L’avenir du club est toujours en discussion entre la famille Pishyar et la direction actuelle. Le club nous communique aujourd’hui que tout le monde oeuvre pour trouver un accord favorable au développement du club. Et si tel n’était pas le cas…
Les jours passent et les supporters servettiens sont tous suspendus à l’annonce de la reprise du club qui ne semblait être qu’une formalité il y a maintenant un mois. L’arrivée de la famille Pishyar au comité en Novembre semble donc ne pas suffir à convaincre la direction actuelle et Monsieur Vinas. Il est très difficile de commenter cette lenteur des négociations et il est facilement compréhensible que la cession d’un club ne puisse se faire sur un accord verbal.
Plusieurs questions émergent cependant de cette situation d’attente difficile por tous les amoureux du club. Pourquoi cet accord n’est-il discuté que si tardivement? Sept mois de présence au comité n’était-il pas suffisant pour discuter les différents points d’achoppement? Si tout était clair il y a un mois et sur le point d’aboutir pourquoi 2 semaines n’ont-ils pas suffit à régler les derniers détails? Les Pishyar auraient-ils des exigences de dernières minutes que Mr Vinas ne puisse accepter? Réciproquement, Mr Vinas s’obstine-t’il à garder une forme de pouvoir en baffouant son fameux principe de payeur-décideur?
L’accord de confidentialité régissant ce genre de négociations (qui semble ne pas avoir été toujours respecté lorsque certaines informations sont parues dans la TDG…) interdisent le Servette FC à communiquer plus amplement. Une question pourtant mérite une réponse sans garde-fou: Y-a t’il une solution de rechange et y-a t’on seulement pensé?
Paix à notre âme servettienne.
Oscar Obradovic
Cette question je l’ai posée directement à Fournier et il m’a confirmé l’existence d’un plan B en cas d’échec des négociations. Mais quel est-il je n’en sais strictement rien et après tout tant que les négociations sont en cours cela importe peu… tant que ce plan B existe.
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