Pour le retour d’un barrage de Promotion/Relégation

Autant le dire en début de saison pour donner plus de force au message : Nous regrettons la disparition du match de barrage aller / retour de promotion relégation entre la Challenge League et la Super League, ou d’une solution du même type.

P1150403_30
Servette vient de battre Bellinzone dans un match légendaire, le 31 mai 2011.

Souvenirs, souvenirs

Tous ceux qui étaient au Stade de Genève le soir du mardi 31 mai 2011 s’en souviennent : Ce glorieux soir de promotion du Servette FC en Super League, marquait non seulement le retour du club « à sa place », mais aussi la récompense d’un entraineur et d’un groupe de joueurs auteurs d’un printemps exceptionnel, et victorieux d’un rude et intense duel contre l’équipe de l’AC Bellinzona gravé pour longtemps dans toutes les mémoires (rappel).

L’événement avait attiré les médias et suscité grand enthousiasme pour une des plus belles affluences du SFC dans son antre de la Praille (23’338 spectateurs). Au-delà des années de renaissance et de galère servettiennes, le scénario de cette rencontre qui suivait une amère défaite de justesse en terre tessinoise n’était pas non plus étranger à l’inédite explosion de joie. Tellement inédite qu’elle valut au président servettien de l’époque une interview à chaud carrément loufoque qui présageait quelque part de l’irrationalité de l’homme (Lien pour ceux qui veulent rire). Mais là n’est pas notre propos.

La formule de 2012-2013

Servette en proie à une n-ième étape de reconstruction a cette année le défi de rivaliser avec des FC Schaffhouse, FC Wil, FC Lugano ou bien entendu le relégué Lausanne-Sports et l’objectif annoncé à terme de retourner dans l’élite semble encore difficile à atteindre pour cette nouvelle saison. D’autant plus qu’il faut terminer premier, et rien d’autre.

Cette nouvelle mouture sans barrage, semble-t-il inspirée par la ligue autrichienne, a été instaurée en 2012-2013 avec la formule à 10 équipes dans les 2 divisions supérieures du football helvétique. L’idée de stabiliser le haut niveau professionnel en Suisse et aider les clubs à se structurer en garantissant cette stabilité n’était sans doute pas loin des grands esprits de l’ASF, mais que n’a-t-on pas perdu en limitant à ce point le renouvellement d’équipe en Super et en Challenge League…

Les avis des supporters

Nous pensons qu’une majorité de supporters pourraient être favorables à cet événement-spectacle de fin de saison qui permet, on l’a vu, de tenir en haleine une partie plus importante des 2 championnats concernés. Rappel de quelques commentaires trouvés sur les EdS et datant de mars dernier (Lien vers l’article)

Moskito : « les matchs de barrage c’est l’essence même du football… ce soir de mai 2011 restera à jamais dans ma mémoire comme l’une de mes plus belles émotions footballistiques. »

Lotmi : « Ca rajoute du suspens et du piment pour les 2 championnats. Tant pour le 9ème même s’il a 10 pts d’avance la saison n’est pas finie, que pour le 2ème à qui ça donne un peu d’espoir. »

Séb : « Le barrage en fin de saison est certes un désavantage pour les clubs de Super League, mais au moins, il permettait une équité des clubs et un roulement qui permet de rendre un peu plus attractif pour tous, les championnats de SL et CL. Même si ce sont souvent les mêmes équipes qui jouent au yoyo, cela favorisait aussi les petites équipes à venir faire un tour dans la « league pro »»

Et Christouf qui va même plus loin : « Je trouve que match promotion/relegation même pour le premier ne serait pas une mauvaise chose, et même si mon Servette adoré était 1er de Challenge. Une montée en Super League, ça se mérite. Si tu n’es pas meilleur que le dernier de Super League, c’est que t’as rien à aller faire plus haut. »

Certains désapprouvent pourtant, et ils ont leurs arguments.

Mike, par exemple nuançait fortement : « Les équipes ont besoin de stabilité et l’incertitude liée à la promotion ou à la relégation est certes sympathique au niveau du suspens et des émotions mais loin d’être logique sportivement. Les clubs du ventre mou (Aarau, St-Gall) peuvent miser sur les jeunes, ne pas s’endetter pour sauver leur vie à chaque match. »

Une question de proportion

Nous demeurons convaincus que la 2e place de Challenge League devrait permettre à un club solide sportivement d’accéder à l’élite sous conditions. Que la formule du match aller-retour soit discutable et perfectible, certes, mais qu’elle n’empêche pas un renouvellement moyen des équipes, de 15 % des équipes de l’élite, et de 25 % des équipes de son antichambre avec le match de barrage, et seulement 10 % et 20 % sans.

Pour prendre l’exemple des voisins français et des principaux grands championnats par extension : Ces dernières saisons, en Ligue 1 et sur 20 clubs, 3 sont relégués, soit 15 %. En Ligue 2, toujours pour 20 clubs, 3 sont relégués et 3 sont promus, soit 15 % + 15 % de renouvellement.

L’intérêt du Servette FC

Avec la nécessité de construire autour et avec ses jeunes pousses, mais aussi celle de gagner un public volatile ou de remplir un stade qui sonne trop creux, Servette a tout intérêt à être plutôt ambitieux et à se donner un maximum de chances de réussir une promotion dans les 2 prochaines saisons. C’est peut-être même vital !

Depuis longtemps, nous pensons donc qu’une telle opportunité événementielle devrait être soutenue par ceux qui pensent que la vraie place du SFC est à l’étage supérieur.

Allez Servette !
Michel

41 réflexions sur « Pour le retour d’un barrage de Promotion/Relégation »

  1. Sincèrement je trouve que la SFL devrait penser a faire comme la plupart des grands championnats à « créer » un championnat à 20 équipes pour que l’enjeux soit plus attractif pour tout le monde et les revenues (+ sponsors/droits TV)

    J’aime

  2. C’est justement pour rendre le championnat plus attractif que la SL comporte 10 clubs. Et ça permet aussi aux clubs de l’élite de se partager des droits Tv un tout petit peu substantiels que c’est pas bon d’être 20. Aussi je vois pas en quoi wil-schaffhouse ou chiasso-locarno donnerait plus d’intérêt au championnat. Nous n’avons pas le réservoir de clubs et de licenciés de nos grands voisins. Il faut tirer le championnat vers la qualité et non la quantité.

    J’aime

  3. Un championnat austro-suisse, c’est la mort définitive du foot romand. Alors, que des Suisses Allemands militent pour ça, pourquoi pas. Mais chez nous, c’est de la folie furieuse.

    Ceci dit, le championnat actuel est une vaste fumisterie. Bâle est intouchable, et ceci pour très longtemps. Le seul espoir que cela change serait de voir des dirigeants incompétents qui réduiraient à néant près de 20 ans de travail remarquable. Derrière, ça oscille entre incompétence (YB), moyens limités avec des résultats variables ou des prises de risques qui amènent des clubs parfois au bord du gouffre.

    Il est dès lors presque impossible de construire durablement sans risque de lutter contre la relégation. La solution serait donc de revenir à un championnat normal à 18-20 équipes. Cela permettrait aux gros qui connaissent un creux de ne pas vraiment risquer la relégation tout en permettant aux équipes de lancer des jeunes directement face aux équipes du plus haut niveau au lieu de Wohlen ou Bienne.

    J’aime

    1. Je te rejoins totalement. J’ai aussi proposé une ligue pro et semi pro unique de 16 clubs ou 14 (ligue fermée, licences accordées aux villes avec potentiel) et en intégrant ce qui fait le succès du hockey, des vrais playoff pour les 8 premiers (comme cela se fait en Amérique).

      Cette solution permettra d’éliminer la 2e division qui n’est pas viable économiquement (comme l’actuelle SL d’ailleurs…) compte tenu des exigences démentielles posées par la SFL pour les clubs et des recettes « médias » ridicules (comparées à nos voisins).

      Un championnat austro-suisse serait effectivement la mort du football romand. Il va déjà pas fort…

      J’aime

  4. Une 2ème division séparée en deux avec 10 équipes Suisse Allemande et 10 Romandes et finale entre les 2 premiers de chaque championnat serai la meilleure solution.

    Déplacement plus court pour les supporters et moins d’argent dépensé pour les clubs, qui n’aurai pas besoin de partir un jour avant pour dormir à l’hôtel.

    Franchement jouer 4 fois contre des Wil, Locarno et compagnie c’est pas très passionnant !

    Je trouve que l’émotion des barrages est quant même sympa et beaucoup de gens viennent au stade juste pour voir un « spectacle » alors autant multiplier les bonnes affiches.

    En attendant la Super league va nous offrir des Thoune-Aarau et des Vaduz-St-Gall….super !

    En tout cas personnellement je ne regarde plus depuis longtemps ce genre de matchs et la CL ne me motive plus non plus…je n’ai pas renouvelé mon abonnement cette saison car le peu d’ambitions des nouveaux dirigeants me déçoit.

    J’aime

    1. Je suis comme toi et les affiches proposées par la SFL ne sont pas très enthousiasmantes…
      On est dans la limite de l’organisation du championnat entre « sport spectacle » et « sport ».

      A défaut d’une vraie ligue professionnelle « fermée », je suis aussi d’avis qu’il serait mieux de réintroduire un vrai championnat ouvert avec 2 groupes régionaux en LNB, avec même des clubs amateurs.

      J’aime

  5. Ca reste un commentaire… très partisan. Si on était en Super League en bas de classement on militerait pour le Status Quo!

    Mais la question n’a pas vraiment de réponse parfaite… depuis des années, la ligue se tâte entre les différentes formules et il faut avouer que la dernière trouvaille, avec une Première ligue promotion couteuse n’est pas vraiment adéquate.

    De plus, avec l’avancement de la Suisse au Ranking UEFA (merci FCB), le simple fait d’être en Super League garantit presque automatiquement a la majorité des clubs une participation aux compétitions européennes sans devoir forcément dépasser le milieu du classement (ce qui en soi n’est pas normal en dehors du cas vaduz, qu’on s’entende bien).

    Tant qu’il n’y aura pas de réelle réflexion de fond sur le financement des clubs et une vrai plus value sur les droits Tv, il ny aura pas d’amélioration significative quelque soit la formule choisie. (mais c’est vrai que la première ligue promotion est une vaste fumisterie ou on devait voir des jeunes jouer,,, et on ne voit que des clubs qui galèrent pour trouver ou retrouver au plus vite la Challenge league via des financements occultes)

    J’aime

  6. @jackbauertn:

    Non, ça n’est pas spécialement partisan comme avis, même si le dernier paragraphe mentionne l’intérêt du Servette. Mais il a notamment été isolé pour cela.

    D’abord parce je défendais ma position il y a deux ans déjà au moment de la décision et alors que Servette n’avait rien à y gagner, bien au contraire.

    Ensuite, il faut bien lire chacun des paragraphes, et aussi le lien vers l’article du mois de mars dont les commentaires ont viré sur le sujet. Il y a matière à réflexion, et d’ailleurs à extension du débat sur la structure des divisions professionnelles suisses comme fait plus haut, et par toi-même !

    Enfin, c’est d’autant moins partisan que Servette joue officiellement la reconstruction et ne souhaite peut-être pas monter tout de suite en SL. Même si ça reste à confirmer.

    Plutôt d’accord avec le reste de tes commentaires.

    J’aime

    1. il ne t’était pas forcément destiné (mon commentaire sur le partisanat de la démarche)…! Mais le jour ou on finit deuxièmes on pestera sur la formule alors que tous les clubs professionnels l’ont votée… et j’avoue ne pas avoir été regardé les liens que tu as mis.

      J’ai de la peine a concevoir une ligue a 20 car nous manquons de structures modernes (stades), même en allemagne ils jouent a 16 et ils ont une des ligues les plus intéressantes en Europe… L’amélioration de l’occupation des structures existantes comme a Zürich ou à Milan serait une première réponse.

      Imaginons que Carouge et Servette jouent à la Praille, le stade pourrait être mieux financé et entretenu, Carouge pourrait envisager de monter d’une ligue ou 2 tout en augmentant son potentiel de spectateurs dans un stade « moderne » et l’arrivée d’un nouveau locataire permettrait à la fondation du stade de ne pas trop perdre dans d’éventuelles re-négotiations du bail.

      C’est en tout cas une des possibilités a prendre en compte avant d’envisager une (énnième) réforme de la ligue

      J’aime

  7. Je pense que le football suisse ne peux avoir une 1ere division avec 20 équipes.

    En revanche, une ligue a 16 équipes, avec matchs allers-retours (fini de jouer 18 fois contre la même equipe, ce qui lasse le public) a largement sa place en suisse.

    J’aime

  8. J’ai mis 20, comme j’aurais pu mettre 16 ou 18. Le but était de dire qu’il fallait en finir avec cette ligue à 10, avec les allers en automne et les retours au printemps.

    J’aime

    1. Complètement utopique, impossible dans le contexte Suisse. Carouge en Super ligue pour augmenter leur nombre de spectateurs ? Vous êtes sérieux ? Ils n’arrivent déjà pas à remplir une tribune à la Fontenette ? Certains on vraiment la coupe du monde dans les yeux ! 20 juillet retour à la réalité 1800 spectateurs !

      J’aime

      1. Et pourquoi pas?
        c’est déjà arrivé… et quand on voit que vaduz y est avec ses 35 pelés… voilà quoi!

        on sait que le bassin genevois est friand de spectacle… des derby genevois attirerait certainement plus de foule qu’un Servette – Le Mont

        Puis cette coupe du monde en fait pas rêver niveau spectateurs comme celle de l’allemagne… enfin, chaqu’un ses idées

        J’aime

    1. On ne sait pas encore vraiment quel type de jeu prône KC, mais je le trouve bien cohérent dans ses interviews. J’espère que cela se traduira sur le terrain.

      J’aime

      1. On jugera sur pièce, dès le 20 juillet, puisque l’objectif est d’être prêt pour la reprise. Il prend un risque en affirmant cela alors qu’on n’a pas d’attaquant, hormis un M21 (Roux n’ayant toujours pas officiellement prolongé, ce qui en soit ne me gêne pas).

        J’aime

  9. La formule qui convient à notre pays et à notre football est celle qui consiste à avoir 12 équipes en Super League. Après les 22 matches en automne, tout final pour les 6 ou les 8 premiers, tour de relégation-promotion avec les 2 ou 4 premiers de Challenge League, comme nous l’avons eue il y a quelques années et qui a été tant décriée.
    De toute façon, n’importe quelle formule aura ses partisans et ses détracteurs.

    J’aime

  10. Personnellement, je trouve que la structure à 10 + 10 équipes correspond assez bien à la taille du pays, les moyens des équipes et la qualité du football. Mais effectivement je trouve la formule un peu trop « plate », il manque de l’enjeu et du spectacle. Typiquement de l’événementiel tel que le public genevois pourrait attendre.

    Alors pourquoi pas un championnat en deux parties, avec un premier tour comme actuellement, et un deuxième avec des play-offs et des play-outs mêlant accessits en Coupe d’Europe et risque de relégation… et de promotion (donc mélange Challenge/Super League). Ce qui ferait de belles rencontres pleines d’enjeu au printemps et redonnant des chances à des équipes qui ont coulés au premier tour… ou qui s’y sont vues trop belles.

    J’aime

    1. On pourrait aussi changer les règles du foot, avec 9 joueurs de champ, etc…

      Le foot, c’est un tour aller et un tour retour, des matches en nocturne. Le premier est champion et participe à la coupe des clubs champions, les suivants à la coupe d’Europe. Les deux derniers sont relégués. Point barre. Faisons simple. Arrêtons cette commercialisation à outrance du football.

      J’aime

  11. La vérité est que le championnat Suisse est une grosse blague. On a 10 clubs ; c’est vraiment pathétique. Les équipes s’affrontent 4 fois, il y a une pause hivernale de 2 mois… Bref une restructuration à ce niveau s’impose. Mais comme ceux qui sont toujours aux sommets (FC Bale entre autres) s’en accoutument, il n’y aura jamais de changement. Heureusement que la plupart des joueurs de la Nati partent évoluer à l’étranger.

    J’aime

  12. Partiellement hors sujet, mais il s’agit de foot et c’est ce qui nous unit, non ? On a pu mesurer hier lors de Brésil – Allemagne le trou béant laissé par l’absence du défenseur Thiago Silva qui a manqué bien plus que Neymar. Ceci malgré que le Brésil est un immense pays dont près de 200 joueurs évoluent dans les meilleurs championnats. Depuis samedi dernier, les brésiliens savaient qu’ils devraient se passer de leur défenseur et, malgré les 4 jours à disposition, ils n’ont pas trouvé de solution valable. On peut dès lors mesurer le handicap de la Suisse qui a perdu von Bergen lors du match contre la France après 8 minutes de jeu et qui a dû le remplacer au pied levé. De ceci, personne n’a parlé, hélas. Bien entendu, pas question d’insinuer que, sans cet incident, la Suisse aurait gagné. Mais elle n’aurait jamais encaissé 5 buts !

    J’aime

    1. C’est possible.
      Mais on ne peut pas dire que le Brésil soitt dépourvu d’arrières centraux. Dante, qui a remplacé Thiago Silva, est loin d’être un touriste et joue au FC Bayern. Et en effet, Scholari avait le temps de préparer le duo Luiz-Dante.

      Pour le Brésil, il s’agit certainement là d’un crash collectif de l’équipe, et pas seulement de la défense. Le milieu et l’attaque n’étaient pas mieux.

      Concernant la Suisse, la perte de von Bergen a clairement été un handicap. Ca n’était pas prévu, c’est mal tombé, et ça a destabilisé la défense pour une mi-temps et demie.

      Dans les deux cas, l’opposition était solide et résolue. Ce qui a certainement manqué aux formations qui ont été défaites dans ces débuts de match.

      J’aime

      1. Impossible à dire bien évidemment, mais je rejoins François. La marquage trop large sur le 1-0 suivi du trou noir de 6 minutes ne serait peut-être pas survenu avec un Silva présent. Ceci dit, si l’humiliation aurait peut-être été évitée, sans Neymar, je doute que l’issue ait été différente.

        J’aime

      2. Une véritable mise à mort pour le Brésil …… devant 60 000 spectateurs. Les supporters pleuraient. Terribles images qui resteront dans les mémoires.
        Je pense aussi à un crash collectif, l’absence de leurs 2 joueurs a du désorganiser l’équipe.
        Quand au sujet, moi je voterais pour que les 2 premiers du classement montent avec peut-être d’avantage d’équipes dans le championnat.
        Mais bon….. C’est un simple avis.

        J’aime

    1. C’est à la mode dans certains pays…cohésion entre le public, le stade et l’équipe !

      Je ne suis pas sûre que les genevois trouvent cela très chouette !

      Ça fait cheap comme demande.

      Mais ce n’est pas si idiot…pourquoi pas après tout.

      On veut du changement alors….

      J’aime

    2. Pas de doute, le projet servettien a de la gueule. On cherche des bénévoles maintenant… Des attaquants bénévoles, la prochaine idée de génie?

      J’aime

    3. Parfait !! tant que c’est pas la même couleur que les murs de la solidarité .. ou la même qualité / Tous a nos pinceaux ! ! ! (rouleaux)

      J’aime

  13. Maintenant que ça bouge et que les supporters peuvent donner un coup de main pour embellir un peu ce stade gris et froid, on va pas s’en plaindre. Si le club avait les moyens, le stade serait rénové.
    Super idée quand même.

    J’aime

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.