Sondage: comment avez-vous vécu l’obtention de la Coupe de Suisse ?

Par Oscar Obradovic

26 réflexions sur « Sondage: comment avez-vous vécu l’obtention de la Coupe de Suisse ? »

  1. C’est claire que l’émotion à été incroyable. Pourtant cette coupe vaut nettement moins qu’un titre de champion. Mais que ce soit ceux de 94 ou de 99 même si acquis à la dernière journée du championnat, les émotions n’était pas les même que hier à Berne.

    Il y a derrière cette victoire contre Lugano la libération de 20ans de souffrance. Même si cela fait 5ans que Servette est de retour en SL le fait de regagner un titre même si pas encore le titre de champion c’est une délivrance. Après toutes ces année de galère. Au moment de la presque deuxième faillite j’ai bien cru que Servette allait tomber dans l’oublie pour un bon moment. Se retrouver là aujourd’hui a une saveur incomparable.

    Les autres titres gagnés ou les deux retour en SL mon fait monter les larmes au yeux, mais hier à la fin de la séance des pénalty j’ai plus que craqué l’émotion était si forte j’ai chialé à gros sanglots sans même réussir à regarder les joueurs venir nous saluer j’était comme pétrifié, libérer d’un poids celui de la peur de plus jamais voir Servette gagner un titre. Alors que maintenant je ressent juste que tout est possible et avec la certitude que Servette va à nouveaux soulever encore bon nombres de trophées.

    A ce titre là cette coupe vaut autant que tout ce que j’vais connu jusqu’ici car Servette est, dorénavant comme le phénix, renaît de ses cendres.

    Allez Servette

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    2. Mon Cher Steve, combien je te comprends et c’est plus que totalement partagé, puisque nous étions ensemble comme la plupart du temps !

      Mon Fils et moi avons chialé de joie aussi, tant la pression mise a été insoutenable pendant près d’une demie heure.

      Si j’ai rapproché un peu cela au titre de 1999, c’est davantage sur le plan de la fierté ressentie et le message donné aux adversaires, en particulier à chaque fois l’adversaire du jour, même si hier, comme je l’ai dit, il aurait été plus compliqué de planter la bannière de Genève dans un terrain synthétique ;-))

      Vivement la suite à partager ensemble.

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  2. Impossible de comparer ces 2 matches pour moi.

    1999, c’est un aboutissement, la revanche sur les lausannois, Pantelic et sa formalité, avec un seul retournement de situation. Mais au final, c’est un titre de champion, gagné face au rival du lac chez lui. Il y avait un côté jouissif en plus qu’il n’y avait pas hier (contrairement à beaucoup, je n’ai rien contre Lugano).

    Par contre, hier, le stress a été sans comparaison possible, à des niveaux stratosphériques. Avec des retournements de situation incroyables. Et c’est plutôt une libération pour dire : nous sommes de retour pour de bon. Un peu à l’image d’un certain 31 mai face à Bellinzone (si on pouvait juste éviter la même suite…). De retour de l’enfer.

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  3. Quelle journée incroyable ! Un titre de champion c’est plus fort quand même. Mais la coupe perso j’adore ça, c’est plein de surprises jusqu’à la fin. Je crois que ces 23 ans sans aucun titre, aucune coupe mais avec toutes les galères qu’on a connues ont rendu cette victoire unique et extrêment forte pour tout le peuple Grenat, une immense émotion et énormément de fierté et le sentiment d’avoir montré que oui chaque année on se rapproche tjs un peu plus du fameux graal, mais cette année on gagne qqch, on gagne la coupe, on est clairement de retour et il va falloir compter avec le grand SFC qui renait de ses cendres.

    Aussi je me disais une équipe qui gagne qqch chaque saison comme YB ou Bâle à l’époque, c’est top biensûr mais je pense qu’à force l’émotion, le bonheur du titre/coupe n’est plus aussi fort. Genre ils s’attendent à avoir minimum un titre et s’ils gagnent rien la saison est un échec finalement…Non ?

    Bref je sais pas mais avec tout ce qu’on a vécu, toute la merde qu’on a eue, ben hier j’ai trouvé que c’était fort, très très fort…

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  4. Le plus beau souvenir de ma vie.

    😪😭😢 J’ai pleuré comme un petit enfant. Impossible de sourire tellement j’étais heureux et complètement perdu. Une sorte de bonheur absolue et irréel.

    La coupe, on l’a perdue. Mais dieu la arrachée à quatre reprises pour la remette dans nos mains.

    Merci pour ce bonheur impérissable. Et merci d’avoir rajoute une page supplémentaire de gloire à ce club mythique qu’est SERVETTE

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  6. j’ai ete convaincu que Servette allait gagner lorsque Mattias Crocci-Tortti a enlever Bottani et Cellar. Je me suis dis que quelque chose n’ allait pas dans l ‘equipe Luganaise et que d’une maniere ou d’une autre sa serait decisif… c’est l’unite du groupe qui est le plus important et Rene Weiler la bien compris et a ete recompenser… l’equipe toujours au centre avant les interets individuels…

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  7. Après Berne, j’ai attendu de revoir encore ce match à la tv hier soir, pour vraiment y croire ! Et bizarrement, j’étais aussi tendu que sur place ! J’ai fini à 2h du mat’ dans mon canap’, en chantant comme la veille sur le synthétique ! Indescriptible, magique, phénoménal, stratosphérique, inscrit à jamais dans l’ADN grenat ! Quelle libération ! Quel match a fourni Servette. Même si la finition n’a pas été au rendez-vous, quelle débauche d’énergie, quelle mentalité, exceptionnel ce que ce groupe dégage comme valeurs !

    Et je vous dit pas le retour ! Pendant que vous vous dirigiez tous sur l’esplanade, nous, on devait prendre le chemin opposé. Une torture. Mon pire souvenir de servettien. On a donc profité de rester un max sur le parvis bernois avec tous les derniers supporters. Ainsi on laissait partir les luganais et on profitait encore un peu du grenat.

    On embarque, on arrive à Lucerne, 6 minutes pour happer un Burger King et sauter dans le train pour Bellinzone. Tous les trains spéciaux des tifosi étaient normalement déjà en route pour le Tessin. Sauf que là, j’y croyais pas ! On rentre à la bourre dans le wagon de queue, des bianconeri de partout ! Wagon d’après: idem. Et ainsi de suite jusque presque le wagon de tête. Je sais pas si les tifosi s’étaient attardés à Lucerne pour becquetter ou pour chialer, toujours est-il que malgré qu’on ait pris à Berne, un des dernier trains en partance pour le Tessin, on les avait rattrapés à Lucerne ! Un cauchemar ! Debout pendant plus d’une heure avant le prochain changement de train, en grenat, au milieu de tout ce noir et blanc. C’est comme si on avait mis les 4 fantastiques dans un Charlie Chaplin ! Mais bon, excepté quelques connards qui nous on jeté leur va fancullo à la figure (qu’ils se sont pris en smash et en revers eux aussi), tout s’est bien bien passé. On s’est tous filé rencard pour la centième, l’année prochaine !

    J’espère en tous cas que vous avez tous bien profité de ces instants de communion magiques, dimanche soir ! Mais qu’est-ce qu’on a regretté de pas terminer avec vous !

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  8. Ce dimanche aura certainement été le plus beau de mes années de supporters du Servette, tout a commencé au début des années 80. De mon départ de la Gare de Blonay, en passant par une gare de Lausanne Grenat pour l’occasion, a ce magnifique cortège dans Bern, très pacifique, a ce match au dénouement improbable, jusqu’au retour dans des trains bondés toujours Grenat, quelle journée. Un grand bravo à toutes les personnes ayant oeuvrés a ce succès, des dirigeants au staff, aux joueurs et aux magnifiques supporters menés par une section Grenat de gala. Mais quel stress, quels émotions.. sommes passés à 2 doigts de la déception, mais à la fin, le football a gagné, ouff. Bravo à notre entraineur et bonne suite à lui au sein du club. Voilà pour moi, me réjoui de revenir à la Praille et espère revivre des émotions pareils bientôt. Allez Servette

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  9. j’ai ete convaincu que Servette allait gagner lorsque Mattias Crocci-Tortti a enlever Bottani et Celar son joueur le plus emblematique et son meilleur buteur, je me suis dis que quelque chose n ‘allait pas dans l ‘equipe Luganaise et que d’une maniere ou d’une autre sa serait decisif. C’est l’unite du groupe qui est le plus important et Rene Weiler la bien compris et a ete recompenser. Toujours passer l’interet de l’equipe avant les interrets individels… la rocade des gardiens et leur complicite en est la meilleur des preuves …

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    1. ça dépendra de Como avant tout. Mais aussi de la volonté du SFC de délier sa bourse et bien sûr du choix de Weiler.

      Sinon pour revenir à cette belle après-midi de dimanche, j’ai annulé mon prochain rdv chez mon cardiologue parce qu’après cette séance de tirs au but, je pense que mon cœur est parfaitement fonctionnel.

      Sinon, ce fut un grand moment, magique et hors du temps, mais ça reste quand même un cran en-dessous des titres de 94 et 99, décidés lors de la dernière journée (en 94 tout le monde qui attendait sur la pelouse du Wankdorf la fin du match de GC, c’était vraiment qqch d’unique), mais aussi la promotion lors du match barrage contre Bellinzone qui fut un incroyable moment aussi.

      Bref, cette coupe est aussi une première récompense pour tout le chemin parcouru depuis la dernière relégation et première sur le plan sportif. Un grand merci à la fondation et à Fischer d’avoir permis cela. Et je suis persuadé que le meilleur est devant nous. C’est vraiment cool d’être supporter genevois ces temps !

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  11. Au mois de decembre dernier il lui restait 6 mois de contrat… maintenant il et sous contrat jusqu’a juin 2026 soit deux ans…ce n’est pas le meme prix , apres sa depend de la volonte du joueur et de Como … mais sa serait bien…

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    1. autant que ça ? Aie. Tout dépend de Como en effet, si le club ne souhaite pas le garder, probable vu ce qu’il a joué alors on a une chance.

      Ce serait quand même bien dommage (et un mauvais calcul je pense) que de devoir payer une somme de transfert pour un trentenaire aussi bon soit-il en sachant qu’il sera sans doute le plus gros salaire de l’équipe…

      Il n’a que 31 ans, encore 3-4 belles années devant lui avant d’aller s’enrichir au USA ou au Moyen Orient.

      Après un tel joueur aura énormément manqué en cette fin de saison. C’est un vrai 9, un poison de la tête et des deux pieds, il vit dans les 16m. Ce n’est d’ailleurs pas du tout un Bédia, capable lui de dribbler, de partir de loin mais JP est bien meilleur de la tête et a deux pieds. Trouver l’équivalent qui s’intègre vite et connaisse le championnat Suisse mais à moins de 25 ans c’est utopique.

      Dépendra aussi comment le nouveau coach voudra jouer. J’imagine plutôt un 4231 avec Antunes ou Guillemenot en n°10. Micha et Dereck qui retrouvent plus de liberté offensive.

      Très excitant tout ça. J’espère que le changement de coach permettra à Guillemenot de trouver sa place, ça ne collait pas vraiment dans le 433 (en n°9) et le 442 de Weiler (en 2e attaquant). Bien meilleur légèrement en retrait. Pour ça que j’en fait volontiers le remplaçant de Antunes.

      Qui partira ? Bolla (fin de prêt, hors de prix tant salaire que transfer), Nishimura sans doute un bon salaire (vu ce que paient les japonais)

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      1. Je pense que tu te mets un doigt dans l’œil Mike. Weiler va choisir un coach qui partage ses idées tactiques et va cibler son recrutement sur la base de ces mêmes idées.

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      2. @Valid, oui la même ligne mais personne (même si cela devait être Dimic – ce que je ne souhaite pas) n’acceptera qu’on lui impose la tactique et la façon de jouer mais c’est une possibilité que tu as raison de souligner (mettre un pantin).

        Je pense qu’il ne va pas transiger sur l’intensité, l’implication des joueurs sur et en dehors du terrain et le jeu sans le ballon. Mais entre un 4231, 442 losange, à plat etc… je pense pas que Weiler ira dire quoi faire. Ce serait totalement contreproductif. Weiler est exigeant mais il comprend l’humain et sait qu’il devra laisser un minimum de latitude au coach au moins à ses débuts.

        Il n’y a pas beaucoup d’interrogations. En défense c’est bâché (sauf si départ). Les 4 titulaires sont connus. J’aimerais bien qu’on prolonge Bronn dont l’implication et la personnalité m’ont beaucoup plu mais l’arrivée prochaine du français de Rouen laisse à penser le contraire (surtout qu’il n’y pas d’OA pour son prêt).

        Au milieu Douline et Ondoua en n°6 (ensemble ou en alternance). Kutesa – Micha sur les côté.

        L’arrivée d’un vrai n°9 (Nsamé) sera bien utile pour nos créateurs du milieu.

        C’est là où sont les seules incertitudes. Le positionnement d’Antunes, Cognat et Guillement.

        Antunes pourrait jouer plus bas en n°8 mais aussi en n°10.

        Guillemenot en n°10 ou 2e attaquant en retrait (n°9.5).

        Cognat v-a-t-il rester ? Il a des touches en Espagne (profil PARFAIT pour lui) et des clubs français sont intêressés… Dans tous les cas il faut faire venir et intégrer pleinement Camara qui est notre Cognat du futur. Je crois pas que les gens s’en rendent bien comptent. J’espère que Weiler ne déconnera pas le concernant mais je crains qu’on piste déjà un n°8 block-to-block confirmé en anticipation du départ de notre mobylette.

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  12. J’étais à Bâle en 2001 et à nouveau à Berne en 2024. Que d’émotions !!! Incroyable dénouement. J’espère simplement pas devoir attendre à nouveau 23 ans pour un nouveau titre !!!

    Et si on parlait un peu des entraineurs potentiels :

    voici mes quelques idées :

    Raphael Wicky (connait la maison grenat, mais probablement trop cher ?) Soif de revanche envers YB ?

    Mauro Lustrinelli et Mario Frick (deux entraineurs à succès me semble-t-il)

    Gaël Clichy (le retour ?)

    Adrian Ursea de Carouge

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    1. Belle liste. Je pense qu’on peut déjà éliminer Clichy avec qui la fin d’histoire n’a pas été si belle en interne…
      Mario Frick le moins convainquant pour moi.

      Ajouter Bojan Dimic qui s’est lui-même proposer.

      Enfin j’ai beaucoup lu Favre mais j’ai un doute sur l’entente avec Weiler (que des suppositions dans ce cas !).

      PS : Bienvenue à Von Moos !

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      1. Selon le Blick, René Weiler a téléphoné à Favre pour qu’il devienne directeur sportif, mais il a refusé car il est en retraite désormais. C’est l’une des raisons qui a poussé Weiler à devenir Directeur technique.

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      2. Un peu étrange d’ailleurs, parce que la philosophie de jeu de Weiler et Favre sont aux antipodes. Mais ils sont assez proches dans la vie apparemment.

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      2. D’après l’article de DV du moment : Henchoz n’aurait pas été retenu, il évoque aussi Marc Schneider, l’actuel entraîneur de Vaduz et de Thoune par le passé. Et bien sûr Dimic qui est candidat.

        Dans tous les cas, les choses devront aller vite avec un championnat qui reprend fin juillet (totalement aberrant de recommencer aussi tôt d’ailleurs).

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  13. Et on parle pas beaucoup de son 1er adjoint, MANUEL KLÖKLER.

    Il serait pas une option ? A-t-il les diplômes nécessaires ?

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