J-5. Sondage : Sion – Servette. J’y vais, j’y vais pas?

Dimanche prochain, la Super League fêtera les retrouvailles entre Sion et Servette, les meilleurs ennemis de Suisse. Quelle sera la mobilisation servettienne pour ce déplacement tant attendu? A vous de nous le dire…

17 réflexions sur « J-5. Sondage : Sion – Servette. J’y vais, j’y vais pas? »

  1. LES SERVETTIENS A TOURBILLON POUR E….. LE FC SION !!!!!!!!!!! SERVETTE FC ALLEZ ALLEZ ALLEZ SERVETTE FC ALLEZ ALLEZ ALLEZ ALLAALALALALLALALA LALALAL LALALALALA SERVETTE FC ALLEZ ALLEZ ALLEZ SERVETTE FC ALLEZ ALLEZ ALLEZ !!!!!!!!!!!!!!!

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    1. Normalement, je l’aurai ignorer mais l’actualité récente me le fait commenter :

      Je dois avouer que les commentaires de ce type ne me donnent pas envie de venir à Tourbillon. Je comprends la rivalité qu’il y a entre les 2 clubs, mais quand ça tourne à l’animosité gratuite ou défouloire, je n’en vois pas trop le sens.

      Mais je ne raterai pas le match retour à la Praille !

      En général, on aurait quand même un peu intérêt à civiliser les gens qui viennent au stade (i.e. plus de petards, moins d’insultes à l’égard des adversaires et des arbitres, etc.).
      Le public y serait plus familial, plus nombreux en général, et pas nécessairement moins dynamique. Et on ferait même des économies de stadiers voire d’entretien.

      Allez Servette !

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      1. Ben oui, je partage ton avis. Je ne crois pas qu’il soit nécessaire d’insulter l’adversaire pour mieux encourager les nôtres! Oui, je suis pour le bruit, les chants repris par tous, un max de banderoles et de drapeaux, la présence INDISPENSABLE des EDS aux conf de presse mais promettre une « intrusion en traître (dans les annales) » de nos adversaires et aux arbitres ne mène pas à la Champions League….Au cul, au cul, aucune hésitation, Allez Servette!

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    2. J imagine que tu dois être tout excite pour (vu ton post ) ton premier derby face a Sion mais les gros caractères pour ce genre de message…
      Bref J espères que tout se passera bien sur et en-dehors du terrain avec une victoire servetienne!

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  2. ———- mode vieux con ON ———

    présent lors du 8-2…
    présent lors du 4-3 (0-3)
    et présent x autres fois….
    donc présent dimanche !!!

    ———- mode vieux con OFF ——–

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  3. Des infos sur la capacité du secteur visiteur de tourbillon et de comment se procurer des places ? Merci d’avance ! Allez Servette !!!

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  4. J’ai l’impression que de plus en plus de lecteurs des EDS sont des amateurs d’opéra. On se réveille ! Un stade de foot doit vivre, doit chanter, doit encourager, doit faire tout simplement du bruit ! Tous les derniers commentaires sont niant niant… « il y’a trop de pétard, les chants sont pas assez variés, il y a trop d’insultes et bla bla bla et je me plains et je me plains ». Bientôt on entendra à la Praille: « Chhhuuuuuuttt le match a commencé.. » C’est les papy du Servette ou bien?!

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    1. C’est aussi parce que nous ne sommes pas un site d’Ultra. C’est pour cela que nous sommes les seuls à oser critiquer les pétards.

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  5. J’aimerai vraiment voir les commentaires de certains qui passent leur temps à critiquer les ultras le jours où la SG en aura marre de se faire cracher dessus.

    La tribune nord n’est rien sans la SG et vous le savez tous.
    Personne ne vous oblige à reprendre des chants qui vous déplaise pour x ou y raisons.

    Mais par contre je tiens à mettre les choses au clair.

    Quand on vient dans le KOP, on reste debout du début jusqu’à la fin du match et on chante. Sinon ça sert à rien d’avoir un KOP.

    Je souhaiterais aussi passer un message à tous ceux qui pense pouvoir faire mieux ou qui on de belles idées novatrices pour améliorer le KOP et la SG. Où êtes-vous quand il faut porter les drapeaux, quand il faut monter le matériel, quand notre équipe à besoin de notre soutien.

    Pour conclure je tiens à informer certains ignorants que ULTRA n’est pas égal à HOOLIGAN.

    pour ceux que ça intéresse :

    http://www.facebook.com/note.php?note_id=383060371692

    Les groupes se définissant comme ultras sont apparus en Tunisie, de manière concomitante au début des années 2000.

    S’ils ont à l’origine été amalgamés par les amateurs de football, les médias et le grand public, ils ont toujours cherché à se différencier les uns des autres. En particulier, les ultras qui s’engagent activement tant au stade que dans la vie quotidienne du club ont tenu à se démarquer des hooligans pour rendre leur pratique acceptable et souligner qu’ils n’étaient pas centrés sur la violence.

    Progressivement, ils ont réussi à s’implanter dans les stades tunisiens au point désormais d’y mener l’ambiance. Ainsi, la distinction entre les ultras, perçus comme les supporters les plus fervents, ceux qui animent les tribunes tout en étant parfois trop turbulents et excessifs, et les hooligans considérés comme de systématiques fauteurs de troubles est bien connue des amateurs de football.

    Quand cette différenciation est effectuée, il est généralement affirmé que leur moindre violence distinguerait les ultras des hooligans. En fait, la différence est bien plus profonde. Elle se traduit dans leurs modes d’organisation, leurs types de participation au spectacle, leurs relations avec le monde du football ou leur manière d’appréhender la violence.

    Essentiellement préoccupés par la recherche de l’affrontement avec les supporters extrêmes adverses ou avec la police, les hooligans s’investissent peu dans l’ambiance au stade et dans la vie du club. Au contraire, si les ultras ont parfois recours à la violence quand ils estiment que l’honneur de leur club ou de leur groupe est en jeu, ils ne la recherchent pas à tout prix : Elle ne constitue pour eux qu’un moyen d’action parmi d’autres…

    Les ultras cherchent également à jouer un rôle au sein de leur club. Tandis que les hooligans forment des bandes informelles cultivant le secret, les groupes ultras adoptent une forme associative. Les hooligans sont avant tout à la recherche d’émotions fortes alors que les ultras, au-delà de la dimension émotionnelle également importante chez eux, s’engagent dans une « cause » selon une logique de « mouvement social ». Ils se conçoivent comme un contre-pouvoir ou comme un syndicat des supporters, tant à l’échelle locale que nationale : cette année, les groupes ultras de tout le pays tentent encore de coordonner leurs actions pour lutter contre la répression qu’ils estiment excessive à leur égard et pour défendre un football « populaire » contre les « dérives » du « football business ».

    Au final, les hooligans ne forment que des groupuscules tandis que les ultras cherchent à mobiliser largement les supporters pour soutenir l’équipe le plus efficacement possible et à être des acteurs à part entière du monde du football. Par conséquent, les hooligans peuvent bien plus facilement assumer la violence que les ultras.

    Si leurs logiques sont distinctes, ultras et hooligans tunisiens se ressemblent sous certains aspects. Même si cette volonté se traduit de diverses manières, les uns et les autres cherchent à se distinguer des autres supporters, des ultras pour les hooligans et des hooligans pour les ultras, mais surtout de l’image répandue et dépréciative du supporter « beauf ». Ils stigmatisent à juste titre ceux qu’ils appellent les « mastres », les « footix », les « kleleb » qui peuplent selon eux les stades, celui qui n’est pas ultra (ou hooligan), et, par contraste, ce qu’est un ultra (ou un hooligan). Pour les ultras, le « kolleb » ne s’écarte pas du stéréotype du fan, il est déguisé, il n’est pas assez actif dans le soutien à l’équipe, il ne participe pas correctement aux chants et aux tifos, il adule les joueurs, il ne porte pas un regard critique sur le monde du football…

    Pour mériter aux yeux de ses pairs et aux siens le qualificatif d’ultra, il ne suffit pas d’encourager au maximum son équipe, il faut aussi réfléchir à ses actes, ne pas s’habiller de manière ridicule, il faut inspirer le respect, au besoin en suscitant la crainte.

    Les ultras comme les hooligans considèrent le football comme un combat entre deux camps : ils ont donc recours à la provocation et à la violence verbale voire physique et ils refusent la morale selon eux hypocrite du fair-play. D’autre part, ils affirment leur « autonomie » par rapport aux dirigeants des clubs et défendent leur propre point de vue. Ils sont aussi contestataires et n’hésitent pas à remettre en cause les joueurs et dirigeants de leur club. Ainsi, ils manifestent leur volonté d’être des acteurs à part entière du football et donc de ne pas vivre leur passion par procuration. Les ultras et les hooligans se passionnent au moins autant pour leurs activités de supporters que pour le football. Leurs centres d’intérêt sont doubles : le football et leur club d’un côté, le « supportérisme » et leur groupe de l’autre.

    Les supporters « ultras » ont toujours été perçus en Tunisie comme menaçants, tout en étant considérés, pour les ultras, comme les fans les plus fervents.

    Après avoir usé à leurs débuts de la provocation, les ultras sont en train de changer d’attitude. A cause de la répression, mais aussi parce qu’ils avaient besoin de susciter des vocations et de drainer derrière eux des supporters participant aux chants et aux tifos et apportant des fonds au groupe en cotisant ou en achetant son matériel (écharpes, tee-shirts, gilets…). Pour s’implanter dans les virages tunisiens, les ultras se sont présentés comme les « meilleurs supporters », en mettant en avant les dimensions valorisées de leur pratique (le soutien au club, les tifos ou la dimension associative) et en se démarquant ostensiblement des hooligans et de leurs excès violents et parfois (souvent) racistes et régionalistes.

    Par conséquent, les hooligans ont été marginalisés, et les ultras ont adopté une attitude moins extrême qu’en Europe. Inversement, ces dernières années, l’institutionnalisation accrue des groupes ultras a sans doute favorisé le développement de petites bandes de 10 à 50 indépendants recherchant plus de radicalité…

    Les ultras considèrent qu’ils forment un « mouvement », c’est-à-dire qu’ils appartiennent à un même monde, avec ses pratiques, ses valeurs, ses règles, ses réseaux… Cependant, malgré des expériences et références communes, les manières d’être ultrà sont diverses parce que les contextes locaux sont différents, parce que les principes sur lesquels les ultras tendent à s’accorder sont suffisamment généraux pour être diversement interprétés et parce que certains de ces principes sont contradictoires…Du fait de cette complexité du monde ultra, les différences sont significatives entre individus et entre groupes se revendiquant ultras, alors que les bandes de hooligans se ressemblent largement : elles se différencient seulement sur les formes de la violence, notamment l’acceptation ou non de l’usage « d’armes ».
    Quand ils finissent par admettre qu’avoir recours à la violence est la dernière solution, les ultras tentent de la présenter comme acceptable. Ils expliquent qu’ils ne la recherchent pas, qu’ils ne font que répondre à des provocations. Les hooligans prennent plaisir à raconter comment ils créent des incidents. Les ultras prétendent que la violence vient à eux en soulignant aussi que cette violence est librement consentie (elle n’implique que des ultras et des hooligans et ne touche donc pas, en théorie du moins, les autres amateurs de football) et qu’elle suit certains codescensés éviter des blessures graves aux protagonistes.

    Plusieurs des principaux groupes, expliquent qu’ils rejettent la « violence organisée », ce qui est surtout un moyen de se dissocier des hooligans et de se couvrir au cas où un incident surviendrait.

    Les rapports entre ultras et hooligans sont donc une source de débats et d’ambiguïtés sur lesquels les responsables de la sécurité dans les stade joue actuellement dans un soucis d’amalgamer les uns aux autres. Ces violences en rapport avec le football n’ont pourtant rien d’exceptionnelle au regard d’autres violences sociétales contre lesquelles le Gouvernement a bien du mal à lutter …

    Pourtant la place de la violence dans le monde ultrà est paradoxale. Elle est marginale, dans la mesure où elle ne concerne qu’une minorité de membres et cependant, elle est centrale en ce sens qu’elle est la valeur ultime, ce qui permet de trancher les différents et de tester la solidarité du groupe…

    LIBERTE POUR LES ULTRAS

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    1. Personne ne critique les ultras dans le fait d’animer. J’ai aussi fait partie du Kop et je ne remets pas les chants, ni le fait d’être debout et mettre de l’ambiance. Et je ne fais pas non plus l’amalgame avec le mot hooligan.

      Il faut de tout pour faire un monde, tout le monde a sa place dans un stade ! Mais je remets en cause ce qui est contraire à la sécurité !

      J’ai emmené mes enfants au stade en Tribune Nord parce qu’on ne va pas au stade dans mon esprit pour rester assis tout le match, mais pour le vivre avec intensité.

      Cependant, je pense que les pétards sont dangereux et qu’ils n’apportent rien que du bruit. Et pour moi le bruit : ce sont les chants de soutien.

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      1. Je n’ai jamais dit que j’étais pour les pétards au cas où. Mais par contre je trouve ridicule de nous interdire les torches ou les fumigènes qui selon moi sont bien moins dangereux pour l’intégrité physique des gens si ils sont utilisés correctement.

        P.S. : Les bons artificiers c’est pas ce qu’il manque à la SG…

        Et je suis désolé ma chère grenadine mais je lis beaucoup de critique, de mépris et de plainte au sujet de la SG sur ce forum alors que la plupart des gens qui se permettent de parler ne connaissent pas la plupart des gens qui participent activement au action de la SG.

        Pour votre info à tous la SG est constitué de personnes venant d’horizons différents, de cultures différentes, d’âges différents, de religions différentes et ça j’en suis fière parce que je suis avant tout genevois avant d’être suisse et pour moi on représente parfaitement Genève.

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      1. Pour quel raison si c’est pas trop indiscret parce que je tiens à garder mon intégrité personnel et mon anonymat.

        Sinon le pseudo il sert plus à rien.

        Merci

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  6. Il faudrait aussi préciser que ce n’est pas la SG dans sa globalité qui lance des pétards mais 1-2 couillons qui ne font peut-être même pas partie du groupe. A voir la tête d’un des capos qui a dû avoir le tympan gauche percé cela semble pourtant évident. Il y aura toujours des petits profiteurs et petits cons partout, merci de ne pas faire l’amalgame : SG = hooligans écervelé.

    On retrouve enfin la LNA, le kop prend forcément du volume et c’est tant mieux mais ça veut aussi dire l’arrivée de plus de brebis galeuses et un contrôle plus difficile à l’interne et à comme par la sécu/police.

    Franchement le travail de la SG est juste exceptionnel. Réjouissons-nous en debleu !

    Je précise que je ne suis pas membre de la SG mais simplement respectueux du boulot accompli.

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