Gros coup de froid pour Carlos Alves et le SFC après le naufrage grenat à Chiasso
EDS : Bonjour Carlos, comment expliques-tu la défaite du SFC à Chiasso ?
Carlos Alves : Dans un tel match, c’est de la loterie. Et ça c’était flagrant sur le premier goal encaissé à la suite d’un raté de Kouassi, à cause des mauvaises conditions du terrain qui ont trompé notre joueur. Dans ces conditions, les équipes théoriquement inférieures techniquement ont l’avantage.
EDS : La baisse de régime de l’équipe est-elle due à l’usure du groupe, à la pression de la montée ou à la faiblesse du groupe par rapport aux autres équipes ?
Carlos Alves : C’est dû aux caractéristiques de l’équipe. Nous privilégions un football technique, mais nous avons rencontrés des terrains et des conditions déplorables qui nous ont porté préjudice. A Delémont et à Vaduz, nous avons joué sur de bons terrains et avons réalisé des excellentes prestations. Et aussi nous n’avons pas eu la petite étoile de la chance pour nos matches à l’extérieur.
Le père et le fils quand le SFC tournait encore rond
EDS : Avez-vous conscience que les fans commencent à être déçus ?
Carlos Alves : On aimerait gagner tous nos matches. La plupart des joueurs, qui sont là depuis deux ou trois ans, ont beaucoup progressé et je pense que tout est dit. On fera les comptes à la fin. On fait un bon championnat jusqu’à maintenant. Mais nous travaillons tous les jours pour nous améliorer encore plus.
EDS : Y aura-t’il des changements dans les prochaines semaines pour remotiver les joueurs ?
Carlos Alves : Les joueurs doivent être toujours motivés. Tout comme nous, ils n’aiment pas perdre.
Par Alois Figo
Les Enfants du Servette 
bon sang mais c’est bien-sûr, c’est tout la faute aux terrains. c’est pas son boulot de tenir compte de tous les paramètres afin de rendre son équipe performante?
je peux pas imaginer que ce discours public soit ce qu’il pense réellement. sinon, qu’il retourne coacher au sud où, c’est bien connu, tous les terrains sont nickels.
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Beaucoup de paroles,c’est sur le terrain qu’on
veut voir l’équipe redresser la tête.C’est pas
trop flatteur pour nous,d’avoir des équipes comme
Delémont ou Bienne a un souffle derriére nous.
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C’est ce qu’on appelle une interview « vérité ». Si c’est pour entendre qu’on est trop fort pour jouer sur les mauvais terrain, faudrait déjà recommencer à vraiment flamber sur un bon terrain.
Et si c’était contre le FCB ???
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Le plus inquiétant, c’est que les bourbiers, on va en voir encore 2-3 d’ici avril.
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A Aarau c’était l’arbitre, à Chiasso le terrain. C’est un peu limite comme explication!
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ok le terrain..mais ça ils le savaient..donc autant jouer à la suisse-allemande sur ces terrains :p
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Comme demandé sur le forum, j’aurais aimé une fois avoir une analyse précise et nette de Joao, là, vous n’y êtes pour rien, mais c’est un peu des réponses alibis. Bref. Merci tout de même pour tout votre travail.
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Les questions étaient claires mais les réponses montrent que la remise en question n’est pas encore venue. En tout cas pas sur la place publique.
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Cette fois-ci ils abusent un peu. Je comprends que l’on cherche à protéger les joueurs mais un peu de remise en question publique, cela calmerait aussi un peu les fans que nous sommes. On ne joue pas bien ces derniers temps. Un point c’est tout!
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En même temps la remise en question publique ce n’est pas vraiment le rôle de l’entraîneur adjoint.
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alors autant qu’il refuse de parler.
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Et pourquoi ne pourrait-il pas dire: on a une baisse de régime en ce moment. Certains joueurs répondent moins présents que d’autres. On va devoir faire des ajustements dans les prochaines semaines pour respecter nos objectifs.
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Dans sa première réponse il arrive quand même a nous dire que c est une loterie, un raté de Kouassi et que les petites équipes sont avantagées par ce genre de terrain.
Tant mieux, moi qui croyait que c était le niveau de jeu de l équipe qui était le problème, je suis rassuré!
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TDG de 12/11/2010:
Servette se rend à Chiasso ce dimanche. Le coup d’envoi sera donné à 14 h 30, mais c’est surtout l’état du terrain qui inquiète Joao Alves, l’entraîneur servettien.
«C’est un déplacement périlleux, explique-t-il. On m’a prévenu que l’état du terrain de Chiasso n’était pas au top. On verra, mais pour Servette, ce n’est pas un avantage que de devoir jouer sur un terrain gras. »
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