui où Servette humilie Sion chez lui.
    Celui où les Charmilles bascule dans la folie quand Oruma marque à la 85e face à Saragosse ou que le petit contingent grenat est sur son nuage à Berlin.
    Celui où pour une fois Servette coiffe GC sur le poteau pour le titre, avec les cafards qui font une latte dans les arrêts de jeu.
    Celui où Esteban nous délivre un soir de juin sous la neige à Herisau.
    Celui où le pensionnaire de 1ère ligue élimine un participant à la Champions League.
    Celui où Servette revient de nul part pour remporter son dernier titre.

    Je respecte bien évidemment ton avis. Mais personnellement, j’ai du mal à mettre au même niveau un entraîneur de légende que je n’ai pas connu (Snella y compris) et ceux qui m’ont fait vibrer. Pour moi, les Duckworth, Rappan, Abegglen, Snella et Pazmandy sont au panthéon. Intouchables. Ils ont forgé la légende du Servette FC.

    Les autres n’ont pas pour moi cet aura, ce côté indiscutable. D’abord, la plupart n’en a pas fait la moitié. Ensuite, je les ai connus et du coup, je vois le côté pas toujours brillant qui ternit forcément un peu l’aura (j’ai connu Pazmandy, mais trop jeune pour voir le côté discutable. Et de toute façon, ce quadruplé restera gravé à jamais).

    Weiler va-t-il les rejoindre ? Il est bien trop tôt pour le dire. Mais il commence à avoir au moins pour lui l’épopée qui manque tant à Geiger (et c’est bien dommage).

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  6. cher Michel

    Sans polémique aucune, je trouve étonnant de mettre Geiger au même niveau que Snella, Pazmandy et Castella. Je m’explique.

    Tout d’abord, il manque dans la légende des entraîneurs grenat :
    –  Teddy Duckworth. 4 titres à son actif, personne n’a jamais fait mieux
    – Karl Rappan. 3 titres à son actif. Le verrou suisse. Certes. Mais 3 titres de champion.
    – André Abegglen. Certes un seul titre. Mais quel titre. Aucune défaite de la saison. Personne n’a jamais fait de même au Servette depuis.
    – Jean-Michel Aeby. Si si. Il nous a offert une saison en première ligue magique. C’est sans comparaison avec tout le reste. Mais nous étions au fond du trou, sans savoir où nous allions aller. Et au final, on se retrouve avec une saison assez fantastique.
    – Joao Alves. Juste pour deux matchs : Bellinzone et Sion.
    –  Ilija Petkovic. Un personnage extraordinaire. Et un titre magique arraché à GC en 1994.
    – Lucien Favre. Certes, seulement une coupe à son actif. Mais une épopée européenne fantastique.

    En fait, le « problème » avec Geiger, c’est qu’il manque une épopée, des matchs dont on se souvient. Il y a bien la victoire face à LS en ChL, les victoires face à YB. Mais si les résultats étaient là, il manque pour moi LE frisson, LE moment de folie pure. Ou un titre.

    Comme celui où la Praille bascule dans la folie quand Baumann met ses 2 buts.
    Celui où Servette humilie Sion chez lui.
    Celui où les Charmilles bascule dans la folie quand Oruma marque à la 85e face à Saragosse ou que le petit contingent grenat est sur son nuage à Berlin.
    Celui où pour une fois Servette coiffe GC sur le poteau pour le titre, avec les cafards qui font une latte dans les arrêts de jeu.
    Celui où Esteban nous délivre un soir de juin sous la neige à Herisau.
    Celui où le pensionnaire de 1ère ligue élimine un participant à la Champions League.
    Celui où Servette revient de nul part pour remporter son dernier titre.

    Je respecte bien évidemment ton avis. Mais personnellement, j’ai du mal à mettre au même niveau un entraîneur de légende que je n’ai pas connu (Snella y compris) et ceux qui m’ont fait vibrer. Pour moi, les Duckworth, Rappan, Abegglen, Snella et Pazmandy sont au panthéon. Intouchables. Ils ont forgé la légende du Servette FC.

    Les autres n’ont pas pour moi cet aura, ce côté indiscutable. D’abord, la plupart n’en a pas fait la moitié. Ensuite, je les ai connus et du coup, je vois le côté pas toujours brillant qui ternit forcément un peu l’aura (j’ai connu Pazmandy, mais trop jeune pour voir le côté discutable. Et de toute façon, ce quadruplé restera gravé à jamais).

    Weiler va-t-il les rejoindre ? Il est bien trop tôt pour le dire. Mais il commence à avoir au moins pour lui l’épopée qui manque tant à Geiger (et c’est bien dommage).

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    1. @Statfan

      Aucunes polémiques juste mon appréciation sur des entraîneurs de l’air moderne et qui ont dirigés des équipes que j’ai vu jouer…

      Il est clair qu’il manque un titre ou une épopée en coupe de Suisse ou en coupe d’Europe.

      Mais il a ramené le Servette en première division avec en prime une seconde place lors du dernier championnat.

      Et comme le révèle Valid il a le meilleur palmarès depuis plus de 20 ans et juste pour ça il me semble qu’il mérite une place parmi les grands entraîneurs du Servette Club de Légende.

      Mais maintenant fini avec le passé.
      Le présent c’est Weiler et à ce jour tout les rêves sont possible.

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    2. @ StatFan :
      Quel plaisir que de lire ces beaux moments qui ont forgé l’Histoire du club. Un grand merci pour maintenir vivante cette légende.
      Pour ma part, je pense qu’il faut aussi analyser la grandeur d’un entraîneur au-delà des résultats. Ou du palmarès. Celui-ci peut dépendre de tellement de choses. A mon humble avis, Geiger avait déjà un contingent solide de Super League quand il a fêté la promotion, par exemple.
      J’apprécie beaucoup la méthode Weiler, à plusieurs raisons. Il semble tout à fait en mesure de faire progresser l’équipe, ce qui est déjà le cas. Et cela va au-delà de la position au classement selon moi.

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  7. Quelle démonstration.
    Après une première demi-heure en demi teinte nos joueurs ont enclenché la vitesse supérieur et ce fut un festival offensif avec à la clé 4 buts très bien amenés et une joie de jouer ensemble qui fait plaisir.

    Il me semble que Weiler fait du Geiger moderne.

    Possession avec une construction du jeu depuis l’arrière, écarter le jeu au maximum mais avec plus de verticalité au sol et avec des transitions plus rapide que sous l’air Geiger.
    Il n’a fallut que 3 – 4 passes pour marquer le deuxième et quatrième but.

    Un vrai régal à regarder. Et trop content pour Guillemenot et Cognat.

    On va pouvoir récupérer nos blessés et un repos mérité pour nos titulaires pendant la pause.

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  8. Un point n’a pas été relevé sur cette extraordinaire série en cours : Servette se crée systématiquement plus d’occasions que son adversaire. C’était serré côté xG à Lugano, mais pour le reste, c’est net à chaque fois.

    Plus intéressant encore : la dernière équipe qui s’est créée plus d’occasions que nous, c’était… Yverdon, lors du 4-1 à fin août. Lors de la défaite à domicile face à YB, c’était à égalité. Et aussi bien face à Winterthour qu’à Lucerne, Servette était devant aux occasions.

    Donc non seulement la série en cours est incroyable. Mais en plus elle ne tombe pas du ciel. Et ça c’est encore plus impressionnant je trouve.

    Je me suis amusé à regarder la dernière série de 4 victoires en février-mars 2021. 2x les xG étaient en notre faveur et 2x en notre défaveur. Ca donne une idée de la qualité de nos performances actuelles.

    (désolé pour le doublon précédent, ça m’indiquait comme non posté)

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    1. Y’a un truc relevé sur le forum des grenats qui me paraît assez pertinent, c’est notre problème récurant de couverture au milieu de terrain. Même si les choses se sont quelques peu équilibrées depuis quelques matchs, on persiste à avoir un déséquilibre en phase défensive où nos milieux défensifs se retrouvent trop souvent en infériorité numérique et on peut être certain que le YB de Wicky va appuyer là où ça fait mal. Je suis curieux de voir si Weiler va ajuster sa tactique pour ce match en fonction de cette faiblesse. Réponse après la pause internationale.

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      1. Effectivement. Je pense que le duo Cognat-Diba n’est pas le plus adapté. J’ai l’impression, à confirmer, que l’absence de Douline pèse sur ce problème. Il prend beaucoup de place, beaucoup qu’Ondua ou Cognat, je trouve. L’absence de cette présence physique n’est pas compensée tactiquement.

        Il faudra pourtant tenir encore un moment sans lui. Une fissure, c’est plusieurs semaines. Plus la remise en forme. A voir si Diba peut prendre de l’ampleur tant Ondua semble être l’ombre de ce qu’il a été lors de son premier passage.

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      2. Y’a aussi le fait que nos milieux offensifs ne défendent pas suffisamment. Rien à redire sur l’implication de Micha ou Antunes, mais Kutesa n’en fait pas assez, Bolla ça reste à voir. Et on sait que Weiler a écarté Pflucke, Fofana et Rodelin pour cette raison. Et ça pend aussi au nez de Touati.
        Douline, je ne pense pas qu’on le reverra avant la reprise. Faudra faire sans jusque-là.

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    2. Tout à fait d accord avec toi. Les séries avec Geiger tenaient souvent de notre niveau de …baraka. Pour témoin notre goal average désastreux l année passée, probablement le pire dans l histoire du football pour un deuxième. Cette année, les victoires sont incontestées et c est pour cela que l on peut affirmer à ce stade que l équipe a franchi un pallier!
      Le cumul des matchs permet à l équipe de grandir (je me répète, désolé) physiquement et cela se voit maintenant.

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      1. Pourquoi toujours vouloir comparer les deux coachs ? La réalité factuelle, c’est que Geiger possède le meilleur bilan de ces vingt dernières années. Faut remonter à Castella pour retrouver un coach qui a fait mieux que lui. On verra ce qu’il en sera pour Weiler mais c’est très bien partit après un départ très compliqué. Alors profitons du présent et on verra bien ce que demain nous réserve.

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      2. Geiger, tout comme Weiler cette saison, a aussi pu compter sur la patience de ses dirigeants. Quand l’équipe a aligné 7 matches sans victoire, il y a d’autres clubs où il aurait sauté.

        Il aurait même pu sauter en ChL déjà. 5e après 9 journées et 3 petites victoires, pour un club qui vise la promotion, c’était pas terrible, avec en prime l’élimination en coupe.

        Avec la même direction, qui sait ce qu’auraient fait les Favre, Castella ou Alves par exemple ? Cela fait 30 ans que le club est instable. Forcément, cela se ressent à tous les niveaux. Comment veux-tu faire des résultats avec un club au bord de la faillite ou des dirigeants à moitié cinglés ?

        La chance de Geiger, c’est de ne pas avoir eu ces dirigeants. Et leur intelligence, c’est d’avoir eu la patience de le laisser travailler. Il a su en tirer profit et c’est très bien ainsi.

        Et accessoirement, il faut remonter à Favre pour trouver quelqu’un qui a fait mieux, puisque lui a ramené une coupe.

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      3. Pas faux, mais personnellement je n’accorde pas trop d’importance à une victoire en coupe de Suisse. C’est sympa à vivre mais pas très représentatif d’une saison dans son entier. Je mets bien plus de valeur au parcours mémorable en coupe UEFA et avec Favre c’est vrai qu’on avait connu deux belles saisons sous sa direction.

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      4. On peut voir la chose autrement. Mieux vaut-il faire comme Zurich, St Gall ou Lugano avec des parcours en dents de scie et obtenir de temps en temps un titre, coupe ou championnat, ou finir régulièrement à 20 points du premier avec une moyenne de 1,39 point par match qui te met à l’abri de la relégation mais sans jamais rêver à un titre/une coupe ?

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      5. Bonne question, si c’est à la Xamax ou Sion avant leur chute, mieux vaut jouer les premiers rôles en LNB, parce qu’à la fin les gens se lassent de saisons de transition sans aucun perspective au bout.
        En ce qui nous concerne, on a toujours été à la lutte pour des places européennes depuis notre remontée (bon une ligue à 10 ça aide beaucoup), donc l’engouement est présent (même si ça devrait être mieux) car les résultats suivent.
        Reste le problème d’un seul club qui truste les titres (YB maintenant, Bâle avant lui) et là aussi ça pourrait lasser à force. Mais ça ne se vérifie pas pour le moment au niveau des affluences qui n’ont jamais été aussi hautes en Suisse.
        Ceci étant, le but est quand même de réduire l’écart saison après saison qui nous sépare des Bernois et j’ai compris et accepté le changement de coach dans ce but. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’en début de saison, on était loin du compte, mais depuis Weiler et l’équipe se sont adaptés l’un à l’autre et la dynamique actuelle est très intéressante et valide la stratégie de la direction.
        Plus globalement et personnellement, je suis pour une ligue A à 14 ou 16 équipes et une ligue B qui fusionne avec la 1LP pour l’amener à 16. Devoir toujours affronter les mêmes clubs, c’est assez barbant à force. Mais à voir ce que va amener cette nouvelle formule qui pour moi est une vraie usine à gaz.
        Voilà, je pense avoir été assez exhaustif 🙂

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    3. C’est un élément sur lequel Weiler voulait travailler. Il a eu le temps d’observer les difficultés de l’équipe de Geiger en zone 3. Il a tenté d’amener plus de verticalité à son arrivée, en développant un 4-4-2, et en donnant la possibilité à Crivelli et à Bedia de jouer en même temps (avec Geiger c’était soit l’un, soit l’autre).
      Cela a eu de la peine à se mettre en place, par manque d’équilibre. Et se traduisait trop souvent par un jeu de longs ballons.
      Il a apporté davantage d’équilibre à son approche, sans renier ses principes et sa volonté, et a cherché à amener plus d’animations et de verticalité en zone 3 en variant la nature des offensives.
      Avec Geiger, nous attaquions systématiquement en écartant sur les côtés pour centrer.
      Désormais, nous avons gardé ce schéma, mais en y mettant plus d’intensité, et surtout, ce qui est très important, en y ajoutant des attaques en piquant dans l’axe, et des tirs. Nous sommes l’équipe qui tirons le plus de fois aux buts, cela aussi est à relever, outre le fait que nous nous créons beaucoup plus d’occasions.
      Nous nous sommes également améliorés dans le jeu aérien devant le but.
      Cela fait de ce Servette une équipe plus spectaculaire et incisive. C’est ce que veut développer Weiler et qu’il ne cesse de répéter depuis qu’il est arrivé.

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      1. D’accord avec ton analyse, mais il me semble que Weiler aussi est revenu sur l’association Crivelli-Bédia, (bon j’ai pas été vérifier les dernières compos mais il me semble que ça fait un moment qu’on a pas vu les deux jouer ensemble dès le coup d’envoi) tout simplement parce que ça ne fonctionne pas et aussi pour une question de tournus. C’est maintenant Kutesa et Antunes voire Guilleminot qui viennent épauler l’AC, ce qui amène une assez bonne dynamique.

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  9. On est les rois des 2 ème mi temps c est fou, tout a fait d accord que le match contre Rome sera la cerise sur le gâteau et le match le plus important reste celui à Un pour prendre notre revanche et montrer à la Suisse entière qu on est les patrons

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  10. Excellent résultat et belle perf de nos joueurs !
    J’ai l’impression d’avoir vu le même genre de match que contre le Sheriff, avec une première mi-temps moyenne avec pas mal de déchets et un vent de révolte en 2ème mi-temps avec beaucoup d’occasions.
    Ça fait plaisir de voir que l’équipe arrive à trouver les ressources nécessaires pour réagir et retourner la situation. Bel esprit !
    La pause internationale arrive finalement à un bon moment, pour récupérer de la fatigue des matchs.

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  11. Qu’il est agréable de voir un match où nos Grenat régalent avec une belle dépense d’énergie et de technicité couronnées par 4 réussites !
    Bravo à eux (staff compris bien sûr) et vive le SFC

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  12. Qu’il est beau notre Servette aussi flamboyant avec des ballons dans les filets… des autres depuis plusieurs matchs.
    Bravo à tous y.c.le staff et vive le SFC

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  13. @Valid, tout à fait d’accord sur l’augmentation de la SL de 12 à 14 ou 16 équipes avec deux tours (30 matchs) et une refonte des restants de la CHL avec la promotion league à 14 ou 16 équipes en deuxième division qui serait semi-pro! On ajoute Thoune, FC Sion, Aarau et Wil ou Xamax pour renforcer la présence romande et avoir plus de derbys et plus de monde au stade! Elle aurait de l’allure notre Super League, non ? Avec la descente directe du 15 et 16ème et le maintien des barrages pour le 14ème et la création d’une coupe de la ligue pour compenser ?

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